"quel cadeaux pour un preneur d'otage que de lui echanger un otage de faible valeur symbolique par un autre de forte valeur "
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c'est ce que avait soulevé georges au début du sujet.....oups a écrit : Ce WE sur Europe 1, Un officier superieur de la gendarmerie royale Belge :
"quel cadeaux pour un preneur d'otage que de lui echanger un otage de faible valeur symbolique par un autre de forte valeur "
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C est effectivement la position de Baueroups a écrit : Ce WE sur Europe 1, Un officier superieur de la gendarmerie royale Belge :
"quel cadeaux pour un preneur d'otage que de lui echanger un otage de faible valeur symbolique par un autre de forte valeur "
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Certes , mais attendre un peu (juste un peu ) avant de poser les questions qui piquent , c'est toujours plus delicatFonck1 a écrit :c'est ce que avait soulevé georges au début du sujet.....oups a écrit : Ce WE sur Europe 1, Un officier superieur de la gendarmerie royale Belge :
"quel cadeaux pour un preneur d'otage que de lui echanger un otage de faible valeur symbolique par un autre de forte valeur "
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Et comme là-bas il y a peu d'aérodromes, ben ils sautent en marche...sihanouk a écrit : Ce n'est pas l'histoire des "Dix petits nègres" d'Agatha Christie, tout ça ? Les petits nègres disparaissaient les uns après les autres; mais cela n'empêchait pas les restants de faire la fête !
Il y a des gens qui sont fichés. Plus les copains de ces gens. On les ramasse et on les envoie étudier la faune et la flore de la forêt amazonienne !
sihanouk a écrit : On les ramasse et on les envoie étudier la faune et la flore de la forêt amazonienne !
Faut voir , faut voir .On risque aussi de retrouver toute une bande de chtis mimi -siku babouchés revendant a ce brave RaoniAllora a écrit :sihanouk a écrit : On les ramasse et on les envoie étudier la faune et la flore de la forêt amazonienne !![]()
depuis le temps que je dis que c'est la solution :
les emmener au dessus de l'Amazonie
les déposer délicatement au coeur de la jungle sans aucun bagage près d'un village indien
qui vit en autarcie et les rééduquera
leur prendre tout portable smartphone et Coran ,avant bien sûr
Ils apprendront la vraie vie là ...
on revient dans 5 ans .. on aura des être désintoxiqués gratos
J'aime bien Bauer, un Franc-maçon (ancien grand maitre du GOF)superjms77 a écrit :C est effectivement la position de Baueroups a écrit : Ce WE sur Europe 1, Un officier superieur de la gendarmerie royale Belge :
"quel cadeaux pour un preneur d'otage que de lui echanger un otage de faible valeur symbolique par un autre de forte valeur "
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Avec un peu de retard à l'allumageFonck1 a écrit :c'est tout à fait réaliste comme scénario, d'autant plus que le gendarme est mort des coups de couteau plus que des balles, il y aurait donc eu une sorte de bagarre?superjms77 a écrit :
Décidément des qu il y aura une connerie à dire tu es toujours en première ligne.
Source:La Dépêche.
Six personnes ont été placées mardi en garde à vue dans l'enquête sur les attentats commis en mars dernier à Trèbes et Carcassonne, dans l'Aude, et qui ont coûté la vie à quatre personnes, dont le gendarme Arnaud Beltrame. Ces gardes à vue ont été décidées sur commission rogatoire des juges d'instruction, selon cette source.
Plusieurs opérations ont été menées dans divers endroits de Trèbes, une ville très touchée par les inondations puisque six des treize victimes mortes noyées lundi soir dans la crue de l'Aude y ont péri.
Des perquisitions et des auditions libres ont aussi été effectuées à Toulouse (Haute-Garonne). Selon une source policière, une centaine de policiers du Raid ont été mobilisés dès 6 heures du matin dans ces opérations. Au cours des perquisitions, plusieurs armes ont été saisies, "principalement des armes longues" précise une source.
Toulouse : un homme et une femme placés en garde à vue:
Selon des informations recueillies par "La Dépêche du Midi", un homme et une femme domiciliés à Toulouse ont été placés en garde à vue ce mardi matin. Ces deux personnes qui n'ont a priori aucun lien ont été identifiées après l'analyse du matériel informatique du terroriste Radouane Lakdim. Les deux suspects auraient entretenu une correspondance, via internet, avec le terroriste.
Ces interpellations "visent des personnes qui se situent dans l'entourage de Redouane Lakdim", le terroriste tué par le GIGN au terme de la prise d'otage, indique une source proche du dossier. "Il s'agit de gens qui sont soupçonnés de lui avoir apporté une aide ou un soutien logistique, en lui fournissant des armes ou des téléphones."
Selon nos informations, les suspects sont cinq hommes et une femme aux profils différents: certains étaient déjà connus pour leur activisme dans le milieu de l'islam radical. D'autres relèvent plutôt du droit commun. "Il s'agit principalement de boucler cette enquête en faisant le tour des supports qu'a pu avoir Lakdim. A priori, l'enquête ne devrait pas mettre en cause des complicités actives dans la commission des attaques terroristes" indique une autre source judiciaire.
6 mois après les attentats:
Le 23 mars, un assaillant jihadiste, Radouane Lakdim, 25 ans, avait volé une voiture à Carcassonne dont il avait abattu le passager et blessé le conducteur par balle.
Il avait ensuite tiré sur des policiers devant leur caserne, avant d'entrer dans un supermarché Super U à Trèbes où il avait tué un boucher, un client ainsi que le lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame, qui s'était livré comme otage à la place d'une femme. Le jihadiste avait été abattu par le GIGN. L'attaque avait été revendiquée par le groupe Etat islamique (EI).
Fin mars, la compagne de Radouane Lakdim, Marine P., une jeune convertie à l'islam, a été mise en examen pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle" et placée en détention provisoire. Le procureur de Paris François Molins avait à l'époque affirmé que "sans antécédent judiciaire", la jeune fille convertie à âge de 16 ans présentait "tous les signes d'une radicalisation".
Lors de son interpellation, elle avait crié "Allah Akbar (Dieu est le plus grand, Ndlr)" et avait posté sur internet, le matin des attentats, une sourate promettant "l'enfer" aux "mécréants", selon le procureur.
Comme Radouane Lakdim, 25 ans, petit délinquant radicalisé de Carcassonne, Marine P. était fichée "S" - c'est-à-dire susceptible de constituer un risque pour la "sûreté de l'État" - en raison de sa "fréquentation des milieux islamistes radicaux", selon une source proche de l'enquête.
Source:Le Parisien.
Plus d’un an après les attaques meurtrières dans l’Aude, l’entourage de Radouane Lakdim intéresse plus que jamais les enquêteurs. Selon des sources concordantes, la mère ainsi que les deux sœurs du terroriste de 25 ans, abattu lors de l’assaut des gendarmes au Super U de Trèbes, ont été placées en garde à vue, ce mardi matin, par les policiers de la sous-direction antiterroriste (SDAT), sur commission rogatoire du juge d’instruction.
Déjà entendues au début de l’enquête, ces trois femmes sont âgées de 47, 22 et 18 ans et vivaient avec Lakdim à Carcassonne. Une perquisition a été menée au domicile familial et des supports informatiques saisis. « Les enquêteurs cherchent à savoir si ces trois proches du terroriste ont pu jouer un rôle dans sa radicalisation et son passage à l’acte », confie une source proche de l’enquête.
Le 23 mars 2018, Radouane Lakdim, connu des services de renseignements, avait volé une voiture à Carcassonne dont il avait abattu le passager et blessé le conducteur par balle. Il avait ensuite tiré sur des policiers devant leur caserne puis poursuivi son équipée meurtrière dans un supermarché de Trèbes. Là, il avait tué un boucher, un client et pris en otage le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame. Après avoir asséné des coups mortels au gendarme, le djihadiste avait été neutralisé par les forces de l’ordre.
Cinq personnes déjà mises en examen:
Durant ce huis clos, Redouane Lakdim avait téléphoné à sa mère, laquelle avait appelé ses sœurs, qui se sont alors rendues sur les lieux. Interrogée par TF1, l’une des sœurs du jeune djihadiste avait assuré que son frère « n’était pas salafiste », « ne parlait pas de guerre », et avait déclaré, le matin des tueries, qu’il reviendrait à la maison. Ces attaques dans les deux communes audoises, revendiquées par l’organisation État islamique, avaient fait quatre morts et 15 blessés au total.
En un an d’enquête, cinq personnes ont été mises en examen par les juges antiterroristes : la compagnie de Radouane Lakdim, qui avait publié sur Internet le matin des attaques une sourate promettant l’enfer aux mécréants, ainsi que quatre hommes soupçonnés d’avoir eu connaissance des projets du terroriste.