
Comme dit tisi ..les yeux bandés on y voit très bien..

on peut très bien concevoir qu'un soixante huitard ménauposé sur le retour soit contre les FdO ; mébonmic43121 a écrit : Je constate que les défenseurs des policiers ne savent plus quoi dire si ce n'est des âneries![]()
Comme dit tisi ..les yeux bandés on y voit très bien..
C'est bien le juge d'instruction qui prendra la décision finale puisque la justice à été saisie dans cette affaire. Ce n'est pas l'enquête policière qui décidera.mic43121 a écrit : Je constate que les défenseurs des policiers ne savent plus quoi dire si ce n'est des âneries![]()
Comme dit tisi ..les yeux bandés on y voit très bien..
Victor a écrit :Enfin je trouve cela très dangereux que certains français s'auto-déterminent "le peuple".gare au gorille a écrit :
En gros t'es pour que le peuple s'écrase, car les G.J. même si ce n'est pas tout le peuple c'est surtout le peuple.
Qui peut dire que le peuple, ce sont ceux-ci et pas ceux-là ?
Cette notion de "peuple" à toutes les sauces s'est toujours retrouvée dans tous les discours de tous les fascistes d'hier et d'aujourd'hui. C'est à cause de cette référence permanente au "peuple" que je suis persuadé d'une probable récupération fasciste de ce mouvement GJ.
Il serait mieux, à mon avis, d'expliquer que les GJ regroupent une majorité de français avec un faible pouvoir d'achat et des difficultés à boucler les fins de mois. On peut aussi parler des classes sociales dites "populaires".
vous oubliez que l'amnésie peut etre passagèrelatresne a écrit : Elle ne se rappelait de rien à l'hopital puis tt d'un coup aprés consultation auprés de ses proches et de son avocat la mémoire lui revient ! Elle se souvient mm que c'est "la hiérarchie" qui a donné l'ordre de charger mémère .
On est en plein vaudeville .La prochaine fois elle restera dans son Ehpad avec ses copines et son loto.
vivarais a écrit :vous oubliez que l'amnésie peut etre passagèrelatresne a écrit : Elle ne se rappelait de rien à l'hopital puis tt d'un coup aprés consultation auprés de ses proches et de son avocat la mémoire lui revient ! Elle se souvient mm que c'est "la hiérarchie" qui a donné l'ordre de charger mémère .
On est en plein vaudeville .La prochaine fois elle restera dans son Ehpad avec ses copines et son loto.
qui l'on peut oublier ce qui s'est passé avant mais iren de ce qui s'est passé après
comme l'influencer pour lui faire croire que c'est un journaliste que l'avait bousculé
pour le reste , il y a suffisament d'éléments dans le visionnage des cassettes vidéo ; plus les aveux du policier qui l'a bousculé et qui s'est excusé
je ne vois pas à quoi peuvent servir vos divaguations
la justice ne tranchera pas psur des ouies dire mais sur des preuves matérielles apportées par les 3 parties (accusation , defense et partie civile )
autrement dit le procureur qui a les preuves réunis dans le dossier , la defense qui va tenter d'atténuer la responsabilité du policier en la reportant sur ceux qui ont donné les ordres de charger avec violence et la partie civile de la victime
une chance qu'elle ne soit pas décédée car cela serait jugé aux assises avec un jury populaire
archange a écrit :C'est bien le juge d'instruction qui prendra la décision finale puisque la justice à été saisie dans cette affaire. Ce n'est pas l'enquête policière qui décidera.mic43121 a écrit : Je constate que les défenseurs des policiers ne savent plus quoi dire si ce n'est des âneries![]()
Comme dit tisi ..les yeux bandés on y voit très bien..
Maintenant libre à vous de croire ou non dans notre système judiciaire .
dans ce cas là c'était une réaction disproportionnèeUBUROI a écrit :archange a écrit :
C'est bien le juge d'instruction qui prendra la décision finale puisque la justice à été saisie dans cette affaire. Ce n'est pas l'enquête policière qui décidera.
Maintenant libre à vous de croire ou non dans notre système judiciaire .Ne doutons pas un seul instant que dès la plainte déposée, les plaignants auront su demander que l'on conserve les preuves que la Ville de Nice, particulièrement bien dotée en caméras de vidéo surveillance, archivent sur ses disques durs. La Justice fera son office, et on verra sans doute ce coup de matraque "qui a fait un trou": un geste ample difficilement dissimulable d'après une vidéo réalisée sur Besançon.
Et puis comme dit l'autre, à braver les interdictions, les ordres d'évacuer un lieu interdit... il faut s'attendre à des réactions policières proportionnées.
A partir du moment ou les sommations d'usage ont été faites la réaction n'apparaît pas disproportionnée. Et puis si à son âge elle ne sait pas qu'il est interdit, au risque de se faire "bastonner", de...même pacifiquement manifester sur sur un lieu non autorisé franchement....vivarais a écrit :dans ce cas là c'était une réaction disproportionnèeUBUROI a écrit :
Ne doutons pas un seul instant que dès la plainte déposée, les plaignants auront su demander que l'on conserve les preuves que la Ville de Nice, particulièrement bien dotée en caméras de vidéo surveillance, archivent sur ses disques durs. La Justice fera son office, et on verra sans doute ce coup de matraque "qui a fait un trou": un geste ample difficilement dissimulable d'après une vidéo réalisée sur Besançon.
Et puis comme dit l'autre, à braver les interdictions, les ordres d'évacuer un lieu interdit... il faut s'attendre à des réactions policières proportionnées.
une charge de CRS au lieu de refouler au pas des manifestants pacfiques bouclier contre bouclier comme cela s'est fait à avignon dans le calme le samedi suivant (refoulement sans violence suite à la bavure du samedi précédent à nice)
aujourd'hui il n'y a pas que les vidéo surveillance des villes qui ne filment pas sous tous les angles mais aussi celle de témoins sur place qui filment avec leur smartphone
la justice fera son oeuvre si ce n'est sous le macronisme ce sera sous les gouvernements qui suivront
regardez pour le RWANDA les responsables pensaient plus de 25 ans étre à l'abri d'un jugement
maintenant tu comprends que le fait de se déporter vers la gauche ne peut avoir que des conséquenses dramatiquesGeorges61 a écrit : Il y a 5 ans j'ai eu un grave accident de voiture, accroché par un camion dont le chauffeur utilisait son portable en roulant, il c'est déporté sur sa gauche. Je me suis retrouvé quelques heures dans le comas. En me réveillant, je me revoyais me déportant sur la droite pour tenter d'éviter le camion qui m'arrivait droit dessus. Touché à la tête, il m'a fallut une bonne semaine pour me souvenir de ce qui c'était passé.
vous oubliez une chose , c'est que la riposte doit etre proportionnelle aux circonstancesCorvo a écrit :A partir du moment ou les sommations d'usage ont été faites la réaction n'apparaît pas disproportionnée. Et puis si à son âge elle ne sait pas qu'il est interdit, au risque de se faire "bastonner", de...même pacifiquement manifester sur sur un lieu non autorisé franchement....vivarais a écrit :
dans ce cas là c'était une réaction disproportionnèe
une charge de CRS au lieu de refouler au pas des manifestants pacfiques bouclier contre bouclier comme cela s'est fait à avignon dans le calme le samedi suivant (refoulement sans violence suite à la bavure du samedi précédent à nice)
aujourd'hui il n'y a pas que les vidéo surveillance des villes qui ne filment pas sous tous les angles mais aussi celle de témoins sur place qui filment avec leur smartphone
la justice fera son oeuvre si ce n'est sous le macronisme ce sera sous les gouvernements qui suivront
regardez pour le RWANDA les responsables pensaient plus de 25 ans étre à l'abri d'un jugement
Grand débat national. Claude Malhuret : « J’ai entendu plus d’âneries en 6 mois qu’en 30 ans de vie publique »
Le sénateur de l’Allier Claude Malhuret, président du groupe Les Indépendants a prononcé un discours très remarqué, mercredi 10 avril, devant le Premier Ministre. / © Vincent Isore / MAXPPP
Un grand débat politique sur le Grand débat. Mercredi 10 avril, au Sénat, les présidents de groupe se sont exprimés à la sortie du grand débat, face au Premier Ministre Edouard Philippe. Le sénateur de l’Allier et président du groupe Les Indépendants Claude Malhuret a mis à profit ses 8 minutes de temps de parole pour prononcer un discours qui n’est pas passé inaperçu.
Des "gouverneurs de ronds-points autoproclamés"
« J’ai l’impression d’avoir plus appris au cours de ces six derniers mois qu’en 30 ans de vie publique. Pour tout dire, j’ai aussi entendu plus d’âneries en six mois qu’en 30 ans. Et pourtant depuis 30 ans nous en avons tous entendu pas mal ». C’est en ces termes que le sénateur de l’Allier a débuté son allocution. Et de poursuivre : « Si, comme disait Talleyrand, la politique est l’art d’agiter les peuples avant de s’en servir, alors nous avons pris une grande leçon de politique de quelques gouverneurs de ronds-points autoproclamés qui ont réussi à transformer en fureur la colère de quelques dizaines de milliers de personnes et à leur faire croire qu’ils sont à eux seuls le peuple français ».
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#GrandDebatNational @ClaudeMalhuret : "J'ai entendu plus d’âneries en 6 mois qu'en 30 ans de vie publique."
Évoquant les dernières manifestations des gilets jaunes, Claude Malhuret ne mâche pas ses mots :
« Il ne reste plus aujourd’hui dans les rues le samedi que quelques acharnés d’un mouvement sans but et sans programme, zigzagant le long des boulevards comme des canards décapités, s’enivrant de selfies sur fond de poubelles en feu en répétant « On ne lâche rien », sans qu’on sache d’ailleurs ce qu’ils tenaient. Le spectacle est navrant et pourtant beaucoup d’inquiétudes sont réelles. L’objectif du grand débat, si j’ai bien compris, est d’y répondre ».
"La conclusion du grand débat, c’est un peu une lettre au Père Noël"
Pour lui, la principale vertu du Grand débat est d’avoir « remplacé les révoltés des braseros, plus centrés sur eux-mêmes qu’un trou noir et refusant tout dialogue, par des élus locaux et leurs concitoyens dans les mairies ». Selon Claude Malhuret, de nombreuses propositions issues des contributions risquent de conduire à une explosion des dépenses publiques. Et d’insister : « La conclusion du grand débat, c’est un peu une lettre au Père Noël, et si le Président ne veut pas passer pour le Père Fouettard, il va devoir réussir à expliquer que la différence entre le grand débat et le gouvernement, c’est que le gouvernement ne peut s’affranchir du réel. Et le réel, c’est que nous sommes les champions du monde de la dépense publique et des prélèvements obligatoires. »
De l'"indignationnisme"
Dans son discours, le sénateur de l’Allier a également évoqué le populisme et « les nuages qui s’accumulent sur notre démocratie ». « Nul ne ment autant qu’un homme indigné » disait Nietzsche. Et nous sommes aujourd’hui atteints d’indignationnisme", a-t-il déclaré.
S’adressant au Premier Ministre :
« Et c’est le moment où certains vous demandent de remplacer la démocratie représentative par la démocratie directe. Parce qu’on peut aujourd’hui se procurer d’un clic un costume, une voiture d’occasion ou même un partenaire d’un soir, certains pensent qu’on peut faire la loi ou révoquer le Président en un clic. Ils ne voient pas que cette démocratie directe-là, c’est ce que nous avons sous les yeux depuis six mois, la démocratie des réseaux antisociaux, avec, au nombre de followers, FlyRider comme Président. « La foule est traître au peuple » disait Victor Hugo et la démocratie directe proposée par les populistes est le triomphe de la foule. Nous voyons bien déjà que derrière le masque avenant du référendum d’initiative citoyenne se cache le visage plein de ressentiment du référendum révocatoire."
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#GrandDebatNational @ClaudeMalhuret : "Nous voyons bien que derrière le masque avenant du #RIC se cache le visage plein de ressentiment du référendum révocatoire."
Montesquieu, Tocqueville, Drouet et le boxeur du Pont des Arts
« Je comprends que l’on souhaite une démocratie plus participative, dans cette Vème République si … comment dire … Jupitérienne. Et il va nous falloir trouver un équilibre. Mais ce n’est pas au moment où tout semble glisser, déraper, devenir incontrôlable, qu’il faut affaiblir la démocratie représentative. Entre Montesquieu et Tocqueville d’un côté, Drouet et le boxeur du Pont des Arts de l’autre, je choisis les premiers, même s’ils n’ont pas d’amis sur Facebook ».
En décembre 2018, Claude Malhuret avait déjà prononcé un discours très remarqué à l’occasion du débat sur la crise des gilets jaunes. « La loi se fait au Parlement et pas sur les ronds-points », avait-il rappelé aux parlementaires.
UBUROI a écrit : Voilà un fait divers totalement passé inaperçu!
Un sénateur n'y est pas allé par 4 chemins pour dire tout haut au Sénat, ce que j'écris ici tout bas!
A lire et à relire, c'est du miel!![]()
Grand débat national. Claude Malhuret : « J’ai entendu plus d’âneries en 6 mois qu’en 30 ans de vie publique »
Le sénateur de l’Allier Claude Malhuret, président du groupe Les Indépendants a prononcé un discours très remarqué, mercredi 10 avril, devant le Premier Ministre. / © Vincent Isore / MAXPPP
Un grand débat politique sur le Grand débat. Mercredi 10 avril, au Sénat, les présidents de groupe se sont exprimés à la sortie du grand débat, face au Premier Ministre Edouard Philippe. Le sénateur de l’Allier et président du groupe Les Indépendants Claude Malhuret a mis à profit ses 8 minutes de temps de parole pour prononcer un discours qui n’est pas passé inaperçu.
Des "gouverneurs de ronds-points autoproclamés"
« J’ai l’impression d’avoir plus appris au cours de ces six derniers mois qu’en 30 ans de vie publique. Pour tout dire, j’ai aussi entendu plus d’âneries en six mois qu’en 30 ans. Et pourtant depuis 30 ans nous en avons tous entendu pas mal ». C’est en ces termes que le sénateur de l’Allier a débuté son allocution. Et de poursuivre : « Si, comme disait Talleyrand, la politique est l’art d’agiter les peuples avant de s’en servir, alors nous avons pris une grande leçon de politique de quelques gouverneurs de ronds-points autoproclamés qui ont réussi à transformer en fureur la colère de quelques dizaines de milliers de personnes et à leur faire croire qu’ils sont à eux seuls le peuple français ».
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« Il ne reste plus aujourd’hui dans les rues le samedi que quelques acharnés d’un mouvement sans but et sans programme, zigzagant le long des boulevards comme des canards décapités, s’enivrant de selfies sur fond de poubelles en feu en répétant « On ne lâche rien », sans qu’on sache d’ailleurs ce qu’ils tenaient. Le spectacle est navrant et pourtant beaucoup d’inquiétudes sont réelles. L’objectif du grand débat, si j’ai bien compris, est d’y répondre ».
"La conclusion du grand débat, c’est un peu une lettre au Père Noël"
Pour lui, la principale vertu du Grand débat est d’avoir « remplacé les révoltés des braseros, plus centrés sur eux-mêmes qu’un trou noir et refusant tout dialogue, par des élus locaux et leurs concitoyens dans les mairies ». Selon Claude Malhuret, de nombreuses propositions issues des contributions risquent de conduire à une explosion des dépenses publiques. Et d’insister : « La conclusion du grand débat, c’est un peu une lettre au Père Noël, et si le Président ne veut pas passer pour le Père Fouettard, il va devoir réussir à expliquer que la différence entre le grand débat et le gouvernement, c’est que le gouvernement ne peut s’affranchir du réel. Et le réel, c’est que nous sommes les champions du monde de la dépense publique et des prélèvements obligatoires. »
De l'"indignationnisme"
Dans son discours, le sénateur de l’Allier a également évoqué le populisme et « les nuages qui s’accumulent sur notre démocratie ». « Nul ne ment autant qu’un homme indigné » disait Nietzsche. Et nous sommes aujourd’hui atteints d’indignationnisme", a-t-il déclaré.
S’adressant au Premier Ministre :
« Et c’est le moment où certains vous demandent de remplacer la démocratie représentative par la démocratie directe. Parce qu’on peut aujourd’hui se procurer d’un clic un costume, une voiture d’occasion ou même un partenaire d’un soir, certains pensent qu’on peut faire la loi ou révoquer le Président en un clic. Ils ne voient pas que cette démocratie directe-là, c’est ce que nous avons sous les yeux depuis six mois, la démocratie des réseaux antisociaux, avec, au nombre de followers, FlyRider comme Président. « La foule est traître au peuple » disait Victor Hugo et la démocratie directe proposée par les populistes est le triomphe de la foule. Nous voyons bien déjà que derrière le masque avenant du référendum d’initiative citoyenne se cache le visage plein de ressentiment du référendum révocatoire."
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« Je comprends que l’on souhaite une démocratie plus participative, dans cette Vème République si … comment dire … Jupitérienne. Et il va nous falloir trouver un équilibre. Mais ce n’est pas au moment où tout semble glisser, déraper, devenir incontrôlable, qu’il faut affaiblir la démocratie représentative. Entre Montesquieu et Tocqueville d’un côté, Drouet et le boxeur du Pont des Arts de l’autre, je choisis les premiers, même s’ils n’ont pas d’amis sur Facebook ».
En décembre 2018, Claude Malhuret avait déjà prononcé un discours très remarqué à l’occasion du débat sur la crise des gilets jaunes. « La loi se fait au Parlement et pas sur les ronds-points », avait-il rappelé aux parlementaires.