Quelle bande de moutons sans cervelle !

Source:Le Parisien.
Un ton optimiste, alors que les indicateurs de l'épidémie de coronavirus ne sont plus tout à fait au beau fixe. Ce vendredi, au micro de France Inter, Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, a concédé que « les indicateurs sont mauvais, les signaux sont préoccupants et la situation se dégrade », mais, a-t-il souligné, « il n'y a pas de fatalité. Le sort de l'épidémie (de Covid-19) est entre nos mains ».
Dans son bulletin hebdomadaire diffusé jeudi soir, la Direction générale de la Santé (DGS) avait signalé que les indicateurs continuaient « de se dégrader » et que transmission du virus « s'accentu(ait) », « plus particulièrement » chez les jeunes.
« On peut freiner l'épidémie et mettre fin à des clusters à risque », a cependant souligné Jérôme Salomon, n° 2 du ministère de la Santé, en citant le cas de la Mayenne, un département où plusieurs foyers de Covid-19 avaient été identifiés. « Les Mayennais se sont mobilisés, ont observé l'ensemble des gestes barrière, ont accepté de se faire tester massivement : ça a marché ! », a-t-il indiqué.
« C'est en métropole que nous nous focalisons »:
Les villes de Paris et Marseille restent « particulièrement à risque » et « une vingtaine de départements sont au-dessus d'un certain seuil de vigilance », a souligné Jérôme Salomon. En revanche, « il n'y a pas d'alerte sur les Outre-mer », a insisté le directeur général de la Santé. « C'est en métropole que nous nous focalisons, sur les lieux les plus fréquentés. Les principaux clusters sont ceux où il y a de grands rassemblements, des événements festifs, amicaux, familiaux ».
Jérôme Salomon a rappelé qu'il était nécessaire de se faire tester « quand on a des symptômes, même vraiment bénins, quand on a été exposé, quand on a un collègue, un ami qui est positif ». « Il ne faut pas hésiter à se faire tester lorsqu'on pense avoir été exposé à un risque », a-t-il martelé.
« Il faut faciliter l'accès aux masques », a-t-il également souhaité, en promettant que « le prix du masque va fortement baisser à la rentrée ». « Il doit être disponible pour les plus précaires, les plus vulnérables. » « À la rentrée le virus sera toujours là et nous devrons vivre avec mais en appliquant le pacte prévention et les mesures barrières c'est le meilleur moyen de vivre bien avec le virus », a-t-il conclu.
Encore une fois si on veut entendre autre chose que la soupe médiatique du gouvernement c’est sur CNew que ça se passe.toutvenant a écrit : ↑20 août 2020 09:52![]()
![]()
Les scientifiques au service du politique.....On a vu et on voit ce que ça donne.
En fait, je ne pense pas qu'il y ait manipulation volontaire des chiffres dans un quelconque but caché, simplement du grand n'importe quoi... Après l'exemple que j'ai donné plus haut sur le taux de positivité, un nouvel indice est apparu: le taux d'incidence pour 100.000 habitants... Le seul souci, c'est qu'on ne prend que le nombre d'habitants, sans se soucier des migrations saisonnières... Exemple, le Finistère, cet été, a doublé sa population...jabar a écrit : ↑20 août 2020 14:56 Mais ... le conseil scientifique n'a jamais affirmé que nous étions dans une seconde vague. Il anticipe une possible seconde vague en automne.
Nous ne sommes pas dans une seconde vague, le nombre de cas quotidiens est à relativiser par rapport à la couverture de tests qui est beaucoup plus étendue qu'en avril. C'est sûr.
C'est gentil d'être rebelle par principe, s'en prendre aux méchants médias et aux moutons, mais personne ne peut encore prédire précisément l'impact de cette maladie dans le futur. L'idée avec ces restrictions en cours est d'écraser du talon les sporadiques poches de virus.
C'est qu'il est plus important d'être un original que de tenter de sauver des vies ?
C'est très naïf de dire ça, la communication est sciemment orientée négativement ; et on ne communique presque pas sur le positif, l'essentiel, le fait que les hospitalisations, réanimations, décès sont en baisse continue.jabar a écrit : ↑20 août 2020 14:56 Mais ... le conseil scientifique n'a jamais affirmé que nous étions dans une seconde vague. Il anticipe une possible seconde vague en automne.
Nous ne sommes pas dans une seconde vague, le nombre de cas quotidiens est à relativiser par rapport à la couverture de tests qui est beaucoup plus étendue qu'en avril. C'est sûr.
C'est gentil d'être rebelle par principe, s'en prendre aux méchants médias et aux moutons, mais personne ne peut encore prédire précisément l'impact de cette maladie dans le futur. L'idée avec ces restrictions en cours est d'écraser du talon les sporadiques poches de virus.
C'est qu'il est plus important d'être un original que de tenter de sauver des vies ?
le confinement n'a eu aucun impactlotus95 a écrit : ↑20 août 2020 15:56C'est très naïf de dire ça, la communication est sciemment orientée négativement ; et on ne communique presque pas sur le positif, l'essentiel, le fait que les hospitalisations, réanimations, décès sont en baisse continue.jabar a écrit : ↑20 août 2020 14:56 Mais ... le conseil scientifique n'a jamais affirmé que nous étions dans une seconde vague. Il anticipe une possible seconde vague en automne.
Nous ne sommes pas dans une seconde vague, le nombre de cas quotidiens est à relativiser par rapport à la couverture de tests qui est beaucoup plus étendue qu'en avril. C'est sûr.
C'est gentil d'être rebelle par principe, s'en prendre aux méchants médias et aux moutons, mais personne ne peut encore prédire précisément l'impact de cette maladie dans le futur. L'idée avec ces restrictions en cours est d'écraser du talon les sporadiques poches de virus.
C'est qu'il est plus important d'être un original que de tenter de sauver des vies ?
Les médias sont irresponsables de provoquer en permanence la panique chez les plus crédules par une communication biaisée ; il était temps que quelqu'un le souligne ... en espérant que ça fera tâche d'huile
Tout le monde sait de surcroît que le nombre de tests a fortement augmenté, qu'ils sont peu fiables et ne font pas de distinction entre virus entier, vivant, infectieux ... et virus mort ou traces de virus ; les types de tests, leur qualité et leur sensibilité sont des paramètres essentiels pour juger de la fiabilité des résultats.
Pourquoi est ce qu'on établit une continuité entre la courbe de positifs de mars/avril et celle actuelle ? elles n'ont rien à voir ...
en mars/avril, les tests ne se faisaient qu'en phase avancée de la maladie, alors qu'aujourd'hui ils sont faits tous azimuts : le taux de positivité était de 29% au printemps contre 2.8% aujourd'hui
s'il y a 2ème vague en automne/hiver, ça voudra dire que le virus est saisonnier ... et il sera temps d'aviser en fonction de sa virulence
mais pour l'instant, qu'on foute la paix aux gens ; les décisions ressemblent bien plus à des tests d'autorité qu'à des mesures sanitaires proportionnées
On ne peut parler de panique quand on voit le je m'en foutisme des français durant tout l'été. Ce virus ne connaît pas de saisonnalité, c'est juste que l'automne est propice au développement des virus et il se pourrait bien que celui-ci retrouve sa virulence du printemps, d'où les mesures prises actuellement.lotus95 a écrit : ↑20 août 2020 15:56C'est très naïf de dire ça, la communication est sciemment orientée négativement ; et on ne communique presque pas sur le positif, l'essentiel, le fait que les hospitalisations, réanimations, décès sont en baisse continue.jabar a écrit : ↑20 août 2020 14:56 Mais ... le conseil scientifique n'a jamais affirmé que nous étions dans une seconde vague. Il anticipe une possible seconde vague en automne.
Nous ne sommes pas dans une seconde vague, le nombre de cas quotidiens est à relativiser par rapport à la couverture de tests qui est beaucoup plus étendue qu'en avril. C'est sûr.
C'est gentil d'être rebelle par principe, s'en prendre aux méchants médias et aux moutons, mais personne ne peut encore prédire précisément l'impact de cette maladie dans le futur. L'idée avec ces restrictions en cours est d'écraser du talon les sporadiques poches de virus.
C'est qu'il est plus important d'être un original que de tenter de sauver des vies ?
Les médias sont irresponsables de provoquer en permanence la panique chez les plus crédules par une communication biaisée ; il était temps que quelqu'un le souligne ... en espérant que ça fera tâche d'huile
Tout le monde sait de surcroît que le nombre de tests a fortement augmenté, qu'ils sont peu fiables et ne font pas de distinction entre virus entier, vivant, infectieux ... et virus mort ou traces de virus ; les types de tests, leur qualité et leur sensibilité sont des paramètres essentiels pour juger de la fiabilité des résultats.
Pourquoi est ce qu'on établit une continuité entre la courbe de positifs de mars/avril et celle actuelle ? elles n'ont rien à voir ...
en mars/avril, les tests ne se faisaient qu'en phase avancée de la maladie, alors qu'aujourd'hui ils sont faits tous azimuts : le taux de positivité était de 29% au printemps contre 2.8% aujourd'hui
s'il y a 2ème vague en automne/hiver, ça voudra dire que le virus est saisonnier ... et il sera temps d'aviser en fonction de sa virulence
mais pour l'instant, qu'on foute la paix aux gens ; les décisions ressemblent bien plus à des tests d'autorité qu'à des mesures sanitaires proportionnées