Effectivement, ce chiffre a une forte probabilité d'augmenter dans le future car nous glissons du droit de l'enfant vers le droit à l'enfant. Avec une PMA accessible et libre, les femmes n'ont plus besoin de conjoint pour faire des enfants. En Bulgarie, une femme peut concevoir un enfant seule pour moitié moins cher qu'en Espagne, entre le prix cassé de l'avion, l' hotel a bas prix et les prestations PMA pas chères, c'est presque démocratisé...Jean de Meung a écrit : ↑20 janvier 2020 11:41Ce que ne règlera en aucun cas la PMA pour les mères célibataires, ce qui, niveau individualisme, est quand même le summum du genre !Jiimmy a écrit : ↑19 janvier 2020 21:24 Peu importe qu'il y ait des enfants dans l'équation, désormais c'est l'individualisme qui prime. Seule compte notre petite existence, le reste n'existe pas, le bien-être de ceux qui nous sont chers passe après le nôtre (nous sont-ils réellement chers au final).
Perso, mes parents ont divorcé, et ça ne m'a en rien affecté. D'un autre côté, j'ai eu la chance d'être avec le "bon parent", ce qui m'a permis une adolescence plutôt confortable et insouciante. Tout le monde n'a pas cette "chance".
Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
Exact..Et le fait qu'un parent vive seul avec un enfant ne signifie en rien que l'autre ne doit pas s'occuper de l'enfant aussi...Si ce n'est pas le cas c'est qu'il y a un gros soucis entre les parents ou que le parent concerné n'assume pas l'enfant,tout simplement...Excepté les décisions de justice bien entendu.Pas automatiquement pire que d'avoir ses deux parents qui s'engueulent tous les jours...
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
on appelait ça : une association fonçière

la notion économique de >ménage< n'inclue pas l'amour
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
ouais si elles veulent un gamin c'est leur problème mais qu'elles ne viennent pas demander sans arrêt des aides de toutes sortes , trop facile de demander à la société de financer ce genre de comportementssofasurfer a écrit : ↑20 janvier 2020 11:54Effectivement, ce chiffre a une forte probabilité d'augmenter dans le future car nous glissons du droit de l'enfant vers le droit à l'enfant. Avec une PMA accessible et libre, les femmes n'ont plus besoin de conjoint pour faire des enfants. En Bulgarie, une femme peut concevoir un enfant seule pour moitié moins cher qu'en Espagne, entre le prix cassé de l'avion, l' hotel a bas prix et les prestations PMA pas chères, c'est presque démocratisé...Jean de Meung a écrit : ↑20 janvier 2020 11:41 Ce que ne règlera en aucun cas la PMA pour les mères célibataires, ce qui, niveau individualisme, est quand même le summum du genre !
Perso, mes parents ont divorcé, et ça ne m'a en rien affecté. D'un autre côté, j'ai eu la chance d'être avec le "bon parent", ce qui m'a permis une adolescence plutôt confortable et insouciante. Tout le monde n'a pas cette "chance".
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
avec un seul parent ou chez un des 2 parents en alternancefleur2jasmin a écrit : ↑19 janvier 2020 12:24 Selon une nouvelle étude de l’Insee publiée ce mardi, 28 % des enfants français vivent avec un seul de leurs parents. Ce taux était inférieur à 10 % en 1975. Aujourd’hui, ils sont 21 % à vivre dans une famille monoparentale (souvent la mère) et 7 % dans une famille recomposée, avec un parent et un beau-parent.
Sur les 72 % d’enfants vivant avec leurs deux parents, 68 % sont dans une famille « traditionnelle » et 4 % dans une famille recomposée, avec des demi-frères ou demi-sœurs, selon l’étude qui se base sur des chiffres de 2018. 79 % des moins de trois ans vivent avec leurs deux parents, contre seulement 61 % des 15-17 ans.
Plus de familles monoparentales en ville
Le type de famille influence les conditions de vie et notamment le fait de vivre dans un logement surpeuplé. C’est le cas de 10 % des enfants vivant dans une famille traditionnelle, 16 % des enfants de familles recomposées et 23 % des enfants de familles monoparentales. De même, 66 % des familles « traditionnelles » sont propriétaires mais seulement 48 % des familles recomposées et 28 % des familles monoparentales.
L’étude montre aussi des inégalités géographiques des types de familles. Les familles monoparentales sont plus nombreuses dans les grandes villes. Cela peut s’expliquer par « la présence de logements sociaux et la petite taille de ces familles », indique l’Insee. Ainsi, si 21 % des enfants vivent dans des familles monoparentales, ce taux est de 29 % pour les enfants vivant dans les « villes centres des grands pôles urbains ».
https://www.20minutes.fr/societe/269575 ... elon-insee

par contre on se propose de faire qu'il y ait des enfants sans filiation paternelle avec la PMA pour tous
alors à quoi sert de faire de études sur le sujet
apres la première guerre mondiale et la grippe espagnole qui a suivi combien d'enfants ont vécu dans un foyer monoparental
surement un % plus élevé qu'aujourd'hui ce qui n'a pas empêché la terre de continuer à tourner
il y a des choses bien plus sérieuses sur lesquels se pencher comme la disparition de la culture judéo chretienne qui est la clé de voute de la société occidentale
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
La PMA est remboursé par la sécurité sociale (soit avec notre participation financière) pour un couple qui a du mal à concevoir ça se comprend mais alors pour des mères célibataires je ne comprends pas trop le truc en fait . Surtout que le « géniteur » est bien souvent inconnu, c’est égoïste quelque part : la légitimité de l’enfant>>> c’est bien de connaître ses origines biologiques. Enfin bref ça c’est un autre débat ...evariste a écrit : ↑20 janvier 2020 19:05ouais si elles veulent un gamin c'est leur problème mais qu'elles ne viennent pas demander sans arrêt des aides de toutes sortes , trop facile de demander à la société de financer ce genre de comportementssofasurfer a écrit : ↑20 janvier 2020 11:54
Effectivement, ce chiffre a une forte probabilité d'augmenter dans le future car nous glissons du droit de l'enfant vers le droit à l'enfant. Avec une PMA accessible et libre, les femmes n'ont plus besoin de conjoint pour faire des enfants. En Bulgarie, une femme peut concevoir un enfant seule pour moitié moins cher qu'en Espagne, entre le prix cassé de l'avion, l' hotel a bas prix et les prestations PMA pas chères, c'est presque démocratisé...
Si vous n'êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. MalcolmX
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
Je ne pensais pas que ce sujet allait susciter autant de réactions.
Pour ma part, j’aime les familles traditionnelles : j’ai grandie dans ce cadre et je pense que pour l’équilibre des enfants c’est l’idéal. Mais bon malheureusement tout le monde ne mène pas une vie idyllique (exemple : relation conflictuelle avec son conjoint(e), divorce).
Déjà être en couple c’est un engagement alors avoir des enfants ça l’est d’autant plus !
Il y a aujourd’hui des couples qui se séparent pour des « broutilles » c’est vrai et d’autres pour des raisons un peu plus gravissime.
Il existe aussi des personnes (souvent les femmes) qui restent avec leur conjoint malgré les conflits POUR l’équilibre de leurs enfants justement afin d’éviter qu’ils souffrent.. En fait, cela vient d’une bonne intention mais personnellement je ne pense pas que ce soit une solution non plus parce qu’au final les enfants ils ressentent les émotions des parents et quand ça ne va pas ou plus et que les parents se déchirent au quotidien bah ils grandissent avec ce sentiment et ça aussi ça laisse des séquelles...
Bref, le fait qu’il y ai de plus en plus de familles monoparentales ça créé aussi des pbs de logements ! Forcément il en faut 2 fois plus...
Je sais que ça pose soucis aussi pour les enseignants à l’école (plutôt en maternelle et primaire), ils doivent redoubler de vigilance pour ne pas confier l’enfant à son père ou à sa mère alors que ce n’est pas la « bonne semaine ».
Pour ma part, j’aime les familles traditionnelles : j’ai grandie dans ce cadre et je pense que pour l’équilibre des enfants c’est l’idéal. Mais bon malheureusement tout le monde ne mène pas une vie idyllique (exemple : relation conflictuelle avec son conjoint(e), divorce).
Déjà être en couple c’est un engagement alors avoir des enfants ça l’est d’autant plus !
Il y a aujourd’hui des couples qui se séparent pour des « broutilles » c’est vrai et d’autres pour des raisons un peu plus gravissime.
Il existe aussi des personnes (souvent les femmes) qui restent avec leur conjoint malgré les conflits POUR l’équilibre de leurs enfants justement afin d’éviter qu’ils souffrent.. En fait, cela vient d’une bonne intention mais personnellement je ne pense pas que ce soit une solution non plus parce qu’au final les enfants ils ressentent les émotions des parents et quand ça ne va pas ou plus et que les parents se déchirent au quotidien bah ils grandissent avec ce sentiment et ça aussi ça laisse des séquelles...
Bref, le fait qu’il y ai de plus en plus de familles monoparentales ça créé aussi des pbs de logements ! Forcément il en faut 2 fois plus...
Je sais que ça pose soucis aussi pour les enseignants à l’école (plutôt en maternelle et primaire), ils doivent redoubler de vigilance pour ne pas confier l’enfant à son père ou à sa mère alors que ce n’est pas la « bonne semaine ».
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
J'aime bien vos 3 lignes de conclusion , si on pouvait definir avec precision le bon sens , ca en serait certainementfleur2jasmin a écrit : ↑20 janvier 2020 20:21 Je ne pensais pas que ce sujet allait susciter autant de réactions.
Pour ma part, j’aime les familles traditionnelles : j’ai grandie dans ce cadre et je pense que pour l’équilibre des enfants c’est l’idéal. Mais bon malheureusement tout le monde ne mène pas une vie idyllique (exemple : relation conflictuelle avec son conjoint(e), divorce).
Déjà être en couple c’est un engagement alors avoir des enfants ça l’est d’autant plus !
Il y a aujourd’hui des couples qui se séparent pour des « broutilles » c’est vrai et d’autres pour des raisons un peu plus gravissime.
Il existe aussi des personnes (souvent les femmes) qui restent avec leur conjoint malgré les conflits POUR l’équilibre de leurs enfants justement afin d’éviter qu’ils souffrent.. En fait, cela vient d’une bonne intention mais personnellement je ne pense pas que ce soit une solution non plus parce qu’au final les enfants ils ressentent les émotions des parents et quand ça ne va pas ou plus et que les parents se déchirent au quotidien bah ils grandissent avec ce sentiment et ça aussi ça laisse des séquelles...
Bref, le fait qu’il y ai de plus en plus de familles monoparentales ça créé aussi des pbs de logements ! Forcément il en faut 2 fois plus...
Je sais que ça pose soucis aussi pour les enseignants à l’école (plutôt en maternelle et primaire), ils doivent redoubler de vigilance pour ne pas confier l’enfant à son père ou à sa mère alors que ce n’est pas la « bonne semaine ».

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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
et si il y a 2 enfants doivent ils quadrupler leur vigilence ??????oups a écrit : ↑20 janvier 2020 23:54J'aime bien vos 3 lignes de conclusion , si on pouvait definir avec precision le bon sens , ca en serait certainementfleur2jasmin a écrit : ↑20 janvier 2020 20:21 Je ne pensais pas que ce sujet allait susciter autant de réactions.
Pour ma part, j’aime les familles traditionnelles : j’ai grandie dans ce cadre et je pense que pour l’équilibre des enfants c’est l’idéal. Mais bon malheureusement tout le monde ne mène pas une vie idyllique (exemple : relation conflictuelle avec son conjoint(e), divorce).
Déjà être en couple c’est un engagement alors avoir des enfants ça l’est d’autant plus !
Il y a aujourd’hui des couples qui se séparent pour des « broutilles » c’est vrai et d’autres pour des raisons un peu plus gravissime.
Il existe aussi des personnes (souvent les femmes) qui restent avec leur conjoint malgré les conflits POUR l’équilibre de leurs enfants justement afin d’éviter qu’ils souffrent.. En fait, cela vient d’une bonne intention mais personnellement je ne pense pas que ce soit une solution non plus parce qu’au final les enfants ils ressentent les émotions des parents et quand ça ne va pas ou plus et que les parents se déchirent au quotidien bah ils grandissent avec ce sentiment et ça aussi ça laisse des séquelles...
Bref, le fait qu’il y ai de plus en plus de familles monoparentales ça créé aussi des pbs de logements ! Forcément il en faut 2 fois plus...
Je sais que ça pose soucis aussi pour les enseignants à l’école (plutôt en maternelle et primaire), ils doivent redoubler de vigilance pour ne pas confier l’enfant à son père ou à sa mère alors que ce n’est pas la « bonne semaine ».![]()
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
même s'ils se séparent , l'enfant à toujours la référence d'un père et d'une mère d'une origine et d'une généalogie complètefleur2jasmin a écrit : ↑20 janvier 2020 20:21 Je ne pensais pas que ce sujet allait susciter autant de réactions.
Pour ma part, j’aime les familles traditionnelles : j’ai grandie dans ce cadre et je pense que pour l’équilibre des enfants c’est l’idéal. Mais bon malheureusement tout le monde ne mène pas une vie idyllique (exemple : relation conflictuelle avec son conjoint(e), divorce).
Déjà être en couple c’est un engagement alors avoir des enfants ça l’est d’autant plus !
Il y a aujourd’hui des couples qui se séparent pour des « broutilles » c’est vrai et d’autres pour des raisons un peu plus gravissime.
Il existe aussi des personnes (souvent les femmes) qui restent avec leur conjoint malgré les conflits POUR l’équilibre de leurs enfants justement afin d’éviter qu’ils souffrent.. En fait, cela vient d’une bonne intention mais personnellement je ne pense pas que ce soit une solution non plus parce qu’au final les enfants ils ressentent les émotions des parents et quand ça ne va pas ou plus et que les parents se déchirent au quotidien bah ils grandissent avec ce sentiment et ça aussi ça laisse des séquelles...
Bref, le fait qu’il y ai de plus en plus de familles monoparentales ça créé aussi des pbs de logements ! Forcément il en faut 2 fois plus...
Je sais que ça pose soucis aussi pour les enseignants à l’école (plutôt en maternelle et primaire), ils doivent redoubler de vigilance pour ne pas confier l’enfant à son père ou à sa mère alors que ce n’est pas la « bonne semaine ».
il suffit de voir le désarroi de ceux en recherche en filiation lorsqu'ils savent qu'ils ont été adoptés alors que pourtant ils ont de parents de substitution bien plus qu'aimants
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
c'est comme pour les GJ , on cherche toujours la racine de ce fléau , on a bien qques doutes ............vivarais a écrit : ↑21 janvier 2020 15:16même s'ils se séparent , l'enfant à toujours la référence d'un père et d'une mère d'une origine et d'une généalogie complètefleur2jasmin a écrit : ↑20 janvier 2020 20:21 Je ne pensais pas que ce sujet allait susciter autant de réactions.
Pour ma part, j’aime les familles traditionnelles : j’ai grandie dans ce cadre et je pense que pour l’équilibre des enfants c’est l’idéal. Mais bon malheureusement tout le monde ne mène pas une vie idyllique (exemple : relation conflictuelle avec son conjoint(e), divorce).
Déjà être en couple c’est un engagement alors avoir des enfants ça l’est d’autant plus !
Il y a aujourd’hui des couples qui se séparent pour des « broutilles » c’est vrai et d’autres pour des raisons un peu plus gravissime.
Il existe aussi des personnes (souvent les femmes) qui restent avec leur conjoint malgré les conflits POUR l’équilibre de leurs enfants justement afin d’éviter qu’ils souffrent.. En fait, cela vient d’une bonne intention mais personnellement je ne pense pas que ce soit une solution non plus parce qu’au final les enfants ils ressentent les émotions des parents et quand ça ne va pas ou plus et que les parents se déchirent au quotidien bah ils grandissent avec ce sentiment et ça aussi ça laisse des séquelles...
Bref, le fait qu’il y ai de plus en plus de familles monoparentales ça créé aussi des pbs de logements ! Forcément il en faut 2 fois plus...
Je sais que ça pose soucis aussi pour les enseignants à l’école (plutôt en maternelle et primaire), ils doivent redoubler de vigilance pour ne pas confier l’enfant à son père ou à sa mère alors que ce n’est pas la « bonne semaine ».
il suffit de voir le désarroi de ceux en recherche en filiation lorsqu'ils savent qu'ils ont été adoptés alors que pourtant ils ont de parents de substitution bien plus qu'aimants
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
Séparation : quels effets sur le niveau de vie des enfants ?
Une étude de l’Ined (Institut national d’études démographiques) révèle une dégradation de leurs conditions de vie, particulièrement lorsqu’ils vivent avec leur mère.
C'est établi, les séparations ont souvent pour conséquence une baisse du niveau de vie des ex-conjoints, en particulier des femmes. Mais rarement la recherche s'est penchée sur leurs effets sur les enfants. C'est l'objet de l'étude de deux chercheuses de l'Ined (Institut national d'études démographiques) Anne Solaz et Carole Bonnet, « Séparation des parents : un risque accru de pauvreté pour les enfants ? », parue mercredi 19 avril. « Il nous semblait important d'appréhender la pauvreté du point de vue de l'enfant, dont la séparation des parents et les possibles conséquences sur son devenir n'étaient jusqu'alors pas ou peu quantifiées », commente auprès du Point cette première.
Ainsi l'étude révèle-t-elle que si 4 % des enfants vivant avec leurs parents entrent, chaque année, sous le seuil de pauvreté, en France (soit un niveau de vie 60 % inférieur au niveau de vie médian), ce chiffre s'élève à 21,5 %, soit cinq fois plus, l'année de la séparation de ces derniers. Le taux de pauvreté général (soit les nouveaux pauvres et ceux qui le restent) atteint ainsi 29 % chez les enfants de couples séparés contre 13 % chez ceux dont les parents ne le sont pas. Un écart qui – sous réserve d'une remise en couple – reste marqué dans les années suivant la séparation. « L'étude confirme que l'entrée dans la pauvreté des enfants, parfois antérieure à la rupture conjugale, peut aussi être l'une de ses conséquences directes », confirme ainsi Anne Solaz.
Une altération du niveau de vie qui diffère selon le mode de garde. Si les enfants multirésidents peuvent faire l'expérience d'écarts considérables entre l'un et l'autre des parents, la résidence alternée – un choix de plus en plus fréquent – induit une baisse de niveau de vie de l'ordre de 24 % lorsqu'ils résident principalement avec leur mère – la majorité des cas – moitié moins avec leur père. Une question d'économie d'échelle, les frais comme le logement, le chauffage ou l'entretien de la voiture, autrefois partagés, devenant à la charge d'un seul parent. Mais aussi d'écart initial de niveau de vie entre hommes et femmes.
Conditions de vie altérées
Autre déterminant soulevé par l'étude : le taux de pauvreté varie selon l'âge de l'enfant au moment de la séparation de ses parents. « Plus le divorce des parents intervient tôt dans l'enfance, plus ce risque de pauvreté est important », précise ainsi Anne Solaz, dont les travaux révèlent que 35 % des enfants de deux ans dont les parents viennent de se séparer sont « pauvres », contre 22 % des ceux de 13 ans. Une donnée qu'elle invite toutefois à nuancer : « On sait que les séparations intervenant lorsque les enfants sont jeunes sont particulières, et témoignent souvent d'un effet de structure, soit un niveau de vie inférieur à la moyenne, voire de conditions de vie difficiles, préexistantes à cette décision ».
« Au-delà de la pauvreté monétaire, ce sont bien les conditions de vie qui se voient altérées », rappelle enfin la chercheuse. Recevoir des amis à domicile (en raison d'un logement plus petit et/ou de ruptures amicales) se veut ainsi plus rare dans les quatre années suivant la séparation, quand les départs en vacances (au moins une semaine) diminuent de dix points entre l'année de la rupture et celle qui suit.
https://www.lepoint.fr/societe/separati ... _23.php#11
Une étude de l’Ined (Institut national d’études démographiques) révèle une dégradation de leurs conditions de vie, particulièrement lorsqu’ils vivent avec leur mère.
C'est établi, les séparations ont souvent pour conséquence une baisse du niveau de vie des ex-conjoints, en particulier des femmes. Mais rarement la recherche s'est penchée sur leurs effets sur les enfants. C'est l'objet de l'étude de deux chercheuses de l'Ined (Institut national d'études démographiques) Anne Solaz et Carole Bonnet, « Séparation des parents : un risque accru de pauvreté pour les enfants ? », parue mercredi 19 avril. « Il nous semblait important d'appréhender la pauvreté du point de vue de l'enfant, dont la séparation des parents et les possibles conséquences sur son devenir n'étaient jusqu'alors pas ou peu quantifiées », commente auprès du Point cette première.
Ainsi l'étude révèle-t-elle que si 4 % des enfants vivant avec leurs parents entrent, chaque année, sous le seuil de pauvreté, en France (soit un niveau de vie 60 % inférieur au niveau de vie médian), ce chiffre s'élève à 21,5 %, soit cinq fois plus, l'année de la séparation de ces derniers. Le taux de pauvreté général (soit les nouveaux pauvres et ceux qui le restent) atteint ainsi 29 % chez les enfants de couples séparés contre 13 % chez ceux dont les parents ne le sont pas. Un écart qui – sous réserve d'une remise en couple – reste marqué dans les années suivant la séparation. « L'étude confirme que l'entrée dans la pauvreté des enfants, parfois antérieure à la rupture conjugale, peut aussi être l'une de ses conséquences directes », confirme ainsi Anne Solaz.
Une altération du niveau de vie qui diffère selon le mode de garde. Si les enfants multirésidents peuvent faire l'expérience d'écarts considérables entre l'un et l'autre des parents, la résidence alternée – un choix de plus en plus fréquent – induit une baisse de niveau de vie de l'ordre de 24 % lorsqu'ils résident principalement avec leur mère – la majorité des cas – moitié moins avec leur père. Une question d'économie d'échelle, les frais comme le logement, le chauffage ou l'entretien de la voiture, autrefois partagés, devenant à la charge d'un seul parent. Mais aussi d'écart initial de niveau de vie entre hommes et femmes.
Conditions de vie altérées
Autre déterminant soulevé par l'étude : le taux de pauvreté varie selon l'âge de l'enfant au moment de la séparation de ses parents. « Plus le divorce des parents intervient tôt dans l'enfance, plus ce risque de pauvreté est important », précise ainsi Anne Solaz, dont les travaux révèlent que 35 % des enfants de deux ans dont les parents viennent de se séparer sont « pauvres », contre 22 % des ceux de 13 ans. Une donnée qu'elle invite toutefois à nuancer : « On sait que les séparations intervenant lorsque les enfants sont jeunes sont particulières, et témoignent souvent d'un effet de structure, soit un niveau de vie inférieur à la moyenne, voire de conditions de vie difficiles, préexistantes à cette décision ».
« Au-delà de la pauvreté monétaire, ce sont bien les conditions de vie qui se voient altérées », rappelle enfin la chercheuse. Recevoir des amis à domicile (en raison d'un logement plus petit et/ou de ruptures amicales) se veut ainsi plus rare dans les quatre années suivant la séparation, quand les départs en vacances (au moins une semaine) diminuent de dix points entre l'année de la rupture et celle qui suit.
https://www.lepoint.fr/societe/separati ... _23.php#11
Si vous n'êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. MalcolmX
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
Les familles monoparentales ( généralement une femme élevant seule ses enfants) sont celles qui cumulent les problèmes.
- un seul salaire et souvent faible car les salaires des femmes sont souvent plus faibles. Donc plus de difficultés pour payer un loyer, un véhicule, assurance etc..
- problème d'autorité parentale
Ce sont ces foyers dont il faut améliorer les moyens.
- un seul salaire et souvent faible car les salaires des femmes sont souvent plus faibles. Donc plus de difficultés pour payer un loyer, un véhicule, assurance etc..
- problème d'autorité parentale
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Re: Près de 30% des enfants vivent avec un seul parent, selon l’Insee
C'est fou le nombre de parents qui font un bébé tout seul ? 
