....Il était une fois la saga Benalla....
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- Posteur Giganovesque
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
Le bruit insistant en ce moment est que A BENALLA ne serait plus en France mais réfugié au Maroc !
Je croyais qu'avec toutes les procédures judiciaires en cours actuellement contre cet individu il devait rester en France à la disposition de la justice ?
Je croyais qu'avec toutes les procédures judiciaires en cours actuellement contre cet individu il devait rester en France à la disposition de la justice ?
- Allora
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
La lâcheté pour ce genre d'individu fait partie de la panoplie.
Macron n'a pas prévu de faire un petit voyage au Maroc "voir le Roi" bientôt ?
ça serait un indice ..
Macron n'a pas prévu de faire un petit voyage au Maroc "voir le Roi" bientôt ?

ça serait un indice ..

http://i86.servimg.com/u/f86/16/39/51/81/dictat10.jpg
"Les prophètes font parler Dieu, comme un ventriloque fait parler sa marionnette" P. Gripari.
"Ce n'est pas parce que l'on n'est pas d'accord avec l'autre qu'on a raison "
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
bonjour
Benalla ; c'est l'as des as , le meilleur des VRP en commerce "louche" , rappel ,c'est le seul qui rapporte
Benalla ; c'est l'as des as , le meilleur des VRP en commerce "louche" , rappel ,c'est le seul qui rapporte
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- Posteur Giganovesque
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
Non il serait plutôt l'un des contre-feu allumés par E MACRON !
Pour moi A BENALLA n'a été qu'un sentiment passagé d'un président balladé lui même par la finance.
Je plains Brigitte, il doit avoir des nuits de remords très agitées, le président !
Pour moi A BENALLA n'a été qu'un sentiment passagé d'un président balladé lui même par la finance.
Je plains Brigitte, il doit avoir des nuits de remords très agitées, le président !
- coincetabulle
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
merci pour l'éclaircissement.Anne32 a écrit :coincetabulle a écrit : Anne, ma question vous était destinée. lorsqu'il y a violation des interdictions de contact entre les différents protagonistes n'y a t il pas là matière à déclencher une détention préventive ?
Dans le principe, le manquement à l'obligation de ne pas rencontrer tel tiers dénommé permet d'imposer une mise en détention
Mais pour autant, tout dépend des circonstances, du fond du dossier, et dans le cas Benalla, une mise en détention aurait été limite
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
dans cette "affaire" tout est limite , en particulier les arguments fallatieux ourdis par les revenchards ou en nostalgie du train train Elyséencoincetabulle a écrit :merci pour l'éclaircissement.Anne32 a écrit :
Dans le principe, le manquement à l'obligation de ne pas rencontrer tel tiers dénommé permet d'imposer une mise en détention
Mais pour autant, tout dépend des circonstances, du fond du dossier, et dans le cas Benalla, une mise en détention aurait été limite
- tisiphoné
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
on trouve toujours des excuses pour ceux qu'on ne veut pas trouver coupables.lepicard a écrit :dans cette "affaire" tout est limite , en particulier les arguments fallatieux ourdis par les revenchards ou en nostalgie du train train Elyséencoincetabulle a écrit :
merci pour l'éclaircissement.
nankurunaisa
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
Bah oui , mais bon euh… il suit son avocate dans ses démarches , si elle lui dit qu’il a tout intérêts à porter plainte en tant que victime d’une traque de paparazziAllora a écrit :Benalla porte plainte pour atteinte à la vie privée
il ne recule devant rien ce type .. normal il tient l'autre par ...la barbichette
Il se sait intouchable .. mais bon Mediapart a de bons avocats aussi ..  et Médiapart existera encore quand le patron du palais sera out ..
https://www.lepoint.fr/justice/alexandr ... 0_2386.phpLE POINT a écrit :Des enregistrements irrecevables ?
L'avocate d'Alexandre Benalla souligne auprès du JDD le caractère « très incertain » de l'origine de ces enregistrements. Le parquet n'avait pas attendu la plainte de Benalla pour ouvrir une enquête préliminaire à la suite de la diffusion des enregistrements et tenter de perquisitionner – sans succès – les locaux de Mediapart. Matignon a pour sa part vérifié que la CNCIS n'avait donné aucune autorisation pour procéder à des écoutes administratives d'Alexandre Benalla.
la Princesse de Monaco a eu le même genre de problèmes à une époque avec les paparazzi .. et elle a été obligée de porter plainte elle aussi , alors-Ah !? tu vois ?..

Capochette a écrit :Le bruit insistant en ce moment est que A BENALLA ne serait plus en France mais réfugié au Maroc
non c’est déjà faitAllora a écrit :La lâcheté pour ce genre d'individu fait partie de la panoplie.
Macron n'a pas prévu de faire un petit voyage au Maroc "voir le Roi" bientôt ? 
ça serait un indice .. 
mais en fait.. c’est la femme de Ben Alla qui s’est réfugiée au Maroc quant l’affaire a commencée , elle est partie avec son bébé de 4 - 5 mois pour éviter la paparazzail des espionites justement
donc il va la voir quant il peut , alors-Ah !? tu vois ?

- Anne32
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
Que voulez vous, Tisi, il y a ce qu'on voudrait, ce qu'on aimerait, mais il y a des lois auxquelles on se doit d'obéir.tisiphoné a écrit :on trouve toujours des excuses pour ceux qu'on ne veut pas trouver coupables.lepicard a écrit :
dans cette "affaire" tout est limite , en particulier les arguments fallatieux ourdis par les revenchards ou en nostalgie du train train Elyséen
C'est comme ça

Une chose dont on ne parle pas n'a jamais existé - Oscar Wilde
- Anne32
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
Dernières nouvelles AFP de ce jour
Alexandre Benalla est arrivé mardi au tribunal de grande instance de Paris pour être entendu par les juges d'instruction chargés du dossier des violences du 1er mai, a constaté un journaliste de l'AFP.
L'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron est arrivé à 11H00, accompagné notamment de son avocate, Jacqueline Laffont. Une heure auparavant, Vincent Crase, lui aussi mis en examen dans cette enquête, s'était également rendu au tribunal pour être entendu de son côté.
Les magistrats pourraient entendre l'ex-chargé de mission de l'Elysée et son acolyte, un ex-employé de La République en marche et chef d'escadron dans la réserve opérationnelle de la gendarmerie, sur une éventuelle violation des obligations de leur contrôle judiciaire.
Le 31 janvier, Mediapart a publié des enregistrements clandestins de conversations entre les deux hommes, datant du 26 juillet, alors qu'ils avaient pour interdiction d'entrer en contact.
Quatre jours auparavant, ils avaient en effet été mis en examen des violences sur des manifestants à Paris, le 1er mai, et placés sous contrôle judiciaire.
Les juges pourraient théoriquement décider de modifier leur contrôle judiciaire, ou s'ils sont favorables à une révocation, saisir un juge des libertés et de la détention (JLD) en vue d'un éventuel placement en détention provisoire. Dans une telle hypothèse, le JLD décernerait un mandat de dépôt.
Ils pourraient aussi ne rien décider et laisser la situation judiciaire de M. Benalla en l'état.
Interrogé par l'AFP, le parquet de Paris n'a pas souhaité faire de commentaire.
La défense d'Alexandre Benalla conteste la légalité des enregistrements publiés par Mediapart, estimant leur origine douteuse car ne provenant ni d'écoutes judiciaires, ni d'écoutes administratives.
Ses avocats ont déposé une plainte le 14 février pour "détention illicite d'appareils ou dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interceptions", "atteinte à l'intimité de la vie privée", "atteinte à la représentation de la personne" et "faux", selon une source proche du dossier, confirmant une information du JDD.
Vincent Crase a porté plainte par le biais de son avocat, selon RTL.
Cette contre-offensive intervient alors que le parquet de Paris a chargé le 4 février la Brigade criminelle d'une enquête pour "atteinte à l'intimité de la vie privée" et "détention illicite d'appareils ou de dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interception de télécommunications ou de conversations", autrement dit pour identifier les conditions et l'origine de ces mystérieuses captations.
Alexandre Benalla est arrivé mardi au tribunal de grande instance de Paris pour être entendu par les juges d'instruction chargés du dossier des violences du 1er mai, a constaté un journaliste de l'AFP.
L'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron est arrivé à 11H00, accompagné notamment de son avocate, Jacqueline Laffont. Une heure auparavant, Vincent Crase, lui aussi mis en examen dans cette enquête, s'était également rendu au tribunal pour être entendu de son côté.
Les magistrats pourraient entendre l'ex-chargé de mission de l'Elysée et son acolyte, un ex-employé de La République en marche et chef d'escadron dans la réserve opérationnelle de la gendarmerie, sur une éventuelle violation des obligations de leur contrôle judiciaire.
Le 31 janvier, Mediapart a publié des enregistrements clandestins de conversations entre les deux hommes, datant du 26 juillet, alors qu'ils avaient pour interdiction d'entrer en contact.
Quatre jours auparavant, ils avaient en effet été mis en examen des violences sur des manifestants à Paris, le 1er mai, et placés sous contrôle judiciaire.
Les juges pourraient théoriquement décider de modifier leur contrôle judiciaire, ou s'ils sont favorables à une révocation, saisir un juge des libertés et de la détention (JLD) en vue d'un éventuel placement en détention provisoire. Dans une telle hypothèse, le JLD décernerait un mandat de dépôt.
Ils pourraient aussi ne rien décider et laisser la situation judiciaire de M. Benalla en l'état.
Interrogé par l'AFP, le parquet de Paris n'a pas souhaité faire de commentaire.
La défense d'Alexandre Benalla conteste la légalité des enregistrements publiés par Mediapart, estimant leur origine douteuse car ne provenant ni d'écoutes judiciaires, ni d'écoutes administratives.
Ses avocats ont déposé une plainte le 14 février pour "détention illicite d'appareils ou dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interceptions", "atteinte à l'intimité de la vie privée", "atteinte à la représentation de la personne" et "faux", selon une source proche du dossier, confirmant une information du JDD.
Vincent Crase a porté plainte par le biais de son avocat, selon RTL.
Cette contre-offensive intervient alors que le parquet de Paris a chargé le 4 février la Brigade criminelle d'une enquête pour "atteinte à l'intimité de la vie privée" et "détention illicite d'appareils ou de dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interception de télécommunications ou de conversations", autrement dit pour identifier les conditions et l'origine de ces mystérieuses captations.
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
chaque chose en son temps
qu'ils soit déjà jugé sur ses actes du 1º mai et pour l'histoire des passeports et reparler du coffre des armes etc..
et hop en taule !
après on verra pour les enregistrements si Mediapart à fait bien son boulot ou pas
la Justice n'est pas obligée de traiter les choses par le biais du "en même temps !"
qu'ils soit déjà jugé sur ses actes du 1º mai et pour l'histoire des passeports et reparler du coffre des armes etc..
et hop en taule !
après on verra pour les enregistrements si Mediapart à fait bien son boulot ou pas
la Justice n'est pas obligée de traiter les choses par le biais du "en même temps !"
http://i86.servimg.com/u/f86/16/39/51/81/dictat10.jpg
"Les prophètes font parler Dieu, comme un ventriloque fait parler sa marionnette" P. Gripari.
"Ce n'est pas parce que l'on n'est pas d'accord avec l'autre qu'on a raison "
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
merci , mais on à encore du courant pour allumer la téléAnne32 a écrit : Dernières nouvelles AFP de ce jour
Alexandre Benalla est arrivé mardi au tribunal de grande instance de Paris pour être entendu par les juges d'instruction chargés du dossier des violences du 1er mai, a constaté un journaliste de l'AFP.
L'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron est arrivé à 11H00, accompagné notamment de son avocate, Jacqueline Laffont. Une heure auparavant, Vincent Crase, lui aussi mis en examen dans cette enquête, s'était également rendu au tribunal pour être entendu de son côté.
Les magistrats pourraient entendre l'ex-chargé de mission de l'Elysée et son acolyte, un ex-employé de La République en marche et chef d'escadron dans la réserve opérationnelle de la gendarmerie, sur une éventuelle violation des obligations de leur contrôle judiciaire.
Le 31 janvier, Mediapart a publié des enregistrements clandestins de conversations entre les deux hommes, datant du 26 juillet, alors qu'ils avaient pour interdiction d'entrer en contact.
Quatre jours auparavant, ils avaient en effet été mis en examen des violences sur des manifestants à Paris, le 1er mai, et placés sous contrôle judiciaire.
Les juges pourraient théoriquement décider de modifier leur contrôle judiciaire, ou s'ils sont favorables à une révocation, saisir un juge des libertés et de la détention (JLD) en vue d'un éventuel placement en détention provisoire. Dans une telle hypothèse, le JLD décernerait un mandat de dépôt.
Ils pourraient aussi ne rien décider et laisser la situation judiciaire de M. Benalla en l'état.
Interrogé par l'AFP, le parquet de Paris n'a pas souhaité faire de commentaire.
La défense d'Alexandre Benalla conteste la légalité des enregistrements publiés par Mediapart, estimant leur origine douteuse car ne provenant ni d'écoutes judiciaires, ni d'écoutes administratives.
Ses avocats ont déposé une plainte le 14 février pour "détention illicite d'appareils ou dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interceptions", "atteinte à l'intimité de la vie privée", "atteinte à la représentation de la personne" et "faux", selon une source proche du dossier, confirmant une information du JDD.
Vincent Crase a porté plainte par le biais de son avocat, selon RTL.
Cette contre-offensive intervient alors que le parquet de Paris a chargé le 4 février la Brigade criminelle d'une enquête pour "atteinte à l'intimité de la vie privée" et "détention illicite d'appareils ou de dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interception de télécommunications ou de conversations", autrement dit pour identifier les conditions et l'origine de ces mystérieuses captations.
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
Alexandre Benalla placé en détention provisoire
Les juges chargés du dossier ont estimé que l’ancien conseiller d’Emmanuel Macron avait violé son contrôle judiciaire en rencontrant Vincent Crase le 26 juillet 2018, malgré l’interdiction qui lui était faite de le voir.
Par Nicolas Chapuis Publié aujourd’hui à 20h55, mis à jour à 20h59
Temps de Lecture 7 min.
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Il est entré libre au Palais de justice de Paris au matin et en est ressorti menotté le soir, avec un mandat de dépôt, direction la maison d’arrêt. Alexandre Benalla a été placé mardi 19 février en détention provisoire, de source judiciaire. Une décision prise par le juge des libertés et de la détention, saisi par les juges d’instruction chargés du dossier.
Ces derniers ont entendu dans la journée l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron, ainsi que Vincent Crase, le réserviste de la gendarmerie en compagnie duquel il est soupçonné d’avoir molesté des manifestants le 1er mai place de la Contrescarpe, à Paris, comme l’a révélé Le Monde. Les deux amis, qui avaient été mis en examen le 22 juillet 2018 avec interdiction d’entrer en contact, se sont rencontrés le 26 juillet. Mediapart a publié le 31 janvier des enregistrements sonores de cette entrevue.
Les magistrats ont donc considéré qu’il s’agissait d’une violation du contrôle judiciaire. Si le mystère demeure sur les conditions dans lesquelles l’enregistrement de la conversation a été effectué, le contenu a certainement pesé dans la décision des juges. Mediapart avait remis sept captations sonores à la justice.
Volonté manifeste de faire disparaître des preuves
Au cours de leur échange enregistré, les deux protagonistes de l’affaire discutent de plusieurs sujets et notamment de la meilleure façon de faire le ménage. Vincent Crase évoque son envie d’aller faire un tour au siège de La République en marche, dont il était salarié, et où sont stockées ses affaires : « J’essaierais bien d’y aller cette nuit, mais le problème, c’est qu’il y a des flics devant… »
Alexandre Benalla semble lui préoccupé de l’intérêt que la justice pourrait porter à leurs liens avec l’oligarque russe Iskander Makhmudov, via une société baptisée Mars. Il suggère notamment de modifier les montages financiers pour faire disparaître tout lien avec cette entité, ce qui sera fait quelques semaines plus tard, avec la création d’une nouvelle structure. Les magistrats ont pu interpréter cette conversation comme une volonté manifeste de faire disparaître des preuves, une condition suffisante pour révoquer le contrôle judiciaire.
La décision des juges était très attendue dans ce dossier extrêmement médiatique. Les faits et gestes du remuant Alexandre Benalla ont été décortiqués ces derniers mois. Les révélations autour de l’usage de passeports diplomatiques lors de ses nombreux voyages à l’étranger, après avoir été licencié de l’Elysée et mis en examen, avaient provoqué un vif émoi. Tout comme le fait qu’il continue d’entretenir des relations à la nature floue avec un certain nombre de collaborateurs du chef de l’Etat.
le chômage n'augmente pas, il y a un manque d'emploi.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
Muriel Penicaud ministre du travail. France-Inter le 30/07/2018.
"y a pas que les bonbons qui font tomber les dents" célèbre citation de la BAC nantaise.
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
Oui, et alors?????lepicard a écrit :merci , mais on à encore du courant pour allumer la téléAnne32 a écrit : Dernières nouvelles AFP de ce jour
Alexandre Benalla est arrivé mardi au tribunal de grande instance de Paris pour être entendu par les juges d'instruction chargés du dossier des violences du 1er mai, a constaté un journaliste de l'AFP.
L'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron est arrivé à 11H00, accompagné notamment de son avocate, Jacqueline Laffont. Une heure auparavant, Vincent Crase, lui aussi mis en examen dans cette enquête, s'était également rendu au tribunal pour être entendu de son côté.
Les magistrats pourraient entendre l'ex-chargé de mission de l'Elysée et son acolyte, un ex-employé de La République en marche et chef d'escadron dans la réserve opérationnelle de la gendarmerie, sur une éventuelle violation des obligations de leur contrôle judiciaire.
Le 31 janvier, Mediapart a publié des enregistrements clandestins de conversations entre les deux hommes, datant du 26 juillet, alors qu'ils avaient pour interdiction d'entrer en contact.
Quatre jours auparavant, ils avaient en effet été mis en examen des violences sur des manifestants à Paris, le 1er mai, et placés sous contrôle judiciaire.
Les juges pourraient théoriquement décider de modifier leur contrôle judiciaire, ou s'ils sont favorables à une révocation, saisir un juge des libertés et de la détention (JLD) en vue d'un éventuel placement en détention provisoire. Dans une telle hypothèse, le JLD décernerait un mandat de dépôt.
Ils pourraient aussi ne rien décider et laisser la situation judiciaire de M. Benalla en l'état.
Interrogé par l'AFP, le parquet de Paris n'a pas souhaité faire de commentaire.
La défense d'Alexandre Benalla conteste la légalité des enregistrements publiés par Mediapart, estimant leur origine douteuse car ne provenant ni d'écoutes judiciaires, ni d'écoutes administratives.
Ses avocats ont déposé une plainte le 14 février pour "détention illicite d'appareils ou dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interceptions", "atteinte à l'intimité de la vie privée", "atteinte à la représentation de la personne" et "faux", selon une source proche du dossier, confirmant une information du JDD.
Vincent Crase a porté plainte par le biais de son avocat, selon RTL.
Cette contre-offensive intervient alors que le parquet de Paris a chargé le 4 février la Brigade criminelle d'une enquête pour "atteinte à l'intimité de la vie privée" et "détention illicite d'appareils ou de dispositifs techniques de nature à permettre la réalisation d'interception de télécommunications ou de conversations", autrement dit pour identifier les conditions et l'origine de ces mystérieuses captations.
Une chose dont on ne parle pas n'a jamais existé - Oscar Wilde
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Re: ....Il était une fois la saga Benalla....
Anne, soit compatissante, il souffreAnne32 a écrit :Oui, et alors?????lepicard a écrit :
merci , mais on à encore du courant pour allumer la télé

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