gare au gorille a écrit : Je pense que si la G.B. arrive à sortir de l'U.E. ce qui n'est pas encore gagné car on ne sort pas comme ça d'une organisation aussi verrouillée, le grand perdant sera la France. Pour l'instant je n'ai pas vu de chiffres affolants, l'économie de la G.B. ne semble pas pire que celle de la France. Les Anglais ont toujours commercé avec le monde entier, ils gardent une économie ouverte et dynamique, ils se libèrent enfin d'une lourde structure technocratique aussi couteuse qu'inefficace à régler les problèmes, le plus dur pour eux reste à résister aux forces de la finance de l'U.E. qui va tout faire pour leur barrer le chemin.
Mais s'ils arrivent à résister à toutes ces pressions, je pense qu'ils auront gagné.
Il faut juste attendre et laisser parler les chiffres avant de mépriser tous ceux qui dénoncent les méfaits de cette U.E. quasi irréformable qui nous plombe depuis des décennies.
le plus dur pour eux reste à résister aux forces de la finance de l'U.E.
Votre post est du vivarais pur jus , on écris son opinion sur un sujet auquel on ne comprend rien , et on voudrait en faire une réalité .
La première puissance financière mondiale , je vous l ' apprend donc , c'est la City de Londres......comment pourrait elle avoir de la difficulté a résister a qqun de plus faible ?
Comme vous avez le niveau du français moyen en économie , vous êtes inaudible . Si on ajoute une structure de pensée qui est est un bien grand mot pour désigner votre mécanisme de fonctionnement "borné de gauche" .....ben vous êtes incapable de faire un diagnostic tenant la route . Le plus dur n 'est pas une bagarre de financiers , le plus dur est de se bagarrer avec les chefs d' entreprises qui eux voient tous les risques .
https://www.contrepoints.org/2014/03/19 ... -influence
Finance en Europe : la City de Londres perd-elle son influence ?
Analyse des risques et contraintes qui pèsent sur la finance britannique et exploration des conséquences et perspectives.
Par Sylvain Fontan.
City
Le quartier de la City, à Londres, est la première place financière mondiale. L’industrie de la finance est un élément incontournable de l’économie anglaise, notamment depuis les années 1980 et le passage de Margaret Thatcher à la tête du pays. En effet, le secteur bancaire représente environ 450% du PIB au Royaume-Uni, contre 300% en France ou encore 100% aux États-Unis à titre d’exemple. Dès lors, il apparaît que le poids du secteur bancaire dans l’économie britannique est prégnant, comparable à celui d’un pays tel que la Suisse.
Pour l'instant je n'ai pas vu de chiffres affolants, l'économie de la G.B. ne semble pas pire que celle de la France.
vous avez pas du faire beaucoup de recherche;;

il suffit de demander a Google où ils en sont
Chute de la livre sterling et poussée inflationniste
Loin de s’être effondrée subitement, l’économie britannique semble donc davantage glisser lentement vers le déclin. Les signaux sont passés peu à peu du vert à l’orange, voire au rouge. À commencer par le niveau de la livre sterling qui a chuté, pénalisé ces deux dernières années par les tensions politiques autour du Brexit. Résultat, l’immigration est en baisse (la valeur de la rémunération des immigrés ayant diminué) et le pays fait face à une pénurie de main d’œuvre qui impacte notamment les secteurs de la restauration, de l’agriculture et les hôpitaux.
En outre, la forte dépréciation de la livre a renchéri les importations et mécaniquement dopé l’inflation. Laquelle a atteint des sommets fin 2017 avec des prix à la consommation qui ont grimpé de 3% sur un an en septembre. Une première depuis 2012. Effet collatéral: le pouvoir d’achat des ménages britanniques s’est effrité en 2017, les salaires ayant augmenté moins vite.
Une croissance au ralenti
Mises bout à bout, les conséquences du Brexit ont déjà coûté 2 points de PIB au Royaume-Uni, soit une perte de 45 milliards d’euros en deux ans, selon la banque Natixis. Établie à 0,1% au premier trimestre 2018, en quasi-stagnation, "la croissance britannique est 2,1% plus faible au premier trimestre qu’elle ne l’aurait été si le maintien dans l’UE l’avait emporté", précise le Centre pour la réforme européenne, un think tank basé à Londres. En rythme annuel, la croissance n'a pas dépassé 1,2%, du jamais vu depuis six ans.