Les médecins savent justement qu'on ne sait pas bien soigner les viroses, et qu'il y a peu d'antiviraux, qui sont efficaces contre peu de virus. Je parle là des bons médecins, notamment des plus jeunes, qui ont reçu une formation à jour sur les bonnes pratiques médicales. Je ne parle pas des autres, ceux qui prescrivent de l'antibiotique à tour de bras pour traiter la moindre virose, sans la moindre utilité, avec des effets secondaires et un coût pour la Sécu, et ce juste parce qu'un commercial de labo pharmaceutique leur a dit autour d'une table de resto 3 étoiles qu'il fallait le faire s'ils voulaient revenir manger au même endroit dans 6 mois.lotus95 a écrit : ↑15 mars 2021 12:46 Tu sous estimes vraiment l'expérience et le savoir des médecins et, on en déjà parlé, tu prends cette maladie comme un ensemble inconnu alors qu'elle est constituée de symptômes connus et soignables : phase virale et phase inflammatoire
L'hydroxychloroquine a des propriétés antivirales, anti-inflammatoires, et immunosuppressives qui font que c'est un couteau suisse dans cette maladie ; mais son intérêt évident est au stade précoce, dans son action sur le Ph des cellules et leur code d'entrée, parce qu'elle entrave la progression du virus dans l'organisme
et l'azithromycine est bien sûr antibactérienne, mais a aussi des propriétés antivirales constatées ; le tout formant une synergie efficace pour éviter les complications et soulager le système immunitaire , et donc contribuer indirectement à éliminer le virus.
On peut ajouter à ça le zinc qui intervient dans des tas de processus enzymatiques de l'organisme, dont la réponse immunitaire.
Tu vas forcément me rétorquer que tout cela n'est pas prouvé ou seulement in vitro ... et pour cause, la science ne s'intéresse pas aux traitements génériqués qui ne lui rapportent rien ; moi je fais confiance aux médecins qui ont constaté l'amélioration de l'état de santé de leurs patients, au vu du nombre, personne ne peut dire que c'est exclusivement lié au hasard ou au cours normal de la maladie.
Bref, les médecins ne délivrent pas des médocs sans connaitre leurs effets ou propriétés, et ce qui fonctionne sur une pathologie peut fonctionner sur une autre à partir du moment où les symptômes sont les mêmes ; il n'y a que le lobby pharma pour faire croire qu'il faut nécessairement un nouveau médoc pour chaque nouvelle maladie, ce n'est qu'un impératif dicté par le modèle économique, ça n'a rien de scientifique ou médical
Dans ton raisonnement, tu oublies qu'un médicament ne sera administré qu'à des personnes malades, sauf s'il est utilisé en prophylaxie ; alors qu'un vaccin a vocation à être administré à tous ou presque, et notamment des gens bien portants en grande majorité ;
ça fait une différence de taille en terme de perspectives financières, surtout si on escompte des injections multiples liées à de nombreux variants ... potentiellement engendrés par les "vaccins" ou traitements aux mêmes ... ce serait carrément le jackpot pour le lobby de pouvoir créer la maladie et son remède de façon récurrente.
L'HCQ a des propriété antivirale sur des cellules cultivées en laboratoire. Cet effet n'a jamais pu être reproduit sur un être vivant entier. Et ce notamment à cause de la dose, qui serait potentiellement létale si on transposait la dose utilisée in vitro. Et si, ça on le sait parce que depuis 20 ans ce médicament a été testé à maintes reprises, contre une dizaine de virus.
Comment peux-tu faire confiance à un médecin qui note l'amélioration de l'état de santé de ses patients à qui il donne de la chloroquine, alors que presque tous les malades du COVID voient leur état de santé s'améliorer tout seul SANS chloroquine ? Par ailleurs, comme je l'ai déjà expliqué, l'objectivité d'un humain, qu'il soit médecin ou pas, est pourrie du cul. Si un médecin donne de la chloroquine à un de ses patients en pensant que ça fonctionne, alors son jugement sera altéré et il y verra ce qu'il veut voir. C'est pour ça que lors des essais cliniques on fait sortir le jugement humain de l'équation.
Personne n'a dit qu'il fallait un nouveau médicament à chaque nouvelle maladie. Les labos pharmaceutiques encore moins que les autres : chaque labo aimerait qu'un de ses médicaments existant servent contre une nouvelle maladie. Ca lui permettrait de vendre du matos sans rien dépenser en recherche. C'est pour ça qu'en temps normal le gros du travail de beaucoup de chercheurs est de tenter de repositionner des médicaments, c'est à dire de trouver des maladies soignables par des médicaments existants.
Tu parles encore de lobby. Tu ne penses que lobby, big pharma, etc. Comme je l'ai déjà expliqué les laboratoires pharmaceutiques sont indépendants les uns des autres, et en concurrence. Si un labo trouve une solution qui lui fera prendre des parts de marchés face aux autres, qui lui fera gagner du pognon, alors il le fera. Indépendamment des autres labos. Il n'y a pas de société secrète des fabricants de médicaments, chapeautant toute la profession.