sujet général Gilets Jaunes
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- Posteur Giganovesque
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
C'est au-dessus des partis, en transformant le système actuel en politique du citoyen que l'on pourra espérer un vrai changement pour les plus démunis, pour les gens qui font la France, qui font le peuple de France, la richesse de notre pays.
- Fonck1
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
tu peux toujours t'inscrire sur les listes électorales, créer ton parti, et essayer la présidence.Anaïs a écrit : C'est au-dessus des partis, en transformant le système actuel en politique du citoyen que l'on pourra espérer un vrai changement pour les plus démunis, pour les gens qui font la France, qui font le peuple de France, la richesse de notre pays.
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"nul bien sans peine".....
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- Posteur Giganovesque
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
J'ai dit "au-dessus" des partis, donc loin du modèle actuel.. Loin de la dictature de l'argent et du pouvoir.Fonck1 a écrit :tu peux toujours t'inscrire sur les listes électorales, créer ton parti, et essayer la présidence.Anaïs a écrit : C'est au-dessus des partis, en transformant le système actuel en politique du citoyen que l'on pourra espérer un vrai changement pour les plus démunis, pour les gens qui font la France, qui font le peuple de France, la richesse de notre pays.
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- Posteur DIVIN
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
la politique du citoyen , c a d faire comme nos chers marins écossais qui ont voté a plus de 66%pour le Brexit......et qui seront les premiers , et les plus impactés par leur vote , (comme ceux des bassins de construction automobile ) .
Pour transformer un systéme , encore faut il avoir les capacités , ce que vous n' avez pas . Cependant , sur notre planéte , beaucoup de systémes existent , si vous pouviez nous dire vers lequel vous tendez vos petits bras plein d' amour ......
jusqu' a présent , nous ne voyionschez vous que discours politique trés , trés vague ;.......sans direction . Quelle direction voulez vous prendre ?
faut cesser de"pinailler" comme vous le faites .....droit au but
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- Posteur Diamant
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
Vous avez raison mais d'escalade en escalade ,accorder sa confiance aux manifestants devient tout ausi interrogatif.capochef99 a écrit : E MACRON, comme le procureur de Nice , avaient mentis, pour eux, aucun des représentants de l'ordre présents sur la place GARIBALDI de NICE, n'avaient touchés cette dame de 73 ans !!!!
Pas de chance pour ces deux hauts responsables, ne pouvaient être ignorées ces nombreuses photos qui démontrent le contraire !!!
Cela commence à être vraiment difficile d'accorder notre confiance !!!!!
la grande majorité des GJ du 17 novembre ne sont plus là dans la rue . Doit-on considérer que ceux qui sont toujours à battre le pavé revendiquent au seul nom de la souffrance collective ? La j'ai des doutes.
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- Posteur DIVIN
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
Anaïs a écrit :
J'ai dit "au-dessus" des partis, donc loin du modèle actuel.. Loin de la dictature de l'argent et du pouvoir.
ouais ,mais ça doit bien ressembler a qq chose existant non ? j'ail' impréssion que ce serait pour qq chose genre " surprise du chef"
.......on avance masque jé trouve!!!!!
et même si c'est au dessus des partis ...au dessus des partis n 'est pas un programme . Macron a fait un truc dans ce genre mais il a quand même donné ses lignes .......vous voulez pas le dire, grande timide va




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- Posteur DIVIN
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
Fonck1 a écrit : Ce sujet a pour but de centraliser les "faits divers" sur les gilets jaunes des suites des émeutes ou autres en province,résultats d’audiences ou autres, certains sujets déjà existants y seront fusionnés.
plus aucun sujet du type ne sera accepté seul devant la déferlante dans les médias, donc centralisez ici sinon je ferme
il parait que les gens qui cassent ne sont pas le profil des vrais GJ
" " " " GJ avec des slogans racistes ,xénophobes ne sont pas des GJ labellisés GJ AOP
" " " " " qui s 'n prennent aux juifs n' ont pas droit , eux aussi a l' appelation GJ AOP
et lui
C'était une belle histoire d'amour, un quasi-conte de fées au cœur des Gilets jaunes, le mouvement social qui secoue la France depuis le 17 novembre dernier. Ennrick et Christelle se rencontrent dans les manifestations alors qu'ils agitent pancartes et banderoles. Le coup de foudre est presque immédiat puisque le couple se marie le 16 février à la mairie de Montluçon (Allier). La scène a été filmée et photographiée sous tous les angles. Une union entre Gilets jaunes, sacralisée par un échange d'anneaux sur l'aire de repos de Bizeneuilles, à défaut de pouvoir le faire sur le péage même.
Mais la chute est encore plus rapide. La Montagne révèle que Christelle a déposé une plainte pour violences par conjoint. Selon le quotidien, Ennrick aurait très vite abusé de sa nouvelle épouse. Ainsi, la jeune femme a porté plainte quelques jours après le mariage. Selon ses déclarations, son époux l'aurait humiliée à travers des insultes et des crachats au visage, levant même la main sur elle, entre le 15 – la veille du mariage, donc – et le 27 février. Entendu par la police de Montluçon, l'homme a été écroué le 14 mars dernier. Il a rendez-vous avec le juge le 12 juin.
Connu des services de police
Ennrick serait connu de la justice, selon La Montagne. Au mois de septembre dernier, l'homme de 45 ans avait été condamné par le tribunal correction à deux mois de prison ferme. La justice lui reprochait alors notamment le port d'armes. Dans le même temps, il fait l'objet d'une procédure pénale entre les mains du parquet de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) pour violences, rébellion et outrage lors d'une manifestation sur un péage. Une affaire qui le ramènera devant la justice en septembre 2019.
- Corvo
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Dans une yourte de "gilets jaunes", quatre mois...
...d'une vie entre parenthèses.
Pédaler dans le yaourt ou pédaler dans la yourte telle est la question.
"Si on s'arrête, on perd tout" : à Noyon, dans l'Oise, des "gilets jaunes" portent à bout de bras depuis quatre mois leur "camp des Gaulois Réfractaires", partagés entre l'espoir "d'obtenir quelque chose" et la crainte d'un "vide" quand le mouvement s'éteindra.
Assise près d'un brasero artisanal avec son bull-terrier, Stéphanie s'apprête à veiller sur le camp avec une autre "gilet jaune" jusqu'à l'aube.
"La nuit c'est compliqué. On compte les minutes jusqu'à la relève", souffle la trentenaire, sans emploi et mère célibataire de trois enfants. "Mais on a fait le plus dur, l'hiver est passé", se motive-t-elle.
Un noyau dur d'une quinzaine de "gilets jaunes" se relaye sans interruption sur cette petite parcelle, prêtée par une voisine, qui jouxte le rond-point qu'ils occupaient jusqu'en décembre avant d'être délogés par les forces de l'ordre.
"Il y a surtout des ouvriers, mais aussi deux profs, un avocat, des artisans, des retraités", énumère Victor, 43 ans, ancien de l'usine Continental de Clairoix, fermée en 2010 après un long conflit social.
Depuis janvier, une yourte en bois coiffée d'une bâche étanche et dotée d'une porte jaune trône au milieu du camp. La pièce de quelques mètres carrés, chauffée par un poêle à bois, offre un confort sommaire, avec un canapé et un petit réchaud à gaz.
"C'est notre symbole, notre QG. Des automobilistes s'arrêtent parfois pour prendre une photo", raconte avec fierté Caroline, 32 ans, à la
recherche d'un poste d'assistante vétérinaire.
Apporter de la nourriture, couper du bois et alimenter le feu, animer les réunions, préparer des actions : "tout le monde essaie de participer à la vie du camp comme il peut", résume Lucrèce, 36 ans, salariée dans la grande distribution.
Particuliers et entreprises locales font des haltes régulières : "parfois c'est pour déposer une palette de bois, ou juste un peu de café, ça nous montre qu'on est toujours soutenus", souligne Stéphanie. Tous les soirs, un boulanger leur donne ses invendus.
- "Temps arrêté" -
Combien de temps tiendront-ils ? Tous le répètent à l'envi : ils se battront "jusqu'au bout", unis dans la détestation du président Emmanuel Macron, "arrogant et méprisant".
"On est fiers d'être toujours là. On reste aussi mobilisés pour tous ceux qui se sont fait détruire leurs cabanes", explique Benoît, 42 ans.
"Si on s'arrête, on perd tout et on n'a plus qu'à fermer notre gueule", s'encourage Stéphanie pour qui "le temps s'est arrêté depuis le 17 novembre", date du début du mouvement social.
La jeune femme enchaîne les séances de discussion sur le RIC (referendum d'initiative citoyenne, ndlr) puis partage ses connaissances avec le reste du groupe. "Le RIC, c'est mon espoir, il faut bien se raccrocher à quelque chose...", dit-elle.
D'autres se frottent à l'incompréhension de leurs proches. "C'est de plus en plus compliqué avec mon mari. Il dit que je perds mon temps, que je devrais passer plus de temps avec les enfants", explique Caroline.
Chaque nouvelle journée qui se lève sur le camp constitue un petit miracle. "On se demande toutes les semaines si on aura encore assez de monde pour la suivante. Ça nous coûte beaucoup en fatigue, en interrogations quotidiennes", soupire Madeleine, 33 ans.
Cette ex-cadre dirigeante d'un chantier d'insertion, accrochée à l'espoir "d'obtenir quelque chose" du gouvernement sait aussi que, pour beaucoup, la longue parenthèse "gilets jaunes" sera douloureuse à refermer.
"Socialement, le décrochage va être compliqué, redoute-t-elle. Moi-même, je ne me souviens plus de comment j'occupais mes journées avant". Son amie Sabrina abonde : mi-blagueuse mi-sérieuse, elle anticipe pour tous "une dépression quand ça va s'arrêter".
"On appréhende tous un jour de ne plus faire tourner le camp", confesse Stéphanie. "Il n'y a pas grand monde qui passe quatre mois à mettre sa vie de côté comme ça".
Le quart monde COMME LA CENSURE..."En Marche".
https://actu.orange.fr/france/dans-une- ... 31693.html
Pédaler dans le yaourt ou pédaler dans la yourte telle est la question.
"Si on s'arrête, on perd tout" : à Noyon, dans l'Oise, des "gilets jaunes" portent à bout de bras depuis quatre mois leur "camp des Gaulois Réfractaires", partagés entre l'espoir "d'obtenir quelque chose" et la crainte d'un "vide" quand le mouvement s'éteindra.
Assise près d'un brasero artisanal avec son bull-terrier, Stéphanie s'apprête à veiller sur le camp avec une autre "gilet jaune" jusqu'à l'aube.
"La nuit c'est compliqué. On compte les minutes jusqu'à la relève", souffle la trentenaire, sans emploi et mère célibataire de trois enfants. "Mais on a fait le plus dur, l'hiver est passé", se motive-t-elle.
Un noyau dur d'une quinzaine de "gilets jaunes" se relaye sans interruption sur cette petite parcelle, prêtée par une voisine, qui jouxte le rond-point qu'ils occupaient jusqu'en décembre avant d'être délogés par les forces de l'ordre.
"Il y a surtout des ouvriers, mais aussi deux profs, un avocat, des artisans, des retraités", énumère Victor, 43 ans, ancien de l'usine Continental de Clairoix, fermée en 2010 après un long conflit social.
Depuis janvier, une yourte en bois coiffée d'une bâche étanche et dotée d'une porte jaune trône au milieu du camp. La pièce de quelques mètres carrés, chauffée par un poêle à bois, offre un confort sommaire, avec un canapé et un petit réchaud à gaz.
"C'est notre symbole, notre QG. Des automobilistes s'arrêtent parfois pour prendre une photo", raconte avec fierté Caroline, 32 ans, à la
recherche d'un poste d'assistante vétérinaire.
Apporter de la nourriture, couper du bois et alimenter le feu, animer les réunions, préparer des actions : "tout le monde essaie de participer à la vie du camp comme il peut", résume Lucrèce, 36 ans, salariée dans la grande distribution.
Particuliers et entreprises locales font des haltes régulières : "parfois c'est pour déposer une palette de bois, ou juste un peu de café, ça nous montre qu'on est toujours soutenus", souligne Stéphanie. Tous les soirs, un boulanger leur donne ses invendus.
- "Temps arrêté" -
Combien de temps tiendront-ils ? Tous le répètent à l'envi : ils se battront "jusqu'au bout", unis dans la détestation du président Emmanuel Macron, "arrogant et méprisant".
"On est fiers d'être toujours là. On reste aussi mobilisés pour tous ceux qui se sont fait détruire leurs cabanes", explique Benoît, 42 ans.
"Si on s'arrête, on perd tout et on n'a plus qu'à fermer notre gueule", s'encourage Stéphanie pour qui "le temps s'est arrêté depuis le 17 novembre", date du début du mouvement social.
La jeune femme enchaîne les séances de discussion sur le RIC (referendum d'initiative citoyenne, ndlr) puis partage ses connaissances avec le reste du groupe. "Le RIC, c'est mon espoir, il faut bien se raccrocher à quelque chose...", dit-elle.
D'autres se frottent à l'incompréhension de leurs proches. "C'est de plus en plus compliqué avec mon mari. Il dit que je perds mon temps, que je devrais passer plus de temps avec les enfants", explique Caroline.
Chaque nouvelle journée qui se lève sur le camp constitue un petit miracle. "On se demande toutes les semaines si on aura encore assez de monde pour la suivante. Ça nous coûte beaucoup en fatigue, en interrogations quotidiennes", soupire Madeleine, 33 ans.
Cette ex-cadre dirigeante d'un chantier d'insertion, accrochée à l'espoir "d'obtenir quelque chose" du gouvernement sait aussi que, pour beaucoup, la longue parenthèse "gilets jaunes" sera douloureuse à refermer.
"Socialement, le décrochage va être compliqué, redoute-t-elle. Moi-même, je ne me souviens plus de comment j'occupais mes journées avant". Son amie Sabrina abonde : mi-blagueuse mi-sérieuse, elle anticipe pour tous "une dépression quand ça va s'arrêter".
"On appréhende tous un jour de ne plus faire tourner le camp", confesse Stéphanie. "Il n'y a pas grand monde qui passe quatre mois à mettre sa vie de côté comme ça".
Le quart monde COMME LA CENSURE..."En Marche".
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
Dans mon idée, ce qui me séduirait, c'est un modèle qui ressemblerait au Plan C déjà bien élaboré et détaillé que l'on peut trouver sur le site de Etienne CHOUARD et qui me semble se rapprocher d'une politique équilibrée, juste et où tout le monde pourrait trouver sa place. Ce qui me semble être ce que tout le monde attend de la politique.vincent a écrit :
ouais ,mais ça doit bien ressembler a qq chose existant non ? j'ail' impréssion que ce serait pour qq chose genre " surprise du chef"
.......on avance masque jé trouve!!!!!
et même si c'est au dessus des partis ...au dessus des partis n 'est pas un programme . Macron a fait un truc dans ce genre mais il a quand même donné ses lignes .......vous voulez pas le dire, grande timide va![]()
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
Anaïs a écrit :Dans mon idée, ce qui me séduirait, c'est un modèle qui ressemblerait au Plan C déjà bien élaboré et détaillé que l'on peut trouver sur le site de Etienne CHOUARD et qui me semble se rapprocher d'une politique équilibrée, juste et où tout le monde pourrait trouver sa place. Ce qui me semble être ce que tout le monde attend de la politique.vincent a écrit :
ouais ,mais ça doit bien ressembler a qq chose existant non ? j'ail' impréssion que ce serait pour qq chose genre " surprise du chef"
.......on avance masque jé trouve!!!!!
et même si c'est au dessus des partis ...au dessus des partis n 'est pas un programme . Macron a fait un truc dans ce genre mais il a quand même donné ses lignes .......vous voulez pas le dire, grande timide va![]()
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Gauche radicale à la Chélanchon non merci.
![Dan.San :]](https://www.forum-actualite.com/debats/images/smilies/8.gif)
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
Des détails, des détails ! on en a marre des mots, des mots puis rien derrière...Fonck1 a écrit :Anaïs a écrit :
Dans mon idée, ce qui me séduirait, c'est un modèle qui ressemblerait au Plan C déjà bien élaboré et détaillé que l'on peut trouver sur le site de Etienne CHOUARD et qui me semble se rapprocher d'une politique équilibrée, juste et où tout le monde pourrait trouver sa place. Ce qui me semble être ce que tout le monde attend de la politique.
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
le cv de ce type parle pour lui, tu le trouveras pas toi même sur Wikipedia , c’est étonnant que tu parles de gens et que tu ne connaissent même pas le fondAnaïs a écrit :Des détails, des détails ! on en a marre des mots, des mots puis rien derrière...Fonck1 a écrit :
Gauche radicale à la Chélanchon non merci.
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
La question est de savoir ce qu'il y a sur le fond du Plan C, avec ou sans Etienne CHOUARD. Je crois que tu n'as pas compris que la dictature doit se transformer en prise de conscience et en éveil du peuple.
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Re: Faits divers Gilets Jaunes et résultats d'audience
Anaïs a écrit :
Dans mon idée, ce qui me séduirait, c'est un modèle qui ressemblerait au Plan C déjà bien élaboré et détaillé que l'on peut trouver sur le site de Etienne CHOUARD et qui me semble se rapprocher d'une politique équilibrée, juste et où tout le monde pourrait trouver sa place. Ce qui me semble être ce que tout le monde attend de la politique.
oui , je vous l' ai déja démonté ce plan ......rien que sur le "tirage au sort " suffit a faire éclater de rire .
donc , si vous le voulez bien , on en est pas a 2 ans prés .....attendons les résultats du Brexit qui est bien un prototype grandeur nature du RIC " sur un point ou l'enjeux est important" comme l' écris ce brave type .les représentants du peuple ont littéralement confisqué le pouvoir du peuple et lui dénient le droit de s'exprimer directement, de décider lui-même de son sort, surtout sur les points où l'enjeu est important :
Dans 2 ans on commencera a y voir plus clair , ( si Brexit au 20 avril s), si c' est un truc du genre " bon , je vais prendre un apart pour faire le point sur nous ....j' ai besoin de me recentrer , de réfléchir .....etc etc ....." proto en cours de modif
Le Brexit aurait déja du être réalisé le 29 mars "suivant la volonté du peuple"
donc 2 ans aprés Brexit effectif ,bilan :
1 voir région par région ( voir par agglomération ) les villes avec le plus fort taux de pro brexit aux élections
2 regarder les effets du Brexit sur ces villes surces régions aprés 2 ans d 'existence.
chiffrage .
je vous signale que leur vote " sur un pont important" fera obligatoirement des surprises trés , trés désagréables , et que les plus forts taux de brexiteurs seront les plus impactés rapidement ( moi je pense aux allocs chômage dans ce pays , c'est pas la France ). Tout simplement ( je ne met pas un opinion , mais des faits)on regarde
le marin ayant voté pour le Brexit ne se rend même pas compte que ne voir que le positif : "nos eaux seront rien qu' a nous , nous n' auront plus de quotas a respecté ...." (et c'est vrai) n 'est pas suffisant :
sa femme , son fils !!!! qui travaillnt dans une des entreprises qui prépare , emballe , livre , risque de perdre son emploi......ces sociétés obligées moralement de soutenir les marins , mais ont en fait une peur bleue peur du Brexit ......des attentes a la douane , des droits de douane a payer , des documents a fournir.....
l' UE qui importe 80 % des pêches de l' Ecosse ( dont 50 % sur la France à Boulogne ) va t elle tolérer d ' importer des produits de pêche intensive , sans respect des réglements qu' elle impose a ses propre pêcheurs ?
RIC , idée de gamins immatures ou de gauchistes du siécle dernier .....
Il faut analyser les risques lorsqu' on prenant des mesures , donc avoir des connaissances que vous n' avez pas ,vous simplifiez des problémes trés complexes qui vous dépassent , comme le Nigel , Boris et Cie ont simplifié a outrance le Brexit qui ne se résume pas a :
je vais faire gagner la contribution de notre pays a l' UE ( environ 10 Mds) et le mettre dans notre systéme de santé




c 'est pas bien de mentir , que ce soit par omission ou incompétence ( je pense qu' il y a les 2 chez ce type )
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- Posteur Diamant
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Re: Dans une yourte de "gilets jaunes", quatre mois...
Ces situations sont loin de laisser indifférent .Corvo a écrit : ...d'une vie entre parenthèses.
Pédaler dans le yaourt ou pédaler dans la yourte telle est la question.
"Si on s'arrête, on perd tout" : à Noyon, dans l'Oise, des "gilets jaunes" portent à bout de bras depuis quatre mois leur "camp des Gaulois Réfractaires", partagés entre l'espoir "d'obtenir quelque chose" et la crainte d'un "vide" quand le mouvement s'éteindra.
Assise près d'un brasero artisanal avec son bull-terrier, Stéphanie s'apprête à veiller sur le camp avec une autre "gilet jaune" jusqu'à l'aube.
"La nuit c'est compliqué. On compte les minutes jusqu'à la relève", souffle la trentenaire, sans emploi et mère célibataire de trois enfants. "Mais on a fait le plus dur, l'hiver est passé", se motive-t-elle.
Un noyau dur d'une quinzaine de "gilets jaunes" se relaye sans interruption sur cette petite parcelle, prêtée par une voisine, qui jouxte le rond-point qu'ils occupaient jusqu'en décembre avant d'être délogés par les forces de l'ordre.
"Il y a surtout des ouvriers, mais aussi deux profs, un avocat, des artisans, des retraités", énumère Victor, 43 ans, ancien de l'usine Continental de Clairoix, fermée en 2010 après un long conflit social.
Depuis janvier, une yourte en bois coiffée d'une bâche étanche et dotée d'une porte jaune trône au milieu du camp. La pièce de quelques mètres carrés, chauffée par un poêle à bois, offre un confort sommaire, avec un canapé et un petit réchaud à gaz.
"C'est notre symbole, notre QG. Des automobilistes s'arrêtent parfois pour prendre une photo", raconte avec fierté Caroline, 32 ans, à la
recherche d'un poste d'assistante vétérinaire.
Apporter de la nourriture, couper du bois et alimenter le feu, animer les réunions, préparer des actions : "tout le monde essaie de participer à la vie du camp comme il peut", résume Lucrèce, 36 ans, salariée dans la grande distribution.
Particuliers et entreprises locales font des haltes régulières : "parfois c'est pour déposer une palette de bois, ou juste un peu de café, ça nous montre qu'on est toujours soutenus", souligne Stéphanie. Tous les soirs, un boulanger leur donne ses invendus.
- "Temps arrêté" -
Combien de temps tiendront-ils ? Tous le répètent à l'envi : ils se battront "jusqu'au bout", unis dans la détestation du président Emmanuel Macron, "arrogant et méprisant".
"On est fiers d'être toujours là. On reste aussi mobilisés pour tous ceux qui se sont fait détruire leurs cabanes", explique Benoît, 42 ans.
"Si on s'arrête, on perd tout et on n'a plus qu'à fermer notre gueule", s'encourage Stéphanie pour qui "le temps s'est arrêté depuis le 17 novembre", date du début du mouvement social.
La jeune femme enchaîne les séances de discussion sur le RIC (referendum d'initiative citoyenne, ndlr) puis partage ses connaissances avec le reste du groupe. "Le RIC, c'est mon espoir, il faut bien se raccrocher à quelque chose...", dit-elle.
D'autres se frottent à l'incompréhension de leurs proches. "C'est de plus en plus compliqué avec mon mari. Il dit que je perds mon temps, que je devrais passer plus de temps avec les enfants", explique Caroline.
Chaque nouvelle journée qui se lève sur le camp constitue un petit miracle. "On se demande toutes les semaines si on aura encore assez de monde pour la suivante. Ça nous coûte beaucoup en fatigue, en interrogations quotidiennes", soupire Madeleine, 33 ans.
Cette ex-cadre dirigeante d'un chantier d'insertion, accrochée à l'espoir "d'obtenir quelque chose" du gouvernement sait aussi que, pour beaucoup, la longue parenthèse "gilets jaunes" sera douloureuse à refermer.
"Socialement, le décrochage va être compliqué, redoute-t-elle. Moi-même, je ne me souviens plus de comment j'occupais mes journées avant". Son amie Sabrina abonde : mi-blagueuse mi-sérieuse, elle anticipe pour tous "une dépression quand ça va s'arrêter".
"On appréhende tous un jour de ne plus faire tourner le camp", confesse Stéphanie. "Il n'y a pas grand monde qui passe quatre mois à mettre sa vie de côté comme ça".
Le quart monde COMME LA CENSURE..."En Marche".
https://actu.orange.fr/france/dans-une- ... 31693.html
« Si on s’arrête on perd tout ». « La longue parenthèse GJ sera douloureuse à refermer ».
Ces quelques phrases cachent la peur de l’avenir clairement exprimé vraisemblablement non sans raison selon chacun et il est difficile de rester indifférent .
le 17 novembre à démontré qu’une majorité de Français se reconnaissaient dans une sorte de souffrance certes exprimée sous plusieurs formes mais qui obtenait un large consensus sur le constat que beaucoup de choses sont à revoir, rééquilibrer, changer, etc..
Cette manifestation signifiait aux élus et futurs élus que la gouvernance ne pourra à l’avenir fonctionner avec les mêmes méthodes. Je suis persuadé que ceux-ci , car c’est dans leur intérêt ,ils l’ont mesuré.
Dire qu’ils ne tenteront pas à nouveau de nous faire mille promesses, d’utiliser les mêmes méthodes, je n’irai pas jusque là mais nous verrons qu’ils mettrons de sérieux freins à leurs promesses démagogiques dont ils sont coutumiers en période électorale .
Peut-être aussi que nos exigences parfois démesurées les incitent à les rendre démagogues.
Attendre « quelque chose « est bien trop généraliste qu’il faudra bien expliciter ce qui malheureusement aujourd’hui part dans tous les sens .
On peut le remarquer bien que le fil directeur reste le même : On a du mal à boucler les fins de mois ou de vivre décemment de son travail.
Malheureusement les « accidents » de la vie comme cette trentenaire sans emploi seule avec 3 enfants existent . l’Etat peut-il ,doit-il tout assumer ou accompagner du mieux possible. Je suppose que même faibles les allocations sont là .Comme on ne parle pas de veuve, le père génétique apporte t-il sa contribution. L’Etat se doit d’être intraitable en cas de manquement. Mais toute la difficulté est bien de déterminer ou et s’arrête la responsabilité de l’Etat.
Mais un tel mouvement laissera des traces personne ne pense autrement à mon avis.
Certains retrouvaient sur ces lieux de manifestation une découverte de la vie en société et donc voyaient en cela du positif.
Pour d’autres, éprouver un vide est aussi une situation qui sera inévitablement vécue par beaucoup avec, si le grand débat n’apporte aucune mesure, une amplification d’autant plus grande qu’ils auront le sentiment que tout fût inutile.
Débattre sur le RIC est une chose mais on est loin de le mettre en pratique même au niveau communal ou là concertation est loin d’être pratiquée .Combien de référendums locaux ?
Pourtant il y aurait tant à débattre sur les orientations communales qui es la première strate du pouvoir décisionnel ! La majorité est omnipotente et généralement sans complaisance. Alors au niveau national....C’est pour cela que je préfère les élections classiques voir pour la députation tous les 2 ans .
On peut avoir un sentiment plus ou moins de rejet de l’homme Président mais ceci signifie t-il pour autant que sa politique est toute aussi détestable. Là les avis divergent et c’est normal en démocratie.