respecté et trompés .....il n' y avait pas dans ce référendum l ' annexe " et ensuite on sort de l' UE "
c'était un référendum sur 1 question avec le RU dans l' Europe
ce sera un second référendum sur 1 question avec le RU hors de l' Europe ....
respecté et trompés .....il n' y avait pas dans ce référendum l ' annexe " et ensuite on sort de l' UE "
encore un qui a tout compris , ce n'est pas la decision de boris johnson qui peut etre annulée ; mais celle de celui Ecossais qui avait signé les accords sur les clauses du référendum avec david cameronjabar a écrit : ↑15 janvier 2020 10:54vivarais a écrit : ↑14 janvier 2020 18:14 alors ne rêvez pas comme pour le bréxit la probabilité d'un nouveau référendum sur l'indépendance ce n'est pas pour demain mais dans une génération
les politiques britanniques qu'ils soient Ecossais , anglais gallois ou nord irlandais ne transigent pas sur l'honneur
ils ne reviennent jamais sur un accord qu'ils ont signé et ce quel qu'en soit les conséquences
il va falloir vous y faire , ils n'agissent pas comme les politiciens français qui renient sans cesse leur parole
surtout en cette période macronique
la consultation sur NDDL devait etre respectée
l'age de départ en retraite ne devait pas être reculé
etc etc etc
mis en cause un élu politique britannique démissionne
Non, un second référendum est inévitable, c'est une question de temps, à court terme. Cela donne des munitions au SNP pour les élections en 2021. Et la décision de Johnson peut être annulée en justice. Mais il est probable que les indépendantistes attendront les élections de l'année prochaine pour revenir à la charge bien mieux armés.
L'argument principal des opposants à l'indépendance de l'Ecosse en 2014 était qu'une Ecosse indépendante allait sortir de l'UE, pour que les Anglais décident de quitter l'UE 2 ans plus tard en entrainant de force les Ecossais (qui ont voté à plus de 60% pour rester dans l'UE). Tu ne vois pas le problème ?gare au gorille a écrit : ↑15 janvier 2020 13:31Fonck1 a écrit : ↑15 janvier 2020 10:40 Moi ça me fait marrer que les pro brexit demandent à ce que l'on respecte le choix du peuple anglais, mais que d'un autre côté, le choix du peuple écossais n'a pas à être respecté.
c'est dingue cette géométrie variable de la liberté de chacun, des vraies girouettes.
Mais c'est toi qui semble avoir une géométrie variable de la démocratie. En 2014 le référendum organisé pour ou contre l'indépendance de l' écosse a donné 55,3 % de votants hostiles à cette idée d' indépendance. Le choix du peuple Eccossais s'est déjà exprimé et il est parfaitement respecté.
De même une majorité de citoyens du Royaume Uni dont l' Ecosse fait justement partie ont souhaité quitter l' U.E. et encore une fois ce n'est que le respect du choix démocratique qui est appliqué. Ta réflexion est assez étrange.
Nitram a écrit : ↑15 janvier 2020 17:53L'argument principal des opposants à l'indépendance de l'Ecosse en 2014 était qu'une Ecosse indépendante allait sortir de l'UE, pour que les Anglais décident de quitter l'UE 2 ans plus tard en entrainant de force les Ecossais (qui ont voté à plus de 60% pour rester dans l'UE). Tu ne vois pas le problème ?gare au gorille a écrit : ↑15 janvier 2020 13:31
Mais c'est toi qui semble avoir une géométrie variable de la démocratie. En 2014 le référendum organisé pour ou contre l'indépendance de l' écosse a donné 55,3 % de votants hostiles à cette idée d' indépendance. Le choix du peuple Eccossais s'est déjà exprimé et il est parfaitement respecté.
De même une majorité de citoyens du Royaume Uni dont l' Ecosse fait justement partie ont souhaité quitter l' U.E. et encore une fois ce n'est que le respect du choix démocratique qui est appliqué. Ta réflexion est assez étrange.
L'argument qui leur a fait rester au sein du Royaume-Uni c'était de rester dans l'UE, mais on les fait quand même sortir de l'UE contre leur volonté. La cohérence démocratique ça serait d'organiser un nouveau vote.gare au gorille a écrit : ↑15 janvier 2020 18:45Nitram a écrit : ↑15 janvier 2020 17:53
L'argument principal des opposants à l'indépendance de l'Ecosse en 2014 était qu'une Ecosse indépendante allait sortir de l'UE, pour que les Anglais décident de quitter l'UE 2 ans plus tard en entrainant de force les Ecossais (qui ont voté à plus de 60% pour rester dans l'UE). Tu ne vois pas le problème ?
Ben le problème c'est que majoritairement les Ecossais ont voté pour rester dans le royaume Uni, leur vote a été respecté. Ensuite le Royaume Uni a voté majoritairement pour sortir de l' U.E. Leur vote semble respecté. Tout cela est très démocratique, l'inverse serait affligeant.
On ne va pas refaire un vote parce que le résultat déplait à quelques uns.
La démocratie ça implique de se farcir un résultat qui ne nous convient pas forcément mais qui a été à chaque fois celui de la majorité. Ce n'est pas le meilleur des systèmes mais on sait tous que c'est le moins pire, sauf à vouloir une démocratie à géométrie variable.
Nitram a écrit : ↑15 janvier 2020 18:50L'argument qui leur a fait rester au sein du Royaume-Uni c'était de rester dans l'UE, mais on les fait quand même sortir de l'UE contre leur volonté. La cohérence démocratique ça serait d'organiser un nouveau vote.gare au gorille a écrit : ↑15 janvier 2020 18:45
Ben le problème c'est que majoritairement les Ecossais ont voté pour rester dans le royaume Uni, leur vote a été respecté. Ensuite le Royaume Uni a voté majoritairement pour sortir de l' U.E. Leur vote semble respecté. Tout cela est très démocratique, l'inverse serait affligeant.
On ne va pas refaire un vote parce que le résultat déplait à quelques uns.
La démocratie ça implique de se farcir un résultat qui ne nous convient pas forcément mais qui a été à chaque fois celui de la majorité. Ce n'est pas le meilleur des systèmes mais on sait tous que c'est le moins pire, sauf à vouloir une démocratie à géométrie variable.
D'ailleurs la campagne de Johnson lors des élections de décembre en Ecosse c'était "ne votez pas pour les indépendantistes si vous ne voulez pas de second référendum" or les indépendantistes ont gagné 49 sièges sur 56. Donc pourquoi les conservateurs ne prennent pas acte que les Ecossais en envoyant une très large majorité d'indépendantistes au Parlement veulent un référendum ?
Les circonstances ont changé. L'Ecosse est sortie de l'UE contre sa volonté, ça justifie parfaitement un nouveau référendum. Parce que les conditions qui ont fait que les Ecossais ont rejeté l'indépendance en 2014 n'existent plus.
Et donc on s'assoit sur les raisons qui ont poussé les Ecossais à voter pour rester dans le Royaume-Uni, on s'assoit sur le résultat du référendum de 2016 en Ecosse ? On s'assoit sur le résultat des élections législatives en Ecosse avec un raz-de-marée pro-indépendantistes ?gare au gorille a écrit : ↑15 janvier 2020 19:10Nitram a écrit : ↑15 janvier 2020 18:50
L'argument qui leur a fait rester au sein du Royaume-Uni c'était de rester dans l'UE, mais on les fait quand même sortir de l'UE contre leur volonté. La cohérence démocratique ça serait d'organiser un nouveau vote.
D'ailleurs la campagne de Johnson lors des élections de décembre en Ecosse c'était "ne votez pas pour les indépendantistes si vous ne voulez pas de second référendum" or les indépendantistes ont gagné 49 sièges sur 56. Donc pourquoi les conservateurs ne prennent pas acte que les Ecossais en envoyant une très large majorité d'indépendantistes au Parlement veulent un référendum ?
Les circonstances ont changé. L'Ecosse est sortie de l'UE contre sa volonté, ça justifie parfaitement un nouveau référendum. Parce que les conditions qui ont fait que les Ecossais ont rejeté l'indépendance en 2014 n'existent plus.
Ben non, je ne partage pas ton analyse. L'Ecosse est sortie de l'U.E. parce que le Royaume Uni auquel elle appartient a décidé de sortir de manière démocratique. Il n'y a aucune raison de revenir sur des votes qui étaient tous démocratiques parce que ça dérange une partie du Royaume Uni.
Pour l'instant le Royaume Uni est un tout et quand le Royaume Uni décide majoritairement de sortir de l'U.E. c'est tout le monde qui sort.
Un référendum sur l'indépendance a eu lieu en 2014, l' Ecosse a décidé de rester avec le Royaume Uni, aujourd'hui elle ne peut rien faire d'autre que respecter son propre vote.
ils sont des démocrates quand ça les arrangent, donc pas vraiment des démocrates.Nitram a écrit : ↑15 janvier 2020 20:12Et donc on s'assoit sur les raisons qui ont poussé les Ecossais à voter pour rester dans le Royaume-Uni, on s'assoit sur le résultat du référendum de 2016 en Ecosse ? On s'assoit sur le résultat des élections législatives en Ecosse avec un raz-de-marée pro-indépendantistes ?gare au gorille a écrit : ↑15 janvier 2020 19:10
Ben non, je ne partage pas ton analyse. L'Ecosse est sortie de l'U.E. parce que le Royaume Uni auquel elle appartient a décidé de sortir de manière démocratique. Il n'y a aucune raison de revenir sur des votes qui étaient tous démocratiques parce que ça dérange une partie du Royaume Uni.
Pour l'instant le Royaume Uni est un tout et quand le Royaume Uni décide majoritairement de sortir de l'U.E. c'est tout le monde qui sort.
Un référendum sur l'indépendance a eu lieu en 2014, l' Ecosse a décidé de rester avec le Royaume Uni, aujourd'hui elle ne peut rien faire d'autre que respecter son propre vote.
C'est marrant cette vision de la démocratie qui voudrait enchainer le peuple dans un vote et un seul vote. Comme si les situations ne changeaient pas, comme si les gens n'avaient pas le droit de changer d'avis.
Les Néo-Calédoniens ont rejeté l'indépendance en 2018 et pourtant on les refait voter sur le même sujet en septembre 2020.
Fonck1 a écrit : ↑15 janvier 2020 21:30ils sont des démocrates quand ça les arrangent, donc pas vraiment des démocrates.Nitram a écrit : ↑15 janvier 2020 20:12
Et donc on s'assoit sur les raisons qui ont poussé les Ecossais à voter pour rester dans le Royaume-Uni, on s'assoit sur le résultat du référendum de 2016 en Ecosse ? On s'assoit sur le résultat des élections législatives en Ecosse avec un raz-de-marée pro-indépendantistes ?
C'est marrant cette vision de la démocratie qui voudrait enchainer le peuple dans un vote et un seul vote. Comme si les situations ne changeaient pas, comme si les gens n'avaient pas le droit de changer d'avis.
Les Néo-Calédoniens ont rejeté l'indépendance en 2018 et pourtant on les refait voter sur le même sujet en septembre 2020.
mais ce n'est pas vraiment surprenant.
non, tu sais ce que c'est, le royaume uni? c'est un consortium de pays, si tu connaissais l'histoire de ce pays (j'ai eu la chance de visiter wesminster) tu saurais que historiquement, c'est l'addition de plusieurs pays sous forme d'accords.gare au gorille a écrit : ↑15 janvier 2020 22:47
Cher Fonck, la démocratie c'est juste le respect du résultat des urnes. Nous aussi on aimerait bien pouvoir revoter chaque fois que le résultat n'est pas celui qui nous convient, mais la démocratie c'est de faire avec ce que les majorités ont décidé. L' Ecosse fait partie du Royaume Uni, et le par un vote démocratique le Royaume Uni a décidé de claquer la porte de l'U.E.
Aprés on peut toujours vouloir refaire le match mais pour l'instant on est encore dans le respect de la démocratie.
Après la victoire de Boris Johnson, les Européens "prêts" pour l'après-Brexit
Actualité 13.12.2019 Boran Tobelem, à Bruxelles
Les Vingt-Sept ont pris acte du succès électoral de Boris Johnson au Royaume-Uni. Vendredi 13 décembre à Bruxelles, ils ont appelé l'UE et les Britanniques à négocier leur relation post-Brexit au plus tôt.
"Nous sommes prêts à commencer la phase suivante", a annoncé le nouveau président du Conseil européen Charles Michel. L'ancien Premier ministre belge, qui a pris ses fonctions le 1er décembre, est intervenu vendredi en milieu de journée, juste après la discussion des chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE sur le Brexit qui a clôturé le sommet.
Ainsi, les Vingt-Sept demandent à la Commission européenne de présenter au Conseil un "projet de mandat global pour [négocier] les relations futures avec le Royaume-Uni immédiatement après le retrait de celui-ci".
Ce traité sur les relations futures entre l'Union et le Royaume-Uni devra être conclu au cours de la période de transition, pendant laquelle le pays continuera d'appliquer et de bénéficier des politiques européennes (comme le marché unique) sans pouvoir participer aux décisions de l'UE.
Expirant le 31 décembre 2020, cette période de transition pourra être étendue une fois, à la demande des Britanniques et avec l'accord unanime des Européens, mais Boris Johnson l'a pour l'heure exclu.
"Défendre et promouvoir les intérêts européens"
A ce stade, le Conseil européen n'a pas livré de détails sur le contenu des négociations à venir. Mais un ensemble de principes non négociables devraient être érigés en ligne rouge par les Vingt-Sept. "Nous sommes prêts à défendre et promouvoir les intérêts européens", a affirmé Charles Michel.
Emmanuel Macron a quant à lui déclaré que les "intérêts stratégiques" de l'UE seront précisés "dès le début février dans un mandat de négociation". Les Européens seront "clairs sur [les] priorités, notamment les conditions de concurrence équitable, la pêche et notre coopération en matière de sécurité extérieure et intérieure", a annoncé le chef de l'Etat français.
Charles Michel, de même que le président français, ont aussi évoqué le principe, déjà mentionné auparavant, du "level playing field". C'est-à-dire une réciprocité de normes sociales et environnementales dans les futures relations commerciales, qui garantirait le caractère équitable de ces dernières.
Mais cette négociation pourrait s'annoncer très complexe. Notamment si Boris Johnson persistait dans son refus de renouveler la période de transition si aucun accord n'était conclu avec l'UE à la fin de celle-ci. Ce qui ne laisserait que 11 mois après le retrait britannique pour faire aboutir les pourparlers.
Quoi qu'il en soit, jeudi 13 décembre, Charles Michel a conclu sa conférence de presse en exprimant l'espoir des Européens de "conserver à l'avenir une relation stratégique très forte avec le Royaume-Uni". Des propos partagés par Emmanuel Macron, qui souhaite que ce dernier "reste un pays allié, ami et partenaire extrêmement proche".
mais de quoi parles tu? pourquoi donc la BCE aurait brisé le RU?vivarais a écrit : ↑18 janvier 2020 07:38 après avoir montrer les crocs ; maintenant l'UE se couche sur le dos ; la queue entre les jambes
la tentative de briser la volonté d'un peuple comme elle l'avait fait pour la Grèce avec les britanniques çà n'a pas marché
il est vrai qu'eux ont eu l'intelligence de ne pas rentrer dans l'euros et donc ils n'ont pas subi le blocus de la BCE comme les grecs