lotus95 a écrit : ↑29 janvier 2021 13:03 A vos ordres Chef !
au passage, tout le monde aura bien noté l'absence de fond dans tes posts devant les faits ... du vent, rien que du vent ... ça explique peut être pourquoi tu pètes en permanence plus haut que ton cul ?![]()
« Vaccin » Covid : marchands de tapis ou médecins ?
La marche en avant de l’agenda vaccinal se poursuit inéluctablement. Avec un motif désormais familier : peu importe la science, peu importe l’éthique et même peu importe le droit !
On a beau avoir compris ce dans quoi nous nous trouvons, chaque nouvelle étape estomaque malgré tout.
Sur un plan personnel, une personne de ma famille, âgée de 83 ans, vient d’accepter de se faire vacciner sur pression de son médecin généraliste. Celui-ci, un homme expérimenté, dévoué et compétent, l’a en effet persuadée que c’était important pour éviter le risque de développer une forme grave en cas d’infection. L’argument s’est révélé imparable.
Avec toutefois un blème : l’argument en question est rien moins que mensonger à ce stade. C’est l’espoir des autorités de santé, mais comme nous l’avons montré dans un récent article, rien actuellement ne documente de quelque manière que ce soit un tel effet, en particulier sur les personnes âgées !
Dans la Tribune de Genève de ce jour, la Pre Anne-Claire Siegrist (qui fait autorité dans le domaine) affirme que "la deuxième dose est donc indispensable pour augmenter l’efficacité à 95% – en augmentant les taux d’anticorps et les réponses cellulaires."
BIG BIG BLÈME AGAIN : l’efficacité du « vaccin » n’est absolument pas de l’ordre de 95% actuellement, hormis dans la publicité -mensongère- du laboratoire Pfizer et les conclusions -erronées- de l’article de Polack et al., publiée dans le NEJM, dont nous avons montré les failles.
Nous avons ainsi mis en lumière comment leur étude avait modifié rétrospectivement le protocole de recherche pour pouvoir arriver -de manière forcée- à un tel résultat. Si on corrige ce bidouillage, on trouve au mieux 75%.
En tenant compte d'une second bidouillage majeur (également décrit dans notre précédent article), l'efficacité probable du "vaccin" chute pour se retrouver même très en-dessous du seuil nécessaire à sa mise sur le marché, comme le révèle Peter Doshi, professeur en pharmacologie clinique à l'Université du Maryland et rédacteur associé au British Medical Journal.
https://blogs.bmj.com/bmj/2021/01/04/pe ... -raw-data/
Selon lui, l'estimation approximative de l'efficacité du vaccin montrerait en réalité :
(...) une réduction du risque relatif de 19% - bien en dessous du seuil d'efficacité de 50% pour l'autorisation fixé par les régulateurs. Même après avoir éliminé les cas survenant dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sur le vaccin de Pfizer contre 287 sur le placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réacto-génicité à court terme du vaccin, l'efficacité du vaccin reste faible : 29%.
L'efficacité de la prévention des formes graves du Covid (argument publicitaire majeur) n'a simplement pas pu être évaluée dans cette étude portant pourtant sur 44'000 personnes ! Aucune conclusion n'en est sortie et avancer cet argument comme une réalité démontrée est ni plus ni moins que trompeur et mensonger.
Les conclusions auxquelles ne peut qu'arriver tout lecteur honnête et averti de l'étude Polack sont :
1. Il est impossible à ce stade de connaître l'efficacité réelle du vaccin Pfizer. Sur une population de moins de 65 ans, elle peut être, au mieux, de 75% mais se situe probablement entre 20% et 50%.
2. Il est absolument impossible d'inférer une quelconque efficacité du vaccin pour les personnes âgées de plus de 65 ans.
3. Il est impossible de connaître l'eficcacité du vaccin sur la prévention des formes graves, dans aucun groupe d'âge !
4. La sécurité du vaccin pour les personnes de plus de 65 ans est inconnue. Le seul groupe évalué à cette fin était composé de 39 personnes (contre 44'000 dans l'étude complète), avec l'observation d'un taux inhabituellement élevé d'effets indésirables.
5. Il n'est pas possible à ce stade d'exclure -comme le risque en existe- que le vaccin puisse avoir pour effet de multiplier le nombre de cas graves dans la population des vaccinés (surtout âgés) en vertu du phénomène suivant :
Les vaccins COVID-19 conçus pour provoquer des anticorps neutralisants peuvent sensibiliser les personnes vaccinées à une maladie plus grave que si elles n'étaient pas vaccinées. Les vaccins contre le SRAS, le MERS et le VRS n'ont jamais été approuvés, et les données générées lors du développement et des essais de ces vaccins laissent entrevoir un grave problème mécanique : les vaccins conçus de manière empirique selon l'approche traditionnelle (consistant en un pic viral de coronavirus non modifié ou minimalement modifié pour provoquer des anticorps neutralisants), qu'ils soient composés de protéines, de vecteurs viraux, d'ADN ou d'ARN et quel que soit leur mode d'administration, peuvent aggraver la maladie COVID-19 par un renforcement dépendant des anticorps (Antibody Dependent Enhancement).
6. Nous sommes totalement incapables à ce stade d'évaluer (et donc d'exclure) le risque d'effets secondaires graves dans la durée, incluant des altérations transmissibles du génome humain, résultant de l’expérimentation génique que constitue le "vaccin" à ARN messager.
Résumons : en l'absence de toute donnée scientifique solide, nous avons des médecins qui font pression sur leurs patients pour qu’ils se vaccinent avec des arguments qui sont, à ce stade, simplement fallacieux. Pendant que la « papesse » des vaccinations en Suisse ment dans la presse en mentionnant des chiffres qui sont simplement faux.
https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/20 ... .html#more
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https://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/20 ... 12175.html
''des altérations transmissibles du génome humain''
Houlà ! Encore un truc sorti de la foire aux pipeaux pour effrayer le pékin moyen ?
A-t-on bien vérifié qu''un vacciné ne risque pas de se voir pousser des testicules sous le menton ?
Après tout, ce risque là peut aussi exister, il est possible qu'on nous le cache.