vivarais a écrit : voulez vous que je vous en cite d'autres comme l'imam de lunel chassé parce que pas assez salafiste
http://www.valeursactuelles.com/lunel-a ... ique-56905
http://www.crif.org/fr/revuedepresse/re ... unel/57679
si vous voulez je peux vous citer d'autres faits
ce n'est pas les liens qui manque
le conflit irlandais n'avait rien de religieux comme celui en catalogne
et cela ne se déroulait pas à la sortie des temples et eglises
mais c'était des actes semblables à ceux que font aujourd'hui les djihadistes en france
ne melangez pas tou
sauf que l'imam de Lunel a été révoqué direct, dans ton lien, le ministère de l'intérieur SAVAIT, et a fini par faire SON travail.
Si tu avais lu ton article :
Alors que dans les pays majoritairement musulmans, les imams sont toujours des fonctionnaires de l’État, ils manquent en France d’un réel statut. « Beaucoup n’ont pas de contrat de travail – ni affiliation à la sécurité sociale, ni salaire fixe – et sont donc soumis à la pression du président de l’association, souvent un notable local, et de la communauté ».
Conseil théologique
Abdellali Mamoun, fondateur du Conseil des imams, a fait lui-même cette douloureuse expérience. Jugeant qu’il faut « couper le robinet de la radicalisation », il suggère au Conseil français du culte musulman (CFCM) de créer un « conseil théologique » qui serait lui-même doté d’un « conseil de l’ordre ». « Celui-ci se déplacerait sur les lieux, écouterait les parties et, dans un rapport, établirait qui, de l’imam ou des fidèles, est déviant », explique-t-il. Le CFCM ou la préfecture prendrait ensuite les mesures adéquates.
c'est bien l'état de l'époque qui a laissé faire, mais les renseignements et l'intérieur savaient.
et pour ta gouverne, vu qu'une fois de plus du parles sans savoir :
Le conflit commence dans la seconde moitié des années 1960 par un mouvement pour les droits civiques contre la ségrégation confessionnelle que subit la minorité catholique.
L'opposition entre républicains et nationalistes (principalement catholiques) d'une part, loyalistes et unionistes (principalement protestants)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conflit_nord-irlandais
quand à Lunel (c'est à 10 bornes de chez moi alors je pense bien connaitre le village), un administré en parle très bien, et je lui donne 100% raison, c'est bien la municipalité qui n'a pas fait son travail :
https://www.la-croix.com/France/Lunel-v ... 1200929215
Philippe Moissonnier, passé du PS à La République en marche, se refuse à accabler le premier magistrat. « C’est son choix de ne pas parler, ce n’est pas le mien, se contente-t-il de déclarer, avant d’ajouter : On est tous un peu responsables. »
Une ville où il est « difficile de trouver sa place »
Puis il décrit un « terreau » favorable au terrorisme qui n’a guère changé ces dernières années. Urbaniste de profession, l’élu montre les poches de grande pauvreté,rappelle l’existence d’un taux de chômage à 20 %, évoque les « ratonnades » des années 1980 et dessine les frontières entre « Français de souche » et une importante minorité issue de l’immigration maghrébine.
« On est sur un territoire avec des traditions camarguaises très fortes, souligne-t-il. Pour qui vient de l’extérieur, c’est difficile de trouver sa place. C’est sur cela qu’il faut travailler pour le vivre-ensemble. »
La France face au défi du salafisme
Lunel veut tourner la page du soupçon djihadiste
Président de l’association Lune et liens, Jean-Pierre Berthet pense de même. « Mais la ville n’est plus tout à fait la même qu’à la fin de 2014, affirme-t-il. On est à la fois dans l’immobilisme et le changement. Il y a encore beaucoup à faire pour améliorer le vivre-ensemble, mais il s’est passé des choses. Il y a des initiatives, même si c’est modeste. » Pour appuyer ses propos, cet ancien magistrat cite l’ouverture d’une école de la 2e chance, d’une école du numérique, d’un centre social de la CAF, des appels à projets lancés…
Un nouvel imam qui parle français
Coiffé d’une calotte immaculée, l’imam de la mosquée El-Baraka, Saïd Aït-Laama, a été le premier à « remercier et féliciter » l’équipe du film. Pour lui, l’engagement dans le djihad d’une vingtaine de musulmans n’est pas un « sujet tabou ». « Il faut absolument que nous soyons tous ensemble dans cette lutte, insiste-t-il. Ce n’est pas suffisant de dire que l’islam, ce n’est pas ça. »
Arrivé de Cholet il y a un an et demi, ce religieux a notamment été choisi parce qu’il parle français, contrairement à son prédécesseur. Ce dernier avait démissionné en 2015 après avoir reçu des menaces de mort parce qu’il critiquait le choix d’aller en Syrie. Des fidèles avaient alors également perturbé les élections internes à la mosquée. Le président de l’époque de l’association des musulmans de Lunel avait, lui, suscité une polémique en refusant au contraire de condamner les « partants ».