Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
-
- Posteur VIP
- Messages : 1069
- Enregistré le : 22 novembre 2008 17:06
Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
http://www.la-croix.com/article/index.j ... &rubId=788
Voici le texte complet de l'excellent journal La Croix:
Après une série d’incidents impliquant, ces derniers jours,élèves musulmans et juifs, l’école craint de servir de caisse de résonance au conflit israélo-palestinien
« Surtout, n’allez pas laisser croire que c’est l’Intifada dans les cours de récréation ! » Au ministère de l’éducation, on tente de ramener à leur juste mesure les incidents survenus ces derniers jours dans différents établissements, en écho au conflit israélo-palestinien.
Entre autres « dérapages », un élève de sixième a, mardi 13 janvier, agité un drapeau palestinien devant les grilles de son collège, dans les Yvelines, tandis que des graffitis anti-israéliens étaient découverts dans les couloirs d’un établissement du Val-de-Marne.
La veille, dans le Haut-Rhin, des propos haineux à l’encontre des juifs avaient été tagués non loin des salles de cours… « À chacun de ces incidents, sporadiques, les parents sont convoqués et le chef d’établissement rappelle à l’élève que l’incitation à la haine raciale est répréhensible aux yeux de la loi », assure l’entourage du ministre.
Dépôt de plainte
La réaction va parfois jusqu’au dépôt de plainte de la part du rectorat. C’est le cas au lycée Janson-de-Sailly, dans le très chic 16e arrondissement de la capitale, où trois jeunes gens, dont deux d’origine maghrébine, ont été agressés jeudi 8 janvier aux abords de l’établissement.
Selon l’Association d’aide aux victimes des injustices, ils auraient été frappés par des militants de la Ligue de défense juive qui distribuaient des tracts, ce que l’enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris n’a pas, pour l’heure, permis d’établir.
« Les chefs d’établissement ont reçu pour consigne de réaffirmer les principes de la laïcité, qui ne tolèrent aucun prosélytisme, ni religieux, ni politique, dans l’enceinte de l’école », affirme le ministère.
Une partie d’entre eux, néanmoins, se sent désemparée. « Vendredi dernier, une quarantaine d’élèves ont bloqué l’entrée du lycée, dressé des drapeaux palestiniens, tandis qu’un adulte, qui vraisemblablement les manipulait, distribuait des tracts », raconte la proviseur d’un lycée de Seine-et-Marne.
"Le dialogue a finalement payé"
« Pendant que les enseignants restaient en salle des professeurs, j’ai tenté d’expliquer aux jeunes que bloquer le lycée constituait une entrave à la liberté. En vain. Il a été impossible de franchir les grilles pendant toute la matinée », soupire-t-elle. Parmi ces manifestants, peu de jeunes sont politisés.
« La plupart n’auraient pas été capables de rédiger trois lignes sur le conflit à Gaza », souligne-t-elle encore. Tant bien que mal, le lycée a pu rouvrir. « Nous n’avons pas reparlé de l’incident. Un incident qui peut se reproduire à tout moment », redoute la proviseur.
Trois jours après, des élèves d’un lycée voisin ont eux aussi tenté de bloquer leur établissement au cri de « Gaza ! Gaza ! » « Le dialogue a finalement payé », explique son proviseur, pour qui la situation demeure cependant « explosive ». Et encore, son lycée « ne compte pas d’élèves juifs ou qui se réclament ouvertement de cette confession »…
Evoquer ou non le conflit en classe
De fait, dans les établissements fréquentés par des jeunes issus des deux communautés, musulmane et juive, la question se pose différemment. « J’espère que le travail que nous effectuons depuis sept ans sur la mémoire de la Shoah et la promotion des droits de l’homme permettra de prévenir les tensions », confie Jacqueline Bensamoun.
Proviseur adjointe du lycée Jacques-Decour à Paris, elle se souvient qu’au moment de la seconde Intifada, au début de la décennie, elle avait dû, pendant trois quarts d’heure, convaincre deux élèves que le port d’un keffieh à l’école était contraire aux valeurs de la République.
Dans son établissement, certains enseignants ont reçu pour consigne de ne pas évoquer en classe le conflit à Gaza. « Le rôle de l’école est aussi d’apprendre aux jeunes leur métier d’homme, poursuit-elle. Mais on ne peut pas aborder ce conflit comme une formule de maths. Il faut transmettre aux élèves des principes plus généraux pour leur éviter de sombrer dans les passions et développer une vision équilibrée. »
"L'école doit informer les élèves"
Difficile, néanmoins, d’esquiver les questions des élèves. « Nos jeunes ont envie de comprendre ce qui se passe à Gaza », rapporte Daniel Pelletier. À dire vrai, le proviseur du lycée Alfred-Nobel de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) n’est « pas tout à fait sûr que les explications données par les enseignants ne penchent pas du côté pro-palestinien ».
Il a, en tout cas, souhaité que les deux assistants d’arabe – « deux étudiants venus de Palestine, des jeunes qui n’ont rien d’excités ou d’antisémites, mais dont le point de vue est forcément partisan » – ne prennent pas part au débat.
À l’évidence, l’école a du mal à se positionner face à un conflit dont elle devient peu à peu la caisse de résonance. « Elle doit informer les élèves, leur permettre de regarder les choses de manière plus sereine », soutient Jean-Jacques Hazan, le président de la FCPE, la principale fédération de parents d’élèves.
« Mes élèves me demandent de décrypter les événements, et je le fais volontiers en les replaçant dans une perspective historique, confie, pour sa part, Colette Drogoz, professeur d’histoire-géographie à Marseille.
En m’astreignant à une objectivité qui, par essence, n’est jamais parfaite, j’évoque le besoin de sécurité des Israéliens et la nécessité pour les Palestiniens d’avoir un pays. J’essaie de prêcher la paix. » Face à elle, quelques jeunes juifs et musulmans.
« Parfois, il faut intervenir pour qu’ils baissent le ton. Parfois, fusent des propos contre Israël ou contre la Palestine, mais jamais d’injures antisémites ou racistes. Mes élèves savent que je ne le tolérerais pas », soutient Colette Drogoz, convaincue qu’il ne doit y avoir en classe aucun sujet tabou. « On ne peut pas œuvrer pour la citoyenneté des élèves et en même temps éluder les sujets brûlants.»
Denis PEIRON
Voici le texte complet de l'excellent journal La Croix:
Après une série d’incidents impliquant, ces derniers jours,élèves musulmans et juifs, l’école craint de servir de caisse de résonance au conflit israélo-palestinien
« Surtout, n’allez pas laisser croire que c’est l’Intifada dans les cours de récréation ! » Au ministère de l’éducation, on tente de ramener à leur juste mesure les incidents survenus ces derniers jours dans différents établissements, en écho au conflit israélo-palestinien.
Entre autres « dérapages », un élève de sixième a, mardi 13 janvier, agité un drapeau palestinien devant les grilles de son collège, dans les Yvelines, tandis que des graffitis anti-israéliens étaient découverts dans les couloirs d’un établissement du Val-de-Marne.
La veille, dans le Haut-Rhin, des propos haineux à l’encontre des juifs avaient été tagués non loin des salles de cours… « À chacun de ces incidents, sporadiques, les parents sont convoqués et le chef d’établissement rappelle à l’élève que l’incitation à la haine raciale est répréhensible aux yeux de la loi », assure l’entourage du ministre.
Dépôt de plainte
La réaction va parfois jusqu’au dépôt de plainte de la part du rectorat. C’est le cas au lycée Janson-de-Sailly, dans le très chic 16e arrondissement de la capitale, où trois jeunes gens, dont deux d’origine maghrébine, ont été agressés jeudi 8 janvier aux abords de l’établissement.
Selon l’Association d’aide aux victimes des injustices, ils auraient été frappés par des militants de la Ligue de défense juive qui distribuaient des tracts, ce que l’enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris n’a pas, pour l’heure, permis d’établir.
« Les chefs d’établissement ont reçu pour consigne de réaffirmer les principes de la laïcité, qui ne tolèrent aucun prosélytisme, ni religieux, ni politique, dans l’enceinte de l’école », affirme le ministère.
Une partie d’entre eux, néanmoins, se sent désemparée. « Vendredi dernier, une quarantaine d’élèves ont bloqué l’entrée du lycée, dressé des drapeaux palestiniens, tandis qu’un adulte, qui vraisemblablement les manipulait, distribuait des tracts », raconte la proviseur d’un lycée de Seine-et-Marne.
"Le dialogue a finalement payé"
« Pendant que les enseignants restaient en salle des professeurs, j’ai tenté d’expliquer aux jeunes que bloquer le lycée constituait une entrave à la liberté. En vain. Il a été impossible de franchir les grilles pendant toute la matinée », soupire-t-elle. Parmi ces manifestants, peu de jeunes sont politisés.
« La plupart n’auraient pas été capables de rédiger trois lignes sur le conflit à Gaza », souligne-t-elle encore. Tant bien que mal, le lycée a pu rouvrir. « Nous n’avons pas reparlé de l’incident. Un incident qui peut se reproduire à tout moment », redoute la proviseur.
Trois jours après, des élèves d’un lycée voisin ont eux aussi tenté de bloquer leur établissement au cri de « Gaza ! Gaza ! » « Le dialogue a finalement payé », explique son proviseur, pour qui la situation demeure cependant « explosive ». Et encore, son lycée « ne compte pas d’élèves juifs ou qui se réclament ouvertement de cette confession »…
Evoquer ou non le conflit en classe
De fait, dans les établissements fréquentés par des jeunes issus des deux communautés, musulmane et juive, la question se pose différemment. « J’espère que le travail que nous effectuons depuis sept ans sur la mémoire de la Shoah et la promotion des droits de l’homme permettra de prévenir les tensions », confie Jacqueline Bensamoun.
Proviseur adjointe du lycée Jacques-Decour à Paris, elle se souvient qu’au moment de la seconde Intifada, au début de la décennie, elle avait dû, pendant trois quarts d’heure, convaincre deux élèves que le port d’un keffieh à l’école était contraire aux valeurs de la République.
Dans son établissement, certains enseignants ont reçu pour consigne de ne pas évoquer en classe le conflit à Gaza. « Le rôle de l’école est aussi d’apprendre aux jeunes leur métier d’homme, poursuit-elle. Mais on ne peut pas aborder ce conflit comme une formule de maths. Il faut transmettre aux élèves des principes plus généraux pour leur éviter de sombrer dans les passions et développer une vision équilibrée. »
"L'école doit informer les élèves"
Difficile, néanmoins, d’esquiver les questions des élèves. « Nos jeunes ont envie de comprendre ce qui se passe à Gaza », rapporte Daniel Pelletier. À dire vrai, le proviseur du lycée Alfred-Nobel de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) n’est « pas tout à fait sûr que les explications données par les enseignants ne penchent pas du côté pro-palestinien ».
Il a, en tout cas, souhaité que les deux assistants d’arabe – « deux étudiants venus de Palestine, des jeunes qui n’ont rien d’excités ou d’antisémites, mais dont le point de vue est forcément partisan » – ne prennent pas part au débat.
À l’évidence, l’école a du mal à se positionner face à un conflit dont elle devient peu à peu la caisse de résonance. « Elle doit informer les élèves, leur permettre de regarder les choses de manière plus sereine », soutient Jean-Jacques Hazan, le président de la FCPE, la principale fédération de parents d’élèves.
« Mes élèves me demandent de décrypter les événements, et je le fais volontiers en les replaçant dans une perspective historique, confie, pour sa part, Colette Drogoz, professeur d’histoire-géographie à Marseille.
En m’astreignant à une objectivité qui, par essence, n’est jamais parfaite, j’évoque le besoin de sécurité des Israéliens et la nécessité pour les Palestiniens d’avoir un pays. J’essaie de prêcher la paix. » Face à elle, quelques jeunes juifs et musulmans.
« Parfois, il faut intervenir pour qu’ils baissent le ton. Parfois, fusent des propos contre Israël ou contre la Palestine, mais jamais d’injures antisémites ou racistes. Mes élèves savent que je ne le tolérerais pas », soutient Colette Drogoz, convaincue qu’il ne doit y avoir en classe aucun sujet tabou. « On ne peut pas œuvrer pour la citoyenneté des élèves et en même temps éluder les sujets brûlants.»
Denis PEIRON
Modifié en dernier par Filochard le 15 janvier 2009 09:04, modifié 2 fois.
- Jarod1
- Animateur
- Messages : 41523
- Enregistré le : 24 avril 2008 14:05
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Que veut dire "informer" ?
S'il s'agit d'une approche exclusivement historique, c'est normal.
Si c'est pour que des profs rouges fassent de la politique...
S'il s'agit d'une approche exclusivement historique, c'est normal.
Si c'est pour que des profs rouges fassent de la politique...
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
- liberté
- Posteur TOP VIP
- Messages : 2906
- Enregistré le : 16 septembre 2008 22:22
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Une guerre est une guerre.
Et comme il n'y a pas de guerre juste, pour un camps comme pour l'autre, autant ne pas polémiquer et risquer d'induire les élèves en erreur.
Et comme il n'y a pas de guerre juste, pour un camps comme pour l'autre, autant ne pas polémiquer et risquer d'induire les élèves en erreur.
"Si la religion est l'opium des peuples, l'intégrisme est le crac des imbéciles !"
(Alain Remi)
T A C N ?
(Alain Remi)
T A C N ?
- Modéraldys
- Moderateur
- Messages : 1028
- Enregistré le : 12 novembre 2008 15:16
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Le sujet ici n'est pas la guerre au moyen orient,
Les messages HS seront supprimés.
Les messages HS seront supprimés.
Cordialement - Equipe de Modérateurs Interaldys
- Veuillez spécifier vos remarques et demandes par messagerie privée, non sur le forum -
Règlement, cliquez ICI !!!
- Veuillez spécifier vos remarques et demandes par messagerie privée, non sur le forum -
Règlement, cliquez ICI !!!
- Jarod1
- Animateur
- Messages : 41523
- Enregistré le : 24 avril 2008 14:05
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Je ne vois aucun message HS ? 
Mon message à pour but une prévention au flood.
Cdlt

Mon message à pour but une prévention au flood.
Cdlt
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
- Jarod1
- Animateur
- Messages : 41523
- Enregistré le : 24 avril 2008 14:05
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
J'ignorais l'existence de ce concept !
Dont acte.

Dont acte.
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
-
- Posteur Experimente
- Messages : 163
- Enregistré le : 02 avril 2008 18:46
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
liberté a écrit :Une guerre est une guerre.
Et comme il n'y a pas de guerre juste, pour un camps comme pour l'autre, autant ne pas polémiquer et risquer d'induire les élèves en erreur.
Tout à fait d'accord.
L'histoire n'a pas encore passé, les historiens n'ont pas encore différencié le factuel du politique.
S'en remettre à un simple enseignant pour faire cela est du niveau du commentaire du café du commerce.
-
- Posteur Giganovesque
- Messages : 3854
- Enregistré le : 01 janvier 2008 09:30
- Localisation : 95
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Historique pour des évènements qui se sont passés hier ???clint a écrit :Que veut dire "informer" ?
S'il s'agit d'une approche exclusivement historique, c'est normal.
Si c'est pour que des profs rouges fassent de la politique...
Je pense qu'on devraiet adopter la règle officieuse qui prévaut en UK qui veut que les cours d'histoire se refusent à parler d'évènements qui ont moins de 30 ans. Ca éviterait pas mal de faire entrer la politique dans les collèges et lycées.
-
- Posteur DIVIN
- Messages : 11030
- Enregistré le : 03 juillet 2007 21:26
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Bien d'accord avec ça.95D a écrit :
Historique pour des évènements qui se sont passés hier ???
Je pense qu'on devraiet adopter la règle officieuse qui prévaut en UK qui veut que les cours d'histoire se refusent à parler d'évènements qui ont moins de 30 ans. Ca éviterait pas mal de faire entrer la politique dans les collèges et lycées.
- dinosaure
- Posteur DIVIN
- Messages : 15007
- Enregistré le : 03 novembre 2008 08:12
- Localisation : RP
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Sauf que pour un conflit commencé en 1948 ....
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
-
- Posteur VIP
- Messages : 1069
- Enregistré le : 22 novembre 2008 17:06
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
C'est dommage, et ils bottent en touche!
Ce sont les élèves qui parfois font des débordements!
Alors rangeons notre Journal La Croix!
Déception de ma part...
Ce sont les élèves qui parfois font des débordements!
Alors rangeons notre Journal La Croix!
Déception de ma part...
- capitaine
- Posteur Titanesque
- Messages : 7631
- Enregistré le : 19 août 2006 20:36
- Localisation : terre du milieu
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Les élèves, ont aujourd'hui TOUS les moyens de s'informer par eux mêmes
en dehors du contexte historique qui viendra un jour.
Ce ce que nous avon svécu pour beaucoup d'entre nous..
Imaginez "l'info" sur l aguerre du Golfe, avec ce qu'on en sait aujourd'hui..
L'actualité, c'est pas le recul...sur les choses..
Mais que la mémoire se souvienne longtemps, des commentaires et des images
avant que ne vienne le temps des révisionnistes..
en dehors du contexte historique qui viendra un jour.
Ce ce que nous avon svécu pour beaucoup d'entre nous..
Imaginez "l'info" sur l aguerre du Golfe, avec ce qu'on en sait aujourd'hui..
L'actualité, c'est pas le recul...sur les choses..
Mais que la mémoire se souvienne longtemps, des commentaires et des images
avant que ne vienne le temps des révisionnistes..
Dans 2 ans, il n'y aura plus de SDF ! (Naguy de Bosca)
Dans 2 ans il n'y aura plus de Naguy de Bosca ! (gecko)
Dans 2 ans il n'y aura plus de Naguy de Bosca ! (gecko)
- Modéraldys
- Moderateur
- Messages : 1028
- Enregistré le : 12 novembre 2008 15:16
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Le sujet a été nettoyé suite aux divers avertissements.
Il a été précisé au début du topic, aucune dérive par rapport au sujet,
qui n'est pas le conflit Palestino-Israélien, mais
l' information auprès des élèves de celui-ci.
Ce n'est pas la même chose.
Donc revenir au sujet sous peine d'effacement des messages HS
Cordialement - Equipe de Modérateurs Interaldys
- Veuillez spécifier vos remarques et demandes par messagerie privée, non sur le forum -
Règlement, cliquez ICI !!!
- Veuillez spécifier vos remarques et demandes par messagerie privée, non sur le forum -
Règlement, cliquez ICI !!!
-
- Posteur Diamant
- Messages : 586
- Enregistré le : 19 juillet 2007 11:18
- Localisation : Terre-Europe-France-Bretagne
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Ne pensez-vous pas qu'il a plutôt commencé par la prise de Jérusalem en 637 ?dinosaure a écrit :Sauf que pour un conflit commencé en 1948 ....

"Dès que l'on fouille le passé, le mal n'est pas toujours où l'on dit, le bien n'est pas toujours où l'on croit"
(Jean Sévillia)
(Jean Sévillia)
- Modéraldys
- Moderateur
- Messages : 1028
- Enregistré le : 12 novembre 2008 15:16
Re: Faut-il informer les élèves sur le conflit du Proche Orient
Dernier avertissement si d'autres messages hors sujet sont postés ici ce sujet sera fermé.
Pour discuter du conflit un sujet est ouvert:
http://www.interaldys.com/v3/viewtopic. ... 62#p290062
Pour discuter du conflit un sujet est ouvert:
http://www.interaldys.com/v3/viewtopic. ... 62#p290062
Cordialement - Equipe de Modérateurs Interaldys
- Veuillez spécifier vos remarques et demandes par messagerie privée, non sur le forum -
Règlement, cliquez ICI !!!
- Veuillez spécifier vos remarques et demandes par messagerie privée, non sur le forum -
Règlement, cliquez ICI !!!