Je parle pour moi. Et, je ne suis pas une machine. Et j'aime dormir.
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
Merci Barba, mais vous savez, c'est une excellence très virtuelle.
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
Je ne suis ni modeste, ni prétention, je suis Juste.
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
Barbapoutre a écrit :Très variable! C'est comme le fût de canon ...
Voici un extrait de james Salter
Anthologie du coït (Mathias et J.J. Pauvert)
« Il y en avait beaucoup », elle fait.
Elle en est luisante. L'intérieur de ses cuisses est trempé. «Combien de temps ça prend pour en refaire?
demande-t-elle.
Dean essaie de réfléchir. Ses cours de biologie lui reviennent. «Deux ou trois jours, hasarde-t-il.
- Non! » elle s'écrie. Ce n'est pas ce qu'elle voulait dire.
Elle entreprend de le rendre dur à nouveau. Au bout de quelques minutes il la retourne et la lui met comme si l'entracte était fini. Cette fois-ci elle devient folle. Le grand lit se met à grincer. Sa respiration est hachée. Dean doit s'aider de ses mains contre le mur. Il enroule le creux de ses genoux contre l'extérieur de ses jambes et s'enfonce plus profond.
« Oh! , halète-t-elle, c'est ce que je préfère ».
Quand il jouit, ils tombent tous les deux. Ils croulent, comme du sable.
Hé bien Barba' :oops: quel délice, je suis très très très agréablement surprise, vous avez ma foi, un goût exquis en littérature :oops: