.............................................Nouvelle-Aquitaine: Un « bond » du virus chez les 15-44 ans......................................
Le Covid-19 « gagne du terrain, en particulier chez les 15-44 ans » en Nouvelle-Aquitaine, s'inquiète l'Agence régionale de santé (ARS). Le taux d'incidence (nombre de nouveaux cas pour 100 000 habitants) dans cette tranche d'âge est « passé de 1,1 début juin à 4,1 la semaine du 13 au 18 juillet (contre 2,6 chez les 75 ans et plus) », précise l'ARS.
Au total, la région cumule 13 clusters (foyer de contamination d'au moins trois personnes), dont six à Bordeaux.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Faut pas oublier qu'on teste 6 ou 7 fois plus qu'au début de la première vague. On trouve donc plus de cas. Cela ne veut pas dire qu'on est dans une seconde vague.
Il y a aura des vagues sur dans les départements qui reçoivent des vacanciers pour les vacances d'été, puis ils iront contaminer leur département d'origine. Ppour l'instant ce n'est pas alarmant car les complications sont bien moins importantes pendant l'été que pendant l'hiver, mais cela laisse craindre une nouvelle vague d'hospitalisations a partir d'octobre, en sachant que le virus européen aura muté et/ou reviendra de l'hémisphère sud en ayant muté, donc il n'y aura plus d'immunité lié à la première vague...
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne
..................................................La Mayenne toujours placée en « vulnérabilité élevée ».................................................
Le département de la Mayenne est le seul département en France métropolitaine à être toujours placé en « vulnérabilité élevée ». Le taux de positivité sur 100 tests est désormais à 3,8, alors qu'il était à 3,2 lundi.
Plus de 11 800 tests ont été effectués dans le département qui compte un peu plus de 300 000 habitants. Selon les derniers chiffres, huit personnes sont hospitalisées et deux sont en réanimation dans le département.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Le Covid-19 «gagne du terrain, en particulier chez les 15-44 ans» en Nouvelle-Aquitaine, s'inquiète vendredi 24 juillet l'Agence régionale de santé (ARS) dans un communiqué. L'ARS relève «une évolution de la situation préoccupante qui témoigne de la circulation active du virus» en Nouvelle-Aquitaine, une région très touristique, «avec un bond chez les 15-44 ans».
.................................Plus de 1000 cas et 10 clusters en 24...Le Covid-19 progresse en France, avertit la DGS.............................
Les autorités sanitaires s’inquiètent particulièrement des nouveaux clusters provoqués par des regroupements de famille.
La Direction générale de la Santé précise que 361 des 570 clusters sont clôturés.
Le dernier en date est un mariage organisé en Haute-Savoie qui s'est transformé en foyer de contamination. Douze personnes y ont contracté le Covid-19. La France compte désormais 120 clusters en cours d'investigation, selon le dernier bilan de la Direction générale de la Santé (DGS) publié ce jeudi. C'est 10 de plus que la veille et 23 de plus qu'il y a huit jours.
« Compte tenu du délai d'incubation, de la contagiosité […], des chaînes de transmission, parfois importantes, se forment. Des regroupements ou clusters sont alors détectés », indique la DGS dans son communiqué.
Un effort « crucial »:
Alors qu'ils étaient jusque-là plutôt détectés dans des abattoirs et des Ehpad comme en Mayenne, les clusters sont de plus en plus provoqués par des rassemblements familiaux. Dans son bulletin épidémiologique, daté du 17 juillet, Santé publique France appelle d'ailleurs à porter « une attention particulière » à ces regroupements.
Autre indicateur inquiétant, selon la DGS : le nombre de nouveaux cas quotidiens. Plus de 1000 ont été recensés en 24 heures tandis que depuis trois semaines consécutives, il est en hausse et que cette « augmentation s'intensifie », souligne parallèlement jeudi Santé publique France dans son point hebdomadaire sur l'épidémie.
3589 nouveaux cas ont été détectés la semaine dernière en France métropolitaine, soit une hausse de 27 % par rapport à la semaine précédente, après des hausses hebdomadaires de 21 % et 13 %, détaille l'agence sanitaire. Or cette augmentation n'est pas uniquement liée à l'intensification du dépistage, puisque le nombre de cas détectés progresse plus rapidement en pourcentage que le nombre de tests effectués.
Des départements vulnérables:
Environ 361 000 personnes ont réalisé un test virologique de dépistage la semaine dernière, dont 344 400 en métropole, selon Santé publique France. L'agence sanitaire pointe aussi une augmentation du nombre de patients « testés tardivement », c'est-à-dire dont les symptômes étaient apparus cinq à sept jours avant le prélèvement.
Sept départements métropolitains ont enregistré la semaine dernière un taux d'incidence au-dessus du seuil de vigilance, fixé à 10 cas positifs pour 100 000 habitants : la Mayenne, les Vosges, le Finistère, le Val d'Oise, le Haut-Rhin, Paris et la Seine-Saint-Denis.
A partir de la synthèse de plusieurs indicateurs, la Mayenne (incidence de 72/100 000, nombre de cas toujours en augmentation), la Guyane et Mayotte sont classés en « vulnérabilité élevée », tandis que la Gironde, le Finistère et les Vosges sont en « vulnérabilité modérée ».
Un relâchement coupable:
Selon la DGS, « cette tendance de fond indique que nos habitudes récentes » (relâchement de l'application des gestes barrière, augmentation du nombre de contacts à risques…) « favorisent la circulation du virus depuis déjà plusieurs semaines ».
Elle martèle donc son message déjà maintes fois répété. « Au cours de l'été et pendant les vacances, il peut sembler artificiel de se saluer en gardant ses distances, de discuter de loin, de se laver régulièrement les mains et de porter un masque […] dans les espaces clos, mais cet effort individuel et collectif est crucial », peut-on lire dans le communiqué de la DGS, qui insiste enfin sur la nécessité de se faire dépister au moindre symptôme et de s'isoler dans l'attente du résultat.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Le Covid-19 «gagne du terrain, en particulier chez les 15-44 ans» en Nouvelle-Aquitaine, s'inquiète vendredi 24 juillet l'Agence régionale de santé (ARS) dans un communiqué. L'ARS relève «une évolution de la situation préoccupante qui témoigne de la circulation active du virus» en Nouvelle-Aquitaine, une région très touristique, «avec un bond chez les 15-44 ans».
C'est un peu ceux qui se croient au dessus de tout.....
Regardes 4 posts plus haut Lofo.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Je l'ai écrit sur un autre fil …
Si on oblige pas le masque à l'extérieur.. ça va repartir ..
Les gens ne font attention à rien une fois à l'extérieur .
J'ai constaté que dans les grandes surfaces les gens sont masqués ..
c'est obligatoire …on te le rappelle a l'entrée .
Mais dehors ils s'entassent ..sans masques ..
On pratiquement multiplié le population par ????je ne sais pas …
mais le flux de bagnoles est énorme !
TROP de monde ..ça va mal finir .
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
vu les dispositions du gouvernement le retour de l'épidémie n'est plus à prévoir mais elle est déjà là
plus rapidement que je ne le pensais pour octobre, novembre
vivarais a écrit : ↑24 juillet 2020 19:37
vu les dispositions du gouvernement le retour de l'épidémie n'est plus à prévoir mais elle est déjà là
plus rapidement que je ne le pensais pour octobre, novembre
L'épidémie va se stabilser, c'est à dire sans trop de cas graves jusqu'à l'automne et là nous aurons droit à toute la fulgurance de ce virus. Au point que l'épisode du printemps nous paraîtra du pipi de chat.
Ils l'ont dit, le R0 est en hausse !
Le RO est le résultat précis d'une équation à 2 inconnues, c'est le nombres de personnes qu'une personne contaminée peut à son tour contaminer.
Tout cela en tenant compte des cas asymptomatiques non testés, des morts du covid que l'on ne testent plus.
En résumé, les seuls données fiables sont les lits occupés en réanimation, et encore si l'on imagine que nos médecins qui se sucrent sur les nuitées d hôpital ne laissent pas traîner les patients sous les respirateurs.
Je ne sais pas si la pandémie reprend ou s éteint, donc en attendant je continue à prendre des précautions...
Un jour, des millions d'hommes quitteront l'hémisphère sud pour aller dans l'hémisphère nord. Et ils n'iront pas là-bas en tant qu'amis. ... Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C'est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire
..............................Covid-19: A Quiberon, 72 cas dans un cluster, le gouvernement veut éviter un reconfinement.............................
La mairie a déjà pris des mesures de restrictions d’accès aux plages et aux parcs. Des tests avec un système de drive sont effectués dans la ville.
D'un seul cas à 72 en une semaine. L'Agence régionale de santé (ARS) de Bretagne met en garde ce mercredi contre « un cluster sanitaire à risque de fort potentiel de transmission » de Covid-19, à Quiberon, dans le Morbihan.
Le premier cas y a été identifié le 21 juillet. Actuellement ils sont 72. Face à cette progression, la mairie a déjà décidé en fin de semaine dernière de réduire l'accès à ses plages et à ses parcs. Ils sont fermés de 21 heures à 7 heures pour éviter des rassemblements nocturnes festifs, propices à la diffusion de la maladie.
L'ARS rappelle que la majorité des personnes contaminées dans ce cluster sont des jeunes de 18 ans à 25 ans. Un dépistage sous forme de drive est organisé afin de limiter la diffusion du virus. 250 à 300 personnes peuvent être testées par jour.
Les jeunes appelés à la prudence:
« Tout cas confirmé ou contact à risque doit respecter strictement les mesures d'isolement à domicile conformément aux consignes sanitaires communiquées », demande l'ARS. L'ensemble de la population de la ville est appelé à « réduire fortement les contacts sociaux et respecter les gestes barrières ».
Elle appelle les plus jeunes « à ne pas participer à des événements privés ou bien publics incompatibles avec le respect des règles de distanciation ». S'ils sont majoritairement asymptomatiques, ceux porteurs du Covid-19 contribuent à la propagation du virus.
Interrogé ce mercredi sur LCI, le ministre de la Santé, Olivier Véran, considère que « s'il est nécessaire de prendre d'autres mesures, on les prendra. Nous ne voulons pas arriver à un reconfinement ».
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Covid-19 : « La saisonnalité du virus ne dépend pas du comportement des Français »
VIDÉO. L'arrivée d'une deuxième vague inquiète l'Europe. Le Pr Toussaint, professeur de physiologie à l'Université de Paris, veut déculpabiliser les Français. Propos recueillis par Johanna Amselem
Modifié le 27/07/2020 à 13:33 - Publié le 27/07/2020 à 11:08 | Le Point.fr
Le virus n'est pas mort. La semaine dernière, sept départements ont enregistré un taux d'incidence au-dessus du seuil de vigilance (établi à 10 cas pour 100 000 habitants) : Mayenne, Vosges, Finistère, Val-d'Oise, Haut-Rhin, Paris et Seine-Saint-Denis. Dans son point hebdomadaire, Santé publique France soulignait que le nombre de patients positifs au Covid-19 continuait de progresser. « Cette tendance de fond indique que nos habitudes récentes favorisent la circulation du virus depuis déjà plusieurs semaines », détaille la Direction générale de la santé.
Pour le conseil scientifique, l'arrivée d'une deuxième vague à l'automne apparaît de plus en plus probable. « Une intensification de la circulation du Sars-CoV-2 dans l'hémisphère nord à une échéance plus ou moins lointaine (quelques mois, et notamment à l'approche de l'hiver) est extrêmement probable », alertent les experts. En Europe, le virus a reculé avec l'arrivée des températures estivales, de quoi interroger sur une saisonnalité de l'épidémie.
Le Pr Jean-François Toussaint, professeur de physiologie à l'Université de Paris et ancien président des États généraux de la prévention, se veut réaliste : aucune des vagues promises n'est survenue et la saisonnalité de l'épidémie, si elle a lieu, n'aura rien à voir avec le comportement des Français, mais avec ce qui se passe désormais dans l'hémisphère sud.
Le Point : La multiplication des cas dans plusieurs régions de France doit-elle susciter l'inquiétude ?
Jean-François Toussaint : Une épidémie révèle sa dangerosité par le nombre de personnes qu'elle tue. Or, le nombre de cas graves et de décès continue de décroître. Depuis un mois, il n'y a plus que deux personnes en réanimation en Mayenne : la vague épidémique est passée en France. Les personnes contaminées sont de plus en plus des gens jeunes asymptomatiques.
En France, le virus a disparu ?
Le virus est toujours là, mais il tue 100 fois moins. En Europe, la décroissance est partout continue, et l'épidémie actuelle n'a plus rien à voir avec ce que nous avons affronté en mars et en avril. Tous les pays de l'Union suivent la même dynamique, et la France n'échappe pas à la règle.
Une deuxième vague est-elle inéluctable ?
Il n'existe aucun moyen de déterminer si elle déferlera ou non sur l'Europe, mais il n'y en a, pour l'instant, pas le moindre signe. Nous pourrions dépendre de variations saisonnières, mais, en ce cas, il ne sert à rien d'en rendre responsables les Français ni de les culpabiliser.
L'épidémie se prolonge en Amérique du Sud : il est donc possible que le virus fasse des allers-retours entre les deux hémisphères. Il faudra être attentif à sa dépendance à l'environnement et adopter des réponses comparables à celles des pays asiatiques (Corée, Japon, Taïwan…), les seuls à avoir su maîtriser l'épidémie.
Mais si la deuxième vague n'est pas sanitaire à proprement parler, c'est un effondrement international qui se prépare.
L'OMS n'ayant pas anticipé l'émergence de ces vulnérabilités, les Nations unies alertent déjà sur des effets qui seront bien supérieurs aux dégâts de l'épidémie. Famine, malnutrition, chômage, pauvreté, les conséquences d'un confinement global inadapté seront catastrophiques pour des centaines de millions de personnes et priveront aussi la médecine des moyens qu'elle requiert.
Fallait-il imposer le masque de protection plus tôt ?
Le masque était indispensable quand la pandémie était la plus sévère : en février, mars et avril. Nous ne sommes plus dans cette phase. Si les contaminations sont inévitables, sans doute vaudrait-il mieux s'immuniser en ce moment qu'en janvier, car nos capacités individuelles, de défense immunitaire notamment, sont plus importantes en été qu'en hiver.
La seule solution efficace pour lutter contre la Covid-19 reste la découverte d'un vaccin ?
Il n'existe à ce jour aucune certitude que les vaccins testés entraînent une protection efficace. Pour autant, il faut éviter de retomber dans une panique entretenue par le parisianisme des instances scientifiques et médiatiques. Dans une telle période, chacun doit pouvoir reprendre un comportement normal, tout en conservant l'entraînement aux gestes barrières, seuls remparts contre la contamination. Si l'épidémie revient ensuite avec la même virulence (elle a entraîné 1 417 décès dans la seule journée du 7 avril), alors, il faudra reprendre des mesures fortes ; mais la France enregistre actuellement moins de 10 décès par jour et, contrairement à ce qu'on essaye de nous faire croire, ces décès n'ont rien à voir avec un quelconque relâchement, ni avec le déconfinement ni avec la Fête de la musique.
À la télé ils disent tous les jours : 'Y a trois millions de personnes qui veulent du travail.' C'est pas vrai : de l'argent leur suffirait." Coluche