mais on peut être "arabo-musulman ET frrançais.capochef99 a écrit : ↑10 décembre 2020 16:46 Cela fait trop longtemps que nous échangeons sur le sujet Mila, Fonck1, vous en oubliez que les enquêteurs avaient mentionné des Arabo-Musulmans, lors des premières insultes et menaces de mort !
Vous semblez oublier un concept extrêmement fort, sinon primordial chez les musulmans, c'est l'oumma:Fonck1 a écrit : ↑10 décembre 2020 16:50mais on peut être "arabo-musulman ET frrançais.capochef99 a écrit : ↑10 décembre 2020 16:46 Cela fait trop longtemps que nous échangeons sur le sujet Mila, Fonck1, vous en oubliez que les enquêteurs avaient mentionné des Arabo-Musulmans, lors des premières insultes et menaces de mort !
il ne faut pas confondre culture, religion ET nationalité.
il n'y a pas d'état "arabe", ni même "musulman".
même l'arabie saoudite, on dit saoudiens.
Sont considérés comme arabo-musulmansThe Rat Pack a écrit : ↑10 décembre 2020 17:25
Et il y a bien des états musulmans... Exemples, les Républiques ISLAMIQUES de Mauritanie, d'Iran, d'Afghanistan, du Pakistan...
disons plutôt des milliards dans l'obscurantisme dans tous les pays musulmanscapochef99 a écrit : ↑10 décembre 2020 17:52 Je suis né, THE RAT PACK, en pays Musulman, j'y ai appris l'Arabe dialectal et classique durant 7 ans, et encore aujourd'hui je mesure le mal qu'ils supportent du aux 7 siècles de retard de cette politico-religion, mais il n'est pas utile d'aller au delà des véritables causes du cas MILA, ce n'est que des réactions d'un jeune repoussé par MILA qui ont fermentées parce qu'il n'a pas eu des parents à la hauteur, et que, malheureusement ils sont des milliers sans éducation!
Je comprends tout-à-fait et l'ai déjà dit... mais, car il y a toujours un "mais", s'ils furent, durant des siècles, isolés dans leur monde, ça n'est plus le cas aujourd'hui, à l'époque de la radio, de la télé et maintenant des réseaux sociaux! Le monde autour d'eux a évolué, et ils le savent, mais pas eux...capochef99 a écrit : ↑10 décembre 2020 17:52 Je suis né, THE RAT PACK, en pays Musulman, j'y ai appris l'Arabe dialectal et classique durant 7 ans, et encore aujourd'hui je mesure le mal qu'ils supportent du aux 7 siècles de retard de cette politico-religion, mais il n'est pas utile d'aller au delà des véritables causes du cas MILA, ce n'est que des réactions d'un jeune repoussé par MILA qui ont fermentées parce qu'il n'a pas eu des parents à la hauteur, et que, malheureusement ils sont des milliers sans éducation!
Ne soyez pas trop ridicule avec vos citations sorties du fin fond du sahara.The Rat Pack a écrit : ↑10 décembre 2020 17:25Vous semblez oublier un concept extrêmement fort, sinon primordial chez les musulmans, c'est l'oumma:
L'oumma est la communauté des musulmans, indépendamment de leur nationalité, de leurs liens sanguins et des pouvoirs politiques qui les gouvernent. Le terme est synonyme de ummat islamiyya, « la nation islamique ». Le concept est très différent de celui d'« Église » chez les chrétiens car l’Église est le Corps du Christ-Jésus, le Fils de Dieu, pour les Chrétiens. Ici l'Ouma est à la fois un contenu humain (les fidèles), politique (la nation islamique) et spirituel (communauté des musulmans).
Et il y a bien des états musulmans... Exemples, les Républiques ISLAMIQUES de Mauritanie, d'Iran, d'Afghanistan, du Pakistan...
certains oui, d’autres non, il faudrait un peu ouvrir les yeux.The Rat Pack a écrit : ↑10 décembre 2020 17:58Je comprends tout-à-fait et l'ai déjà dit... mais, car il y a toujours un "mais", s'ils furent, durant des siècles, isolés dans leur monde, ça n'est plus le cas aujourd'hui, à l'époque de la radio, de la télé et maintenant des réseaux sociaux! Le monde autour d'eux a évolué, et ils le savent, mais pas eux...capochef99 a écrit : ↑10 décembre 2020 17:52 Je suis né, THE RAT PACK, en pays Musulman, j'y ai appris l'Arabe dialectal et classique durant 7 ans, et encore aujourd'hui je mesure le mal qu'ils supportent du aux 7 siècles de retard de cette politico-religion, mais il n'est pas utile d'aller au delà des véritables causes du cas MILA, ce n'est que des réactions d'un jeune repoussé par MILA qui ont fermentées parce qu'il n'a pas eu des parents à la hauteur, et que, malheureusement ils sont des milliers sans éducation!
c'est pas lui qui a reculé, c'est la loi française qui l’empêche d'accéder à ce qu'il veut.capochef99 a écrit : ↑10 décembre 2020 18:16 Je ne regarde pas vers les pays Arabo-Musulmans, en écrivant cela !
Ils sont là, et E MACRON a pris peur, il a reculé, ce ne sera pas lui qui changera la situation !
Voilà, les causes sont là....nous sommes donc d'accord sur le problème, maintenant que fait-on?capochef99 a écrit : ↑10 décembre 2020 17:52 Je suis né, THE RAT PACK, en pays Musulman, j'y ai appris l'Arabe dialectal et classique durant 7 ans, et encore aujourd'hui je mesure le mal qu'ils supportent du aux 7 siècles de retard de cette politico-religion, mais il n'est pas utile d'aller au delà des véritables causes du cas MILA, ce n'est que des réactions d'un jeune repoussé par MILA qui ont fermentées parce qu'il n'a pas eu des parents à la hauteur, et que, malheureusement ils sont des milliers sans éducation!
décision justifiée.Mila exclue de son lycée militaire : la « lettre aux lâches » de son père
EXCLUSIF. « Contrairement à vous, colonel, et à tant d'autres, Mila ne se soumettra jamais », écrit au proviseur le père de l'adolescente, dans une lettre. Par Nicolas Bastuck
Modifié le 10/12/2020 à 12:45 - Publié le 10/12/2020 à 12:09 | Le Point.fr
Mila n'ira plus à l'école. Le colonel qui dirige l'établissement militaire qui avait consenti à l'« accueillir » en février, après qu'elle eut été exfiltrée de son lycée isérois en raison des menaces de mort dont elle était la cible, suite à sa vidéo sur l'islam du 18 janvier, a décidé de l'exclure. De la renvoyer dans ses foyers. De la virer comme une élève indigne. Sans autre forme de procès. Sa faute ? Un « live » avec quelques amis, il y a quelques jours, sur les réseaux sociaux, au cours duquel, par mégarde, la jeune femme a commis le crime de citer le nom de l'internat où elle vivait...
Mila, jeune fille menacée de mort après une vidéo où elle critiquait l'islam, a été exclue du lycée militaire où elle était scolarisée, après avoir révélé sur les réseaux sociaux le nom et l'emplacement de cet établissement, affirme son avocat Richard Malka à France Bleu Isère, jeudi 10 décembre. Le ministère des Armées dément dans un communiqué, expliquant qu'il ne s'agit pas d'une exclusion mais d'un placement en "enseignement à distance".
Le père de Mila accuse le lycée de "lâcheté"
La jeune Iséroise de 17 ans avait été déscolarisée une première fois au début de l'année 2020. Affirmant dans une vidéo diffusée sur le réseau social Instagram qu'elle déteste les religions dont l'Islam, elle avait, dans les heures et les jours qui ont suivi, reçu de nombreuses menaces de mort et de viol et dû être déscolarisée.
Depuis, la jeune fille vivait cachée et avait finalement trouvé un nouvel établissement. Mais la semaine dernière, Mila a mentionné le nom et donc l'emplacement de ce lycée dans un "live" sur les réseaux sociaux. D'après les informations de France Bleu Isère, l'internat où était scolarisée l'adolescente a évoqué une menace potentielle à sa sécurité pour justifier l'exclusion de la jeune femme. Le père de la lycéenne iséroise a par ailleurs adressé une lettre au directeur de l'établissement militaire, où il parle de "lâcheté".
Un enseignement à distance "dans un lieu sûr"
"Mila n’a pas été exclue. Il a été proposé aux parents de Mila qu’elle poursuive, pour un temps, son enseignement à distance dans un lieu sûr, le temps d’un apaisement de la situation sécuritaire", a fait savoir le ministère des Armées ce jeudi dans un communiqué. "Elle reste une élève de l’établissement", militaire.
Le ministère précise que Mila avait été accueillie au sein du lycée militaire à la demande de l’Education nationale où elle a été "protégée depuis, en toute discrétion". Mais en révélant l'emplacement de l'établissement sur les réseaux sociaux l'adolescente aurait remis en cause cette protection : "la discrétion quant à l’établissement en question n’est malheureusement plus assurée depuis peu. Son maintien au sein de l’établissement lui fait courir un risque que l’on ne peut pas accepter, ni pour elle, ni pour les 750 élèves", justifie le ministère des Armées.
"Nous pensons à elle et sommes à ses côtés dans l’épreuve qu’elle traverse. Mila a d’ailleurs exprimé toute sa reconnaissance auprès de l’institution militaire qui lui a tendu la main. Son encadrement, militaire et civil, a constamment été attentif à sa situation", conclut le communiqué.