....Il était une fois la saga Benalla....

[latresne]

Vous révez d'une république bisounours .C'est sympa ,mais pas trés réaliste .Vous mm avec votre pouvoir si vous devez choisir pour une embauche entre votre fils et un inconnu , à compétence égale, vous choisiriez qui ? Vous êtes de suite - blanc .

Non, je revendique que le personnel politique soit exemplaire. Et pas à moitié exemplaire.
C'est simple, net, sans bavure.

Tu peux souhaiter avoir des corrompus, des magouilleurs, tout ce que tu veux, c'est ton avis, pas le mien.

Alors faut prendre des robots ,pas des hommes .

[Yann Begervil]

Si en 2022 le bilan de Macron est positif :
baisse chômage - jugulation de l'Islamisme- limitation draconienne de l'émigration- moins de pauvreté // moins d'assistanat
plus décologie ( là j'ai bcp de doutes ) ... alors j'oublierai l'affaire Benalla qui ne sera qu'un détail de son quinquennat

....... mais c'est pas gagné!

[Epicetou]

Non, je revendique que le personnel politique soit exemplaire. Et pas à moitié exemplaire.
C'est simple, net, sans bavure.

Tu peux souhaiter avoir des corrompus, des magouilleurs, tout ce que tu veux, c'est ton avis, pas le mien.

Alors faut prendre des robots ,pas des hommes .

Non, il faut prendre des gens honnêtes, ça existe, et virer les autres.
Et quoi qu'il en soit, ne pas accepter comme inéluctable qu'il n'y ait que des corrompus.

[zylto]

Alors faut prendre des robots ,pas des hommes .

Non, il faut prendre des gens honnêtes, ça existe, et virer les autres.
Et quoi qu'il en soit, ne pas accepter comme inéluctable qu'il n'y ait que des corrompus.

T'as la solution pour les trouver à la source? car en général ils sont très discrets sur leurs écarts

[latresne]

Alors faut prendre des robots ,pas des hommes .

Non, il faut prendre des gens honnêtes, ça existe, et virer les autres.
Et quoi qu'il en soit, ne pas accepter comme inéluctable qu'il n'y ait que des corrompus.

Vous avez des noms à proposer comme incorructibles à 100 % ?

[Epicetou]

Non, il faut prendre des gens honnêtes, ça existe, et virer les autres.
Et quoi qu'il en soit, ne pas accepter comme inéluctable qu'il n'y ait que des corrompus.

T'as la solution pour les trouver à la source? car en général ils sont très discrets sur leurs écarts

Bien sûr, déjà, il est possible de ne pas prendre des personnes dont le comportement a déjà été douteux, et ne pas persévérer avec des menteurs.
En gros, le contraire de ce que fait Macron.
Et qu'ont fait leur prédécesseurs.

Macron, ça ne le gêne pas que Ferrand soit président de l'AN, avec les casseroles qu'il a au cul.
Comment faire confiance à des personnes comme ça ?

Après, si ça te convient, c'est ton problème, mais il ne faut pas pleurer si rien ne s'améliore jamais, malgré les très nombreuses lois successives de moralisation de la vie politique.

[Epicetou]

Non, il faut prendre des gens honnêtes, ça existe, et virer les autres.
Et quoi qu'il en soit, ne pas accepter comme inéluctable qu'il n'y ait que des corrompus.

Vous avez des noms à proposer comme incorructibles à 100 % ?

Prends déjà des personnes qui n'ont pas de casier judiciaire, ni de casseroles au cul.
Ce sera déjà un gros écrémage.

[bister]

Benalla est rattaché au CNAMS (Confédération Nationale de l'Artisanat des Métiers) pour son entreprise de sécurité
mais il n'était pas affilié au grand Orient (apparement)
la CNAMS une économie mixte
http://cdn.antenne.re/nas/alainBAUER1701121900.mp4

quant je vous dis que la franc maçonnerie n'est pas loin,avec ses guéguerre sur les part de marchés de la sécurité des uns et des autres

il y a un grand flou sur le cadre juridique des lois qui gèrent les actes de maintient de l'ordre dans cette affaire - est ce que l'emploie de la force était disproportionné ou pas ?.... moi je ne trouve pas
Jacque Toutbon pense réformer tout ça mais ce n'est pas encore fait.. (après 14 minutes parce qu'il est soporifique)
https://www.dailymotion.com/video/x6qec9j

sinon Benalla gérait la sécurité du Président donc
> voiture de fonction (prise dans le parc de la flotte présidentielle) ,
> un permis d'arme (qu'il avait déjà l'or de la Présidentiel - mais il ne pouvait pas s'en servir autre que dans les meetings - Macron Président, là, son permis a été étendu même sur la voie public)
> un logement de fonction quai branly comme d'autres agents de sécurité (dans un vieil immeuble mais il ne s'en servait pas beaucoup surtout comme point de chute pour le matériel, en astreinte et réunion)

et bien d'autre soi disant avantages, dont je ne parlerais pas, vu que c'est simplement pour l'usage de son travail

et que vous allez jazer en mal

j'ai trouvé tout ça dans un journal clean.. il n'y a pas de quoi fouetter carrosse et château Disney land

maintenant il est possible que tout ne soit pas conforme avec des règlements intérieurs à la police, gendarmerie etc..

mais à ce niveau là , ça sort de ces réglements justement, au Sénat de construire tout ça, ce cadre juridique approprié

en plus suite à ces altercations de la manif , il n'y avait pas eu de poursuite judiciaires aussi bien côté manifestant que police /CRS

mais comme l'affaire Benalla est sortie, la justice s'est étonné : si ces gens là étaient de si mauvaises personnes pourquoi n'y a t'il pas eu de poursuite judiciaires

et hop.. tout le monde a été obligé de passer en justice avec son avocat , manifestants comme hiérarchie policière

[latresne]

Vous avez des noms à proposer comme incorructibles à 100 % ?

Prends déjà des personnes qui n'ont pas de casier judiciaire, ni de casseroles au cul.
Ce sera déjà un gros écrémage.

Parce que le Président et le Premier Ministre prennent dans leur gouvernement des repris de justice ?
C'est démago .

[Crapulax]

...................................Affaire Benalla : le coup de fil de Macron au Sénat ne passe pas...............................

Le chef de l’État a appelé Gérard Larcher, le président du Sénat, pour qu’il recadre les sénateurs chargés des travaux de la commission d’enquête.

Un coup de fil très inhabituel d’Emmanuel Macron à Gérard Larcher (LR) sur le traitement de l’affaire Benalla a provoqué la colère des sénateurs qui enquêtent sur la position qu’occupait l’ex-conseiller à l’Elysée, et pose la question de la séparation des pouvoirs.

"Qui est ce bagagiste, comme l’a dit M. Castaner, cette petite frappe, M. Benalla, pour qu’il puisse bénéficier du soutien de tout l’appareil d’État ?", a tonné jeudi le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau. Objet du courroux sénatorial : selon le site de L’Obs, Emmanuel Macron a appelé mardi le président du Sénat pour lui demander de garantir les équilibres institutionnels, estimant en substance que la commission sénatoriale sur l’affaire Benalla s’en éloignait.

Les échanges avaient été rudes le jour-même entre les sénateurs et l’ex-conseiller de l’Elysée, qui est allé jusqu’à juger la commission "illicite", qualifiant ses membres de "petites personnes" et son président Philippe Bas, issu de l’opposition LR, de "petit marquis".
Alexandre Benalla a fini par accepter, "contraint", son audition, fixée au 19 septembre.

"Calmer le jeu"

Questions : le Sénat est-il dans son rôle en enquêtant sur l’affaire Benalla ? Le coup de fil présidentiel constitue-t-il de son côté une ingérence de l’exécutif sur le pouvoir législatif ?

Les contacts – téléphone, rencontres inopinées… – entre l’exécutif et les présidents des Assemblées n’ont rien d’exceptionnels et sont rarement médiatisés. Du point de vue juridique en revanche, les experts rappellent que la Constitution dit que le chef de l’Etat veille au fonctionnement régulier des pouvoirs publics.

Il y a là une atteinte à la séparation des pouvoirs:

"Est-ce que le Sénat, en ayant constitué une commission d’enquête sur l’affaire Benalla, provoque un dysfonctionnement des pouvoirs publics ? La réponse est non !", tranche Dominique Rousseau, professeur de droit à Paris-1. "Si ce coup de fil a effectivement été donné et si des remontrances ont été faites au président du Sénat, elles sont du point de vue constitutionnel totalement inadéquates. Il y a là une atteinte à la séparation des pouvoirs", souligne-t-il.

En enquêtant sur la position d’Alexandre Benalla à l’Elysée – les conditions de son recrutement, sa hiérarchie – la commission sénatoriale enquête sur le fonctionnement de la présidence. "Ce qui se passe actuellement me paraît être dans l’ordre d’un fonctionnement régulier des pouvoirs publics", conclut Dominique Rousseau.

L’opposition sénatoriale, droite et gauche, s’insurge elle contre les interventions de l’exécutif au "travail sérieux" du Sénat. "On voit tout l’appareil d’État, du président de la République à la Garde des Sceaux, à M. Griveaux (porte-parole du gouvernement), se coaliser pour soutenir M. Benalla", dénonce Bruno Retailleau.

"Si quelqu’un doit calmer le jeu, ce n’est pas nous, c’est M. Benalla qui fait très fort dans l’insulte des représentants du peuple et qui, compte tenu de ses exploits, n’est pas très bien placé ni pour proférer des injures ni pour donner des leçons de morale", a jugé Jean-Pierre Sueur (PS), l’un des deux rapporteurs de la commission d’enquête.

Source:Sud-Ouest.

https://www.sudouest.fr/2018/09/13/affa ... 15-710.php

[zylto]

Vous avez des noms à proposer comme incorructibles à 100 % ?

Prends déjà des personnes qui n'ont pas de casier judiciaire, ni de casseroles au cul.
Ce sera déjà un gros écrémage.

Ce sont les plus dangereux car ils ne se sont pas encore fait prendre

[zylto]

...................................Affaire Benalla : le coup de fil de Macron au Sénat ne passe pas...............................

Le chef de l’État a appelé Gérard Larcher, le président du Sénat, pour qu’il recadre les sénateurs chargés des travaux de la commission d’enquête.

Un coup de fil très inhabituel d’Emmanuel Macron à Gérard Larcher (LR) sur le traitement de l’affaire Benalla a provoqué la colère des sénateurs qui enquêtent sur la position qu’occupait l’ex-conseiller à l’Elysée, et pose la question de la séparation des pouvoirs.

"Qui est ce bagagiste, comme l’a dit M. Castaner, cette petite frappe, M. Benalla, pour qu’il puisse bénéficier du soutien de tout l’appareil d’État ?", a tonné jeudi le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau. Objet du courroux sénatorial : selon le site de L’Obs, Emmanuel Macron a appelé mardi le président du Sénat pour lui demander de garantir les équilibres institutionnels, estimant en substance que la commission sénatoriale sur l’affaire Benalla s’en éloignait.

Les échanges avaient été rudes le jour-même entre les sénateurs et l’ex-conseiller de l’Elysée, qui est allé jusqu’à juger la commission "illicite", qualifiant ses membres de "petites personnes" et son président Philippe Bas, issu de l’opposition LR, de "petit marquis".
Alexandre Benalla a fini par accepter, "contraint", son audition, fixée au 19 septembre.

"Calmer le jeu"

Questions : le Sénat est-il dans son rôle en enquêtant sur l’affaire Benalla ? Le coup de fil présidentiel constitue-t-il de son côté une ingérence de l’exécutif sur le pouvoir législatif ?

Les contacts – téléphone, rencontres inopinées… – entre l’exécutif et les présidents des Assemblées n’ont rien d’exceptionnels et sont rarement médiatisés. Du point de vue juridique en revanche, les experts rappellent que la Constitution dit que le chef de l’Etat veille au fonctionnement régulier des pouvoirs publics.

Il y a là une atteinte à la séparation des pouvoirs:

"Est-ce que le Sénat, en ayant constitué une commission d’enquête sur l’affaire Benalla, provoque un dysfonctionnement des pouvoirs publics ? La réponse est non !", tranche Dominique Rousseau, professeur de droit à Paris-1. "Si ce coup de fil a effectivement été donné et si des remontrances ont été faites au président du Sénat, elles sont du point de vue constitutionnel totalement inadéquates. Il y a là une atteinte à la séparation des pouvoirs", souligne-t-il.

En enquêtant sur la position d’Alexandre Benalla à l’Elysée – les conditions de son recrutement, sa hiérarchie – la commission sénatoriale enquête sur le fonctionnement de la présidence. "Ce qui se passe actuellement me paraît être dans l’ordre d’un fonctionnement régulier des pouvoirs publics", conclut Dominique Rousseau.

L’opposition sénatoriale, droite et gauche, s’insurge elle contre les interventions de l’exécutif au "travail sérieux" du Sénat. "On voit tout l’appareil d’État, du président de la République à la Garde des Sceaux, à M. Griveaux (porte-parole du gouvernement), se coaliser pour soutenir M. Benalla", dénonce Bruno Retailleau.

"Si quelqu’un doit calmer le jeu, ce n’est pas nous, c’est M. Benalla qui fait très fort dans l’insulte des représentants du peuple et qui, compte tenu de ses exploits, n’est pas très bien placé ni pour proférer des injures ni pour donner des leçons de morale", a jugé Jean-Pierre Sueur (PS), l’un des deux rapporteurs de la commission d’enquête.

Source:Sud-Ouest.

https://www.sudouest.fr/2018/09/13/affa ... 15-710.php

C'est quand même bizarre que Macron appelle Patapouf et de suite le contenu de la conversation soit à la une des journaux

[Anne32]

J'ai lu effectivement la maladresse, une de plus de Macron
Il n'a pas de conseils à donner à Larcher
Ce n'est pas un débutant, lui !!!!!
La commission d'enquête a jusqu'ici respecté son rôle, elle sait fort bien quelles questions elle posera sans empiéter sur l'enquête en cours
Si Benalla comme je le pense, ne répondra pas aux questions embarrassantes, ce sera tant pis pour lui
Le Sénat fait son travail, il est impressionnant de calme et de sang froid, face à une opposition fébrile et vindicative.

[Epicetou]

Prends déjà des personnes qui n'ont pas de casier judiciaire, ni de casseroles au cul.
Ce sera déjà un gros écrémage.

Parce que le Président et le Premier Ministre prennent dans leur gouvernement des repris de justice ?
C'est démago .

Au gouvernement, il y a Schiappa, qui fait la promotion de son livre par son ministère, autour de macron, il y a Kohler, il y avait Benella, le président de l'AN est Ferrand, compromis.

Sans compter tous ceux qui cautionnent et défendent la corruption, parce qu'il en sont complices.

Mais je ne sais pas si c'est la peine de discuter, tu t"accomodes très bien que la France soit dirigées par des corrompus, en croyant qu'avec eux il y a une chance de s'en sortir. Et manifestement, ça marche pas.

Macron, c'est la synthèse de ce qu'il y avait de pire dans Sarko, et Hollande

[Epicetou]

Le président de la république intervient auprès du président du sénat pour protéger son garde du corps, en violation des règles élémentaires de la séparation des pouvoir.

Cela après que le jeune garde du corps ait insulté le Sénat, et son président, rien que ça ...

Mais pourquoi est il si important que ça pour Macron ce jeune garde du corps ?