la surmortalité dont tu contestes l'existence ? pas mal du tout

la surmortalité dont tu contestes l'existence ? pas mal du tout
Ca vous étonne ?coincetabulle a écrit : ↑15 avril 2021 20:25la surmortalité dont tu contestes l'existence ? pas mal du tout![]()
Macron a fait le choix d'une relative liberté pour les français, avec sans doute dans l'idée un confinement au début du printemps plutôt qu'au début de l'hiver pour que la situation soit suffisamment bonne pendant l'été pour ne pas gêner le tourisme.
parler de sortir du confinement alors que le nombre d'hospitalisation augmente et que la barre des 6000 en réanimation vient d'etre franchile chimple a écrit : ↑27 avril 2021 08:30 Sortie du confinement en France ..
De la part de Macron et son porte parole ...
https://www.youtube.com/watch?v=w93WsUpl9Gs
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Le nombre de nouveaux cas baisse, celui des hospitalisations et des réanimations baissera aussi, mais en décalage.vivarais a écrit : ↑27 avril 2021 08:40 parler de sortir du confinement alors que le nombre d'hospitalisation augmente et que la barre des 6000 en réanimation vient d'etre franchi
et sans tenir contre des nouveaux variants qui vont arriver d'inde et du bresil
c'est simplement de l'inconscience
en UK OK où le nombre de décés est d'une dizaine par jour et pas un charter comme en france aujourd'hui (1000 morts tous les 3 jours )
c'est de l'incompétence lié à de l'inconscience
nous serons reconfiné cet été
Source:Le Figaro.
La vaccination sera ouverte à tous sans limite d'âge à partir du 12 mai, dès lors qu'il reste des doses non utilisées la veille pour le lendemain, a annoncé jeudi Emmanuel Macron lors de la visite du premier grand vaccinodrome parisien, installé Porte de Versailles à Paris.
Pour «ne pas qu'on gâche quelque dose que ce soit»,«à partir de mercredi 12,vous pourrez regarder la veille les doses disponibles et cela quel que soit votre âge,et s'il y a,à l'endroit où vous êtes,des doses disponibles le lendemain,et donc des rendez-vous pas pris,ils seront ouverts sans limite d'âge»,a expliqué le chef de l'Etat.
Par ailleurs, l'âge d'accès au vaccin sera abaissé aux plus de 50 ans à partir du 10 mai.
Source:Le Parisien.
Des médecins indiens parlent déjà de « pandémie dans la pandémie ». La mucormycose, souvent qualifiée de maladie du « champignon noir », touche des milliers de patients précédemment atteints d’une forme grave de Covid-19 en Inde.
Neuf Etats du deuxième pays le plus peuplé au monde, qui peine déjà à se remettre d’une vague massive d’infections par le SARS-CoV-2, se sont déclarés en alerte jeudi. On fait le point.
....Qu’est-ce que la mucormycose ?
Cette infection appartient à la famille des mycoses, qui sont causées par un champignon. « La mucormycose n’est pas à proprement parler due à un champignon noir, mais à un autre type de champignon : les Mucorales », précise au Parisien Fanny Lanternier, médecin au service de maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Necker Enfants malades (AP-HP).
Elle est cependant souvent associée au « champignon noir » en raison des taches sombres qui peuvent apparaître sur la peau, notamment au niveau du visage. « Les deux localisations les plus fréquentes sont les poumons et le sinus. Cela peut ensuite, dans un second temps, se propager vers la peau, le cerveau et les yeux », indique la médecin.
On peut l’attraper par l’air ou en cas de coupure, par exemple. Les symptômes les plus fréquents sont la fièvre, des maux de tête, un gonflement du visage ou de la toux. Tous les profils ne présentent pas le même risque. Les personnes qui sont immunodéprimées, en raison d’un diabète ou à la suite d’une greffe, sont plus fréquemment touchées.
Maladie rare - « une cinquantaine de cas par an en France », précise Fanny Lanternier -, la mucormycose est potentiellement très grave. Le taux de mortalité atteindrait 54 %, rapportent les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies aux Etats-Unis. Il est même supérieur si plusieurs organes sont touchés.
....Pourquoi y a-t-il autant de cas en Inde ?
Il est difficile d’établir un bilan précis. Une chose est sûre : les médecins sur place disent recevoir de plus en plus de patients atteints de mucormycose. Plus de 2 000 cas, essentiellement des patients convalescents ou rétablis du Covid, ont été recensés dans l’Etat du Maharashtra et 1 200 dans celui du Gujarat.
Plusieurs centaines d’entre eux en seraient déjà décédés. La capitale New Delhi s’apprête à mettre en place des services hospitaliers spéciaux et chaque cas doit désormais faire l’objet d’un suivi très poussé. « Une détection précoce peut aider à freiner la maladie », insiste le gouvernement indien.
« Quand on additionne la fréquence de cette maladie en temps normal (environ 50 cas par an dans un centre hospitalier indien), le fait que l’Inde soit touchée par une très forte vague de Covid, qu’il y ait peut-être un peu plus de patients diabétiques, et qu’ils sont soignés avec des corticoïdes (qui diminuent les réponses immunitaires), on peut comprendre pourquoi le nombre de mucormycoses augmente fortement », énumère Fanny Lanternier.
La spécialiste précise aussitôt que « cela ne remet pas en question l’importance du traitement avec des stéroïdes [un autre nom pour corticoïdes, NDLR] » en cas d’infection par le SARS-CoV-2.
Ces traitements permettent d’aider l’organisme à mieux résister lorsque le système immunitaire lutte contre le virus. Mais, dans le même temps, ils réduisent l’immunité et augmentent la glycémie.
« L’utilisation de stéroïdes pour traiter certains cas de Covid-19 ferait grimper les niveaux de sucre et, associé au manque d’activité physique, expose les personnes diabétiques à un risque plus élevé d’attraper la mucormycose », a prévenu auprès du journal Indian Express la Dr Sweta Budyal, endocrinologue dans un hôpital de Mumbai.
Des médicaments antifongiques existent pour soigner le mucormycose. Le gouvernement indien, critiqué pour avoir tardé à réagir, vient d’ailleurs d’annoncer que les laboratoires allaient accélérer la production d’amphotéricine B liposomale, un antibiotique. 20 flacons seraient nécessaires pour traiter chaque personne infectée et chacun d’entre eux coûte actuellement entre 56 et 68 euros (5 000 et 6 000 roupies), rapporte l’Indian Times.
Dans de nombreux cas, une opération chirurgicale est nécessaire.
....Existe-t-il un risque en France ?
À cette heure, les médecins se veulent rassurants quant à une possible augmentation des cas de mucormycoses post-Covid « Il n’y a pas de signal particulier en France, même si on a eu quelques cas inattendus, probablement autour d’une dizaine ou d’une quinzaine », indique Fanny Lanternier, qui officie également au Centre National de Référence des Mycoses Invasives et Antifongiques de l’Institut Pasteur.
« Ce n’est pas décrit à ma connaissance sur des patients atteints du Covid en France. C’est aussi une maladie qui touche probablement, en particulier, les populations les plus précaires », complète l’infectiologue Benjamin Davido, de l’hôpital Raymond Poincaré (Garches).
Au total, entre 1997 et 2010, 662 cas de mucormycose (382 hommes et 280 femmes) ont été identifiés en France métropolitaine, d’après une étude parue en 2013 dans la revue médecine/sciences. Leur âge moyen était de 55,2 ans.
Source:Le Parisien.
Tous les habitants majeurs d’un quartier de la ville de Bordeaux vont pouvoir être rapidement vaccinés, sans conditions, après la découverte d’un cluster de quelques dizaines de personnes testées positives à un variant «très rare», a expliqué vendredi l’Agence régionale de Santé.
Alors que le dépistage massif de la population a débuté vendredi dans le quartier Port-Maritime Bacalan, dans le nord de la ville, les autorités sanitaires ont demandé « d’anticiper la vaccination des plus de 18 ans sans conditions » dans ce quartier et les limitrophes, « si possible dans le week-end ou au pire en début de semaine prochaine », a expliqué Patrick Dehail, le conseiller médical et scientifique de l’ARS Nouvelle-Aquitaine.
« On travaille avec le ministère (de la Santé, ndlr) pour obtenir des doses supplémentaires afin de lancer cette vaccination anticipée sans conditions » dès que possible, a-t-il dit, l’idée étant ensuite de l’élargir « à la ville et à la métropole ».
Aucun cluster de cette ampleur:
« Il s’agit d’un variant déjà identifié au niveau national mais très rare jusqu’à présent, a-t-il précisé. C’est un Variant of concern (VoC), soit préoccupant, comme l’étaient par exemple les variants anglais et indien. Sa souche est anglaise mais avec une mutation. Il est connu, il a aussi été vu en Ile-de-France. »
« Mais il s’était très peu exprimé jusqu’à présent tant au niveau national qu’au niveau international. A priori, il n’y avait encore jamais eu de cluster comme ça dans la population générale », a ajouté le professeur Dehail.
Le cluster s’élève à au moins 46 personnes, sans compter le retour des résultats de la première journée du dépistage massif lancé vendredi. Selon France Bleu Gironde, des réunions de famille le week-end du 8 mai seraient à l’origine du foyer viral.
Dix enfants ont été testés positifs à l’école Charles-Martin qui a été fermée. Un centre de dépistage provisoire a été installé au 58, rue Joseph-Brunet.
Aucun de ces cas positifs n’a été vacciné et « aucun n’a été hospitalisé, ils ont les symptômes habituels ou pas de symptômes », d’après le directeur médical de l’ARS. « Nous n’avons pas de raison de penser que ces cas seront plus graves et que ce variant est résistant aux vaccins à ARN messager » comme le Pfizer ou le Moderna, a-t-il commenté Patrick Dehail.
Le génome analysé à Lyon:
« Nous ne sommes pas inquiets et la population n’a pas de raison de l’être mais c’est l’occasion de rappeler que le virus circule toujours et qu’il ne faut pas considérer la levée des restrictions comme un retour à la vie d’avant sans limites », a-t-il mis en garde.
D’autant que selon lui, « la population bordelaise est relativement naïve par rapport au virus », dans une région « relativement épargnée » et où « l’immunité collective est pour l’instant très faible ». Le Centre national de référence de Lyon est désormais chargé d’une « analyse plus détaillée du génome entier » de ce variant, selon le professeur.
Un «variant préoccupant»:
Ce variant « demeure très rare au niveau international et en France, malgré plusieurs chaînes de transmission détectées récemment à Bordeaux », a de son côté indiqué l’agence Santé publique France dans un point sur les variants vendredi soir.
Appelé VOC 20I/484K, c’est un dérivé du variant anglais, mais il a acquis une mutation supplémentaire (E484K) soupçonnée d’amoindrir l’efficacité des vaccins. Cette mutation est également présente chez les variants sud-africain et brésilien, selon Santé publique France
A ce stade, cinq variants sont classés comme « variants préoccupants » en France, selon l’agence sanitaire: les variants anglais, sud-africain, brésilien, indien (qui vient de rejoindre cette liste selon le point diffusé vendredi) et celui détecté à Bordeaux.
La liste des « variants préoccupants » peut varier selon les pays en fonction de la situation locale. Jeudi, l’OMS a souligné que les vaccins actuellement disponibles fonctionnaient jusqu’à présent contre tous les variants préoccupants.
INFO CLÉS : LES ÉLÉMENTS IMPORTANTS DE CETTE SEMAINE
· RESULTAT DU SONDAGE EFFECTUE PAR BONSENS :
· POINT VACCIN HEBDOMADAIRE
- La Sénatrice Phinera-Horth LREM de Guyane a déclaré à la télévision qu’elle refusait de se faire vacciner car elle a deux proches qui sont décédés après vaccination.
- Le Point et Ouest France ont posé des questions sur leur site internet au sujet de la vaccination des jeunes : « Êtes-vous prêt à faire vacciner vos enfants /adolescents ? » Dans les deux cas, le non l’a emporté à 78%.
Le Figaro, vient de faire de même sur les jeunes et les enfants, et là le non n’est que de 51% . Ces chiffres sont vraiment à prendre avec du recul, car ce n’est pas un échantillon représentatif des français – Nous invitons donc à la plus grande prudence dans l’interprétation des réponses.
- Témoignage courageux d’un pompier ayant amené un patient au Centre Hospitalier Saint Joseph Saint Luc (Lyon).
Les larmes aux yeux il avoue “Dans les deux semaines qui suivent la vaccination, il y a des AVC massifs, tout le personnel est au courant “. La vidéo a déjà été censurée par Facebook.
- Une analyse importante sur la vaccination et la relation avec les décès a été faite par le Pr Steve Ohana : les vaccins ont-ils sauvé des vies ?
« Une analyse transnationale de la relation entre le taux de vaccination et la mortalité COVID post-vaccination, à partir de la base de données publique Our World in Data ne montre aucune relation négative significative entre le taux de vaccination et la mortalité par COVID entre les pays. Cette constatation n’appuie pas l’affirmation selon laquelle les vaccins COVID ont sauvé des vies, du moins jusqu’à présent. »
- Les preuves sont de plus en plus nombreuses que ces thérapies géniques à vocation vaccinale ne réduisent pas la transmission car ils n’empêchent pas d’attraper le virus ni de le transmettre. Les exemples sont de plus en plus nombreux comme celui de l’aéroport de Singapour.
- Les enfants sont très peu transmetteurs. Une large étude italienne sur plus de 7 millions d’enfants montre que les infections par le SARS-CoV-2 se produisent rarement à l’école et la transmission des élèves aux enseignants est peu fréquente. Cette étude a été publiée dans The LANCET. Comme ces thérapies vaccinales expérimentales n’empêchent ni d’attraper le virus, ni de la transmettre, et que les enfants ont quasiment zéro risque avec le virus, il est totalement absurde et même scandaleux d’oser proposer leur vaccination.
- D’après une étude du Pr Michel Drancourt présentée lors d’un séminaire à l’IHU Marseille, les anticorps générés par les vaccins ne reconnaissent pas ou peu la protéine Spike naturelle présente chez le virus qui a une configuration structurelle différente.
L’explication est que la protéine Spike produite à partir des ARNm (Pfizer, Moderna) ou des adénovirus recombinants (Astrazeneca, Johnson & Johnson) des « vaccins » contre laquelle les vaccinés font des anticorps n’est pas « maturée » post production comme la protéine naturelle présente chez le virus ( pas de glycosylation)
- Une étude récente montre qu’à l’hôpital, l’on peut détecter de l’ARN du SARS-CoV-2 à partir des surfaces (25%) et de l’air (2%) dans le milieu de soins de courte durée.
Cependant, aucun virus infectieux n’a été détecté dans l’air (pas de culture virale possible à partir des échantillons).
“Des échantillons d’air positifs à la PCR ont été prélevés à moins de 1 m du patient dans 3 cas. Cependant, nous n’avons pas été en mesure de cultiver un virus viable à partir de l’un de ces échantillons d’air.”
Concernant les surfaces, seuls 6 échantillons contenaient du virus infectieux et tous les échantillons avec virus viable ont été prélevés sur patients dans les 5 jours suivant début maladie. La surface la plus chargée en virus infectieux est celle des interrupteurs autour du lit des patients. Cela est totalement cohérent avec les résultats des prélèvements du bataillon des Marins Pompiers de Marseille de l’Unité COMETE.
- Recensement national des cas de COVID-19 chez les professionnels en établissements de santé. Depuis le 22 avril 2020, Santé publique France en lien avec le GERES et avec l’appui des CPIAS a mis en place une surveillance afin de recenser les professionnels.
Au total depuis mars 2020, il y a eu 81032 personnels infectés et 19 décès. D’après l’INSEE, il y a 778 400 personnels soignants dans ces établissements de santé, ce qui signifie :
10% de Cas positifs
Létalité 0,023% (décès/cas)
Mortalité 0,0024% (décès/professionnel)
· VACCIN ASTRAZENECA (VAXZEVRIA) – JOHNSON&JOHNSON
La jeune mannequin Stéphanie Dubois est malheureusement décédée (suite à sa vaccination avec Astrazeneca selon ses proches). Elle aurait succombé à une hémorragie cérébrale
· VACCINS PFIZER – MODERNA
Les médecins ont été alertés pour la première fois sur le lien possible entre la myocardite et les vaccins le 14 mai. Le groupe de travail a ensuite examiné les données sur la myocardite le 17 mai. Les cas semblent se produire principalement chez les adolescents et les jeunes adultes environ quatre jours après leur deuxième dose.
· IVERMECTINE
Mexique : bien que le gouvernement fédéral rejette son utilisation, le gouvernement du CDMX a publié une étude qui conclut que les patients traités par l’ivermectine – qui est régulièrement appliquée par l’IMSS – réduisent le risque de nécessiter une hospitalisation jusqu’à 76 %.
« Le gouvernement de Mexico a publié une étude sur l’utilisation de l’ivermectine – qui est régulièrement appliquée par l’IMSS – chez environ 200 000 personnes ayant un test de dépistage positif au covidé, qui conclut que les patients traités avec ce médicament réduisent le risque de nécessiter une hospitalisation à 76 %. Les spécialistes qui analysent les effets du traitement dans le monde considèrent que cette étude est cohérente et coïncide avec les bons résultats obtenus dans d’autres pays, malgré le fait que le gouvernement fédéral et l’OMS ne partagent pas cet enthousiasme. »
La méta analyse de Tess Lawrie publiée en preprint et sera acceptée définitivement la semaine prochaine. Elle conclue à l’efficacité de l’Ivermectine pour réduire hospitalisation et décès Covid.
· TRAITEMENTS
Un article très complet sur les traitements précoces a été écrit dans TrialSite.
· PASSEPORT VACCINAUX
Le pass sanitaire a été voté au Sénat malgré l’opposition de certains sénateurs comme Loic Hervé , Alain Houpert – Interview du sénateur Loic Hervé suite au vote au Sénat sur le pass sanitaire
Nous avons soutenu le courrier d’un de nos membres aux sénateurs contre le pass sanitaire.
Israël abandonne son Pass sanitaire : plus de Green Pass et de Purple Standard systems sur le territoire d’Israël à partir du 1er juin.
· MESURES SOCIALES ET AUTRES
L’enquête a été ouverte en septembre 2020, mais l’AFP la révèle ce vendredi 21 mai. Le parquet national financier (PNF), après une alerte de l’association anticorruption Anticor, a ouvert une enquête préliminaire pour “favoritisme” autour de la gestion de l’application StopCovid devenue quelques mois plus tard TousAntiCovid.
Les données du réseau COMETE ( sous l’égide du Commandant Patrick Augier, directeur du Bataillon de Marins-Pompiers de Marseille) sur l’analyse des eaux usées pour le suivi de l’épidémie de SARS-CoV-2, ont fait l’objet d’une étude en collaboration avec l’IHU de Marseille. Cette étude a été publiée dans Frontiers in Microbiology et montre que le confinement n’a pas eu d’effet sur le taux de contamination à Marseille.
« Notre étude montre que, dans notre ville, le verrouillage ne joue pas un rôle dans le ralentissement du taux de contamination. Elle n’est pas non plus associée aux taux de mortalité dans tous les pays touchés par la pandémie, et personne n’a, à ce jour, fourni de preuves scientifiques de ses bénéfices à long terme »
· AUTRES INFORMATIONS
Une étude de satisfaction des citoyens de la gestion de la crise par leur gouvernent montre que la Suède est première et la France avant-dernière, juste avant la Grèce. Près de la moitié des Européens mécontents des mesures COVID de l’UE, selon ce sondage
La plus forte proportion d’insatisfaction a été constatée en Grèce, au Luxembourg et en Belgique, selon l’enquête d’euronews .
L’Inde a demandé aux plateformes de médias sociaux d’enlever la dénomination « variant indien » . « informations erronées concernant le virus corona sur les plateformes de médias sociaux. « Nous avons appris qu’une déclaration était en cours de diffusion en ligne, ce qui implique qu’une «variante indienne» du virus corona se propage à travers les pays. C’est complètement FAUX. Il n’existe pas de variante du Covid-19 scientifiquement citée comme telle par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
» Le 12 mai 2021, le ministère indien de la Santé et du Bien-être familial a publié une déclaration intitulée «L’OMS n’a pas associé le terme “variant indien” au B.1.617, désormais classé comme variante préoccupante».
En Inde, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine ont vraiment contribué à la diminution de l’épidémie dans les États qui l’utilisent en prophylaxie et en soin précoce. Cependant, des armées de factcheckers, dont les conflits d’intérêt avec des labos pharmaceutiques ne sont plus à prouver, se font un malin plaisir à écrire que ce n’est pas du tout dû au combiné hydroxychloroquine/Ivermectine. D’après eux, comme ils ne peuvent pas attribuer cela aux vaccins car cela concerne des États peu vaccinés, cela serait dû notamment au respect des gestes barrières et du port du masque. Pour ceux qui connaissent l’Inde, cela parait totalement invraisemblable car tout comme au Brésil la distanciation sociale prend une interprétation différente : les populations doivent notamment sortir de chez eux pour travailler et faire vivre leur famille et la distanciation sociale est difficilement applicable dans ces villes à fortes densités.
Suite sur le site (actions juridiques en cours) ...
https://bonsens.info/actualites-bonsens ... -mai-2021/