Trump prononce la phrase que les démocrates attendaient : « Épargne-moi le discours sur l’abordabilité »

[Corvo]

Il est mal Donald...il est mal !

C’est un instant de vérité capturé en direct, un moment où les mots échappent au contrôle et deviennent des armes redoutables entre les mains de l’adversaire. Le jeudi 6 novembre 2025, Donald Trump s’est adressé aux journalistes avec sa confiance habituelle, martelant des affirmations sur l’économie américaine qui défient toute réalité vérifiable. Mais c’est sa dernière phrase qui a déclenché une explosion de réactions — « Je ne veux rien entendre sur l’abordabilité » — une déclaration si profondément déconnectée des souffrances quotidiennes de millions d’Américains qu’elle a instantanément été qualifiée de cadeau politique par ses opposants. Les démocrates, encore euphoriques après leurs victoires électorales en Virginie et au New Jersey quelques jours plus tôt, ont immédiatement reconnu le potentiel dévastateur de cette gaffe. Aaron Fritschner, stratège démocrate influent à la Chambre des représentants, n’a pas perdu une seconde pour prédire l’avenir : « Cette phrase va se retrouver dans une publicité près de chez vous, vous pouvez en être certains ». Trump vient de commettre l’erreur fatale que tous les politiciens redoutent — donner à ses ennemis exactement les munitions dont ils ont besoin pour le détruire. Alors que 70% des Américains affirment dépenser davantage pour leur épicerie qu’il y a un an, le président leur dit essentiellement de se taire. C’est une insulte magistrale, une trahison involontaire qui révèle le gouffre béant entre le monde doré de Trump et la réalité écrasante du citoyen moyen.

Un moment d’arrogance capturé pour l’éternité
La scène se déroule devant les caméras, Trump répondant aux questions des journalistes avec cette assurance inébranlable qui le caractérise, cette conviction absolue qu’il détient seul la vérité face à un monde de menteurs et de conspirateurs. Il commence par attaquer les médias, les accusant de déformer systématiquement les faits économiques pour nuire à son administration. Selon lui, les coûts de l’énergie ont considérablement diminué, les prix des produits alimentaires ont chuté, tout est en baisse. Il brandit l’exemple d’un repas de Thanksgiving chez Walmart, prétendument 25% moins cher que l’année précédente — un argument qui s’effondre dès qu’on examine les détails, car ce repas 2025 contient moins d’articles et privilégie les marques génériques plutôt que les produits nationaux reconnus. Mais Trump ne s’embarrasse jamais de nuances ou de vérifications factuelles. Pour lui, la réalité est ce qu’il décide qu’elle est, et les faits doivent se plier à sa volonté. C’est dans ce contexte d’autosatisfaction débordante qu’il lâche la phrase fatale : « Je ne veux rien entendre sur l’abordabilité ». Quatre secondes de vidéo qui vont hanter sa présidence et nourrir des dizaines de publicités électorales dévastatrices.

https://www.msn.com/fr-ch/politique/g%C ... r-AA1Q11bp

[Once]

Ben oui ! Faudrait quand même que les millions de gogos qui ont voté pour lui se rendent enfin compte qu'ils ont élu un milliardaire qui vit à des années lumière de leurs propres réalités quotidiennes !

[le chimple]

Ben oui ! Faudrait quand même que les millions de gogos qui ont voté pour lui se rendent enfin compte qu'ils ont élu un milliardaire qui vit à des années lumière de leurs propres réalités quotidiennes !

J'oserais affirmer que si nos politicards sont pas des milliardaires ( enfin il y a quelques millionnaires ) eux aussi vivent quasi tous à des années lumières des réalités de leur peuple !

[papibilou]

Ben oui ! Faudrait quand même que les millions de gogos qui ont voté pour lui se rendent enfin compte qu'ils ont élu un milliardaire qui vit à des années lumière de leurs propres réalités quotidiennes !

C'est généralement le cas aux USA. Je ne me souviens pas qu'un pauvre y ait été élu.

[Once]

Ben oui ! Faudrait quand même que les millions de gogos qui ont voté pour lui se rendent enfin compte qu'ils ont élu un milliardaire qui vit à des années lumière de leurs propres réalités quotidiennes !

C'est généralement le cas aux USA. Je ne me souviens pas qu'un pauvre y ait été élu.

Harry Truman et Jimmy Carter sont deux exemples de présidents qui n'avaient pas de fortunes personnelles en arrivant au pouvoir. Après, je ne sais pas. En tout cas, rien de comparable avec le cas Trump qui a doublé sa fortune depuis sa dernière réélection : de 2,3 milliards de dollars, elle est passée à plus de 5 milliards de dollars en quelques mois.

[papibilou]

C'est généralement le cas aux USA. Je ne me souviens pas qu'un pauvre y ait été élu.

Harry Truman et Jimmy Carter sont deux exemples de présidents qui n'avaient pas de fortunes personnelles en arrivant au pouvoir. Après, je ne sais pas. En tout cas, rien de comparable avec le cas Trump qui a doublé sa fortune depuis sa dernière réélection : de 2,3 milliards de dollars, elle est passée à plus de 5 milliards de dollars en quelques mois.

Il faut bien que le fiston ait des moyens car il voudra tôt ou tard imiter son paternel.

[vivarais]

C'est généralement le cas aux USA. Je ne me souviens pas qu'un pauvre y ait été élu.

Harry Truman et Jimmy Carter sont deux exemples de présidents qui n'avaient pas de fortunes personnelles en arrivant au pouvoir. Après, je ne sais pas. En tout cas, rien de comparable avec le cas Trump qui a doublé sa fortune depuis sa dernière réélection : de 2,3 milliards de dollars, elle est passée à plus de 5 milliards de dollars en quelques mois.

Où et le problème si cela a été obtenu de manière légale peut être simplement par le boum de la valeur de l'immobilier
Parler que sa fortune à doublée ne veut rien dire si on ne l'explique pas
Des gens à l'ile de Ré qui avaient une cabane de pêcheur ou d'autres dans le Lubéron une bergerie à l'abandon se sont vu imposer sur l'ISF à caue du boum immobilier local
Ils ont été plu riche sans avoir plus
Ce que vous dites ne vaut rien si vous n'expliquez pas la raison de cette augmentation
Peut être que c'est simplement la valeur de la tour TRUMP qui a doublé
https://www.bing.com/videos/riverview/r ... ORM=VAMGZC
Vous ne croyez pas qu'elle peut valoir 5 milliards de dollars

[jeandu53]

Il est mal Donald...il est mal !

C’est un instant de vérité capturé en direct, un moment où les mots échappent au contrôle et deviennent des armes redoutables entre les mains de l’adversaire. Le jeudi 6 novembre 2025, Donald Trump s’est adressé aux journalistes avec sa confiance habituelle, martelant des affirmations sur l’économie américaine qui défient toute réalité vérifiable. Mais c’est sa dernière phrase qui a déclenché une explosion de réactions — « Je ne veux rien entendre sur l’abordabilité » — une déclaration si profondément déconnectée des souffrances quotidiennes de millions d’Américains qu’elle a instantanément été qualifiée de cadeau politique par ses opposants. Les démocrates, encore euphoriques après leurs victoires électorales en Virginie et au New Jersey quelques jours plus tôt, ont immédiatement reconnu le potentiel dévastateur de cette gaffe. Aaron Fritschner, stratège démocrate influent à la Chambre des représentants, n’a pas perdu une seconde pour prédire l’avenir : « Cette phrase va se retrouver dans une publicité près de chez vous, vous pouvez en être certains ». Trump vient de commettre l’erreur fatale que tous les politiciens redoutent — donner à ses ennemis exactement les munitions dont ils ont besoin pour le détruire. Alors que 70% des Américains affirment dépenser davantage pour leur épicerie qu’il y a un an, le président leur dit essentiellement de se taire. C’est une insulte magistrale, une trahison involontaire qui révèle le gouffre béant entre le monde doré de Trump et la réalité écrasante du citoyen moyen.

Un moment d’arrogance capturé pour l’éternité
La scène se déroule devant les caméras, Trump répondant aux questions des journalistes avec cette assurance inébranlable qui le caractérise, cette conviction absolue qu’il détient seul la vérité face à un monde de menteurs et de conspirateurs. Il commence par attaquer les médias, les accusant de déformer systématiquement les faits économiques pour nuire à son administration. Selon lui, les coûts de l’énergie ont considérablement diminué, les prix des produits alimentaires ont chuté, tout est en baisse. Il brandit l’exemple d’un repas de Thanksgiving chez Walmart, prétendument 25% moins cher que l’année précédente — un argument qui s’effondre dès qu’on examine les détails, car ce repas 2025 contient moins d’articles et privilégie les marques génériques plutôt que les produits nationaux reconnus. Mais Trump ne s’embarrasse jamais de nuances ou de vérifications factuelles. Pour lui, la réalité est ce qu’il décide qu’elle est, et les faits doivent se plier à sa volonté. C’est dans ce contexte d’autosatisfaction débordante qu’il lâche la phrase fatale : « Je ne veux rien entendre sur l’abordabilité ». Quatre secondes de vidéo qui vont hanter sa présidence et nourrir des dizaines de publicités électorales dévastatrices.

https://www.msn.com/fr-ch/politique/g%C ... r-AA1Q11bp

Je n'ai rien compris. Qu'est-ce vous reprochez à Trump, exactement ?

[Yaroslav]

Il est mal Donald...il est mal !

C’est un instant de vérité capturé en direct, un moment où les mots échappent au contrôle et deviennent des armes redoutables entre les mains de l’adversaire. Le jeudi 6 novembre 2025, Donald Trump s’est adressé aux journalistes avec sa confiance habituelle, martelant des affirmations sur l’économie américaine qui défient toute réalité vérifiable. Mais c’est sa dernière phrase qui a déclenché une explosion de réactions — « Je ne veux rien entendre sur l’abordabilité » — une déclaration si profondément déconnectée des souffrances quotidiennes de millions d’Américains qu’elle a instantanément été qualifiée de cadeau politique par ses opposants. Les démocrates, encore euphoriques après leurs victoires électorales en Virginie et au New Jersey quelques jours plus tôt, ont immédiatement reconnu le potentiel dévastateur de cette gaffe. Aaron Fritschner, stratège démocrate influent à la Chambre des représentants, n’a pas perdu une seconde pour prédire l’avenir : « Cette phrase va se retrouver dans une publicité près de chez vous, vous pouvez en être certains ». Trump vient de commettre l’erreur fatale que tous les politiciens redoutent — donner à ses ennemis exactement les munitions dont ils ont besoin pour le détruire. Alors que 70% des Américains affirment dépenser davantage pour leur épicerie qu’il y a un an, le président leur dit essentiellement de se taire. C’est une insulte magistrale, une trahison involontaire qui révèle le gouffre béant entre le monde doré de Trump et la réalité écrasante du citoyen moyen.

Un moment d’arrogance capturé pour l’éternité
La scène se déroule devant les caméras, Trump répondant aux questions des journalistes avec cette assurance inébranlable qui le caractérise, cette conviction absolue qu’il détient seul la vérité face à un monde de menteurs et de conspirateurs. Il commence par attaquer les médias, les accusant de déformer systématiquement les faits économiques pour nuire à son administration. Selon lui, les coûts de l’énergie ont considérablement diminué, les prix des produits alimentaires ont chuté, tout est en baisse. Il brandit l’exemple d’un repas de Thanksgiving chez Walmart, prétendument 25% moins cher que l’année précédente — un argument qui s’effondre dès qu’on examine les détails, car ce repas 2025 contient moins d’articles et privilégie les marques génériques plutôt que les produits nationaux reconnus. Mais Trump ne s’embarrasse jamais de nuances ou de vérifications factuelles. Pour lui, la réalité est ce qu’il décide qu’elle est, et les faits doivent se plier à sa volonté. C’est dans ce contexte d’autosatisfaction débordante qu’il lâche la phrase fatale : « Je ne veux rien entendre sur l’abordabilité ». Quatre secondes de vidéo qui vont hanter sa présidence et nourrir des dizaines de publicités électorales dévastatrices.

https://www.msn.com/fr-ch/politique/g%C ... r-AA1Q11bp

Je n'ai rien compris. Qu'est-ce vous reprochez à Trump, exactement ?

En gros, il reconnaît qu'il n'en a strictement rien à foutre du pouvoir d'achat des pauvres (une grande partie de ses électeurs).

[papibilou]

Je suppose que tous les chefs d'État finissent tôt ou tard par laisser échapper une parole minable. Casse toi pauvre con, le meilleur moyen de se payer un costard c'est de travailler, les sans dents etc...
Trump nous a accoutumé à des dérapages mais il ne faut pas oublier son prédécesseur qui n'en était pas avare non plus et citait Mitterand au lieu de Macron.

[Yaroslav]

Je suppose que tous les chefs d'État finissent tôt ou tard par laisser échapper une parole minable. Casse toi pauvre con, le meilleur moyen de se payer un costard c'est de travailler, les sans dents etc...
Trump nous a accoutumé à des dérapages mais il ne faut pas oublier son prédécesseur qui n'en était pas avare non plus et citait Mitterand au lieu de Macron.

Bien sûr, mais là Trump fait l'erreur d'avouer ce qu'il pense vraiment et qui est plutôt inavouable devant son électorat. Ce n'est pas une erreur de formule comme une autre.

[jeandu53]

Je suppose que tous les chefs d'État finissent tôt ou tard par laisser échapper une parole minable. Casse toi pauvre con, le meilleur moyen de se payer un costard c'est de travailler, les sans dents etc...
Trump nous a accoutumé à des dérapages mais il ne faut pas oublier son prédécesseur qui n'en était pas avare non plus et citait Mitterand au lieu de Macron.

Bien sûr, mais là Trump fait l'erreur d'avouer ce qu'il pense vraiment et qui est plutôt inavouable devant son électorat. Ce n'est pas une erreur de formule comme une autre.

Une fois encore, vous analysez les discours de Trump à l'aune de vos valeurs franco-françaises. Vous n'avez donc pas compris que cette histoire n’altérera en rien sa popularité.

[Yaroslav]

Bien sûr, mais là Trump fait l'erreur d'avouer ce qu'il pense vraiment et qui est plutôt inavouable devant son électorat. Ce n'est pas une erreur de formule comme une autre.

Une fois encore, vous analysez les discours de Trump à l'aune de vos valeurs franco-françaises. Vous n'avez donc pas compris que cette histoire n’altérera en rien sa popularité.

Ça on en sait trop rien, on verra.
Ce ne sont pas les Français qui interprètent ainsi les propos de Trump, ce sont les Américains qui s'opposent à Trump.

[jeandu53]

Une fois encore, vous analysez les discours de Trump à l'aune de vos valeurs franco-françaises. Vous n'avez donc pas compris que cette histoire n’altérera en rien sa popularité.

Ça on en sait trop rien, on verra.
Ce ne sont pas les Français qui interprètent ainsi les propos de Trump, ce sont les Américains qui s'opposent à Trump.

Déjà, j'ai un doute sur ce qu'il a vraiment dit. Le mot "abordabilité" mentionné par l'article ne veut rien dire. Cela ressemble à une traduction assez farfelue. On comprend "pouvoir d'achat", mais est-ce bien le sens de ce mot en anglais ?

D'ailleurs, quel mot anglais a-t-il prononcé ? Ayant soupçonné un faux-ami, j'ai pensé au mot "abordability", mais je suis allé voir dans mon dictionnaire Robert&Collins, et je n'ai pas trouvé ce mot, qui ne semble pas exister en anglais. Donc quel mot a-t-il prononcé ?

Et puis ce n'est pas parce que trois militants démocrates de la Côte Est ou de Californie en font des caisses que l'électorat républicain des USA profonds va s'émouvoir de cette phrase.

[Kabé]

^ "Affordability", c'est le mot anglais utilisé.