VERNON a écrit :J'ai lu et relu " Les Médecins Maudits" de Christian Bernadach ; certains hommes sont de véritables Hyènes
Le plus célèbre d'entre eux , le Docteur Mengele ,est mort tranquillement en Amérique du Sud et , sûrement , sans avoir éprouvé aucun remord.
J'ai lu également cet ouvrage.
Le chemin simple de la déshumanisation de la "médecine".
C'est pour cela que je dis :"pseudo expériences", car non seulement elles étaient inhumaines, mais de plus, elles n'ont pratiquement rien apporté de nouveau aux connaissances médicales de l'époque.
"Si la religion est l'opium des peuples, l'intégrisme est le crac des imbéciles !"
(Alain Remi)
Jackout a écrit :
Pas moi ! Jamais pour une telle ordure !
Je ne pensais pas à toi. Pas du tout.
En revanche, il suffit de lire ce fil pour identifier les nostalgiques du IIIème Reich
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
gemmill a écrit :
bien sur que non; mais on en revient toujours au "faites ce que je dit , pas ce que je fais"; et puis , le complice de aribert heim , le nommé erich wasiscky a été pendu a landsberg. ca équilibre un peu la balance de la justice...
Ils seraient encore 9, les complices de ce mèdecin. Vivants ou présumés tels.
Nazisme. Les neuf complices du "Boucher de Mauthausen"
Le nazi Aribert Heim, "Le boucher de Mauthausen", dont la mort en Egypte en 1992 a été annoncée hier, figure en tête de la liste des dix nazis les plus recherchés par le Centre Simon Wiesenthal de Jérusalem. Il en reste donc neuf encore en vie, ou supposés l'être.
Sur la liste des nazis les plus recherchés, où Heim figure depuis de nombreuses années en tête, se trouvent neuf autres criminels nazis:
- John Demjanjuk, originaire d'Ukraine et réfugié aux Etats-Unis après la guerre, a été condamné à mort en 1988 à Jérusalem pour l'assassinat de nombreux Juifs dans plusieurs camps d'extermination. Gardien au camp de Treblinka en Pologne, il y avait été surnommé "Yvan le terrible". Mais en 1993, Demjanjuk est acquitté au bénéfice du doute. Les Etats-Unis l'ont déchu de sa nationalité américaine depuis et ont entamé une procédure d'extradition.
- Sandor Kepiro, un officier de police hongrois accusé d'avoir tué plus de 1.200 civils en Serbie pendant la guerre. Condamné en 1944 et 1946 par la justice hongroise, il n'a jamais purgé sa peine. Rentré en Hongrie en 1996, après des décennies passées en Argentine, il nie toutes les accusations. La Hongrie a rouvert une enquête.
- Milivoj Asner, ancien chef de la police croate, qui a participé activement à la déportation de centaines de Serbes, de Juifs et de membres des minorités Sinti et Rom. Il vit à Klagenfurt, dans le sud de l'Autriche, mais la justice autrichienne refuse son extradition réclamée par la Croatie sur la base d'expertises médicales attestant qu'il n'est pas en état d'être interrogé ou de comparaître devant un tribunal.
- Soeren Kam, ex-membre des brigades SS, est accusé d'être responsable de la mort d'un journaliste danois en 1943. Réfugié en Allemagne, son extradition réclamée par Copenhague a été refusée par un tribunal de Bavière en 2007 pour manque de preuves. Les autorités danoises veulent rouvrir le dossier pour enquêter sur son rôle dans la déportation de nombreux Juifs danois.
- Heinrich Boere, ex-membre du commando SS "Silbertanne", a été condamné à mort par contumace aux Pays-Bas en 1949 pour avoir tué trois civils néerlandais. L'Allemagne, où il vit réfugié, refuse de l'extrader, jugeant sa peine capitale non valide. Le parquet de Dortmund a déposé une nouvelle plainte contre lui en avril 2008 pour les trois mêmes meurtres.
- Charles Zentai, ancien soldat hongrois, a participé en 1944 à la persécution et l'assassinat de Juifs à Budapest. La Hongrie réclame son extradition à son pays d'accueil actuel, l'Australie.
- Mikhail Gorshkow, ancien interprète de la Gestapo, a participé aux meurtres de Juifs en Bielorussie. Les Etats-Unis, où il s'était réfugié, lui ont retiré sa nationalité américaine et l'Estonie, son pays natal qu'il a réintégré en 2002, a ouvert une enquête contre lui.
- Algimantas Dailide, ex-officier de la police de Vilnius en Lituanie, a participé pendant la guerre à des rafles de Juifs qui ont ensuite été exécutés par des nazis et leurs collaborateurs lituaniens. Extradé par les Américains vers l'Allemagne en 2003, il a été reconnu coupable par un tribunal lituanien en 2006 mais sans avoir à purger sa peine.
- Harry Mannil, ancien officier de la police politique estonienne, a participé à des rafles de Juifs qui ont ensuite été tués par les nazis pendant l'occupation de l'Estonie. Une enquête estonienne contre lui a conclu en 2005 qu'il ne s'était pas rendu coupable de crimes contre l'Humanité, faute de preuves. Il vit au Venezuela.
Ils n'étaient pas essentiellement allemands, ces tortionaires, mais d'un peu toutes les origines de l'est.
Ce qui est étonnant, quand on connait le mépris que les nazis avaient pour les slaves.
"Si la religion est l'opium des peuples, l'intégrisme est le crac des imbéciles !"
(Alain Remi)
Déjà que des avocats puissent défendre des violeurs de gosses,ca passe mal mais que des lambdas défendent des enc....,là y'a que dalle à comprendre!Arrivé à un degré de sadisme et de barbarie comme celui ci,il n'y a plus aucune notion d'humanisme mais que du comportement animal!Piquer ce qu'il reste,voilà la seule solution!
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Nazisme. Les neuf complices du "Boucher de Mauthausen"
Le nazi Aribert Heim, "Le boucher de Mauthausen", dont la mort en Egypte en 1992 a été annoncée hier, figure en tête de la liste des dix nazis les plus recherchés par le Centre Simon Wiesenthal de Jérusalem. Il en reste donc neuf encore en vie, ou supposés l'être.
Sur la liste des nazis les plus recherchés, où Heim figure depuis de nombreuses années en tête, se trouvent neuf autres criminels nazis:
- John Demjanjuk, originaire d'Ukraine et réfugié aux Etats-Unis après la guerre, a été condamné à mort en 1988 à Jérusalem pour l'assassinat de nombreux Juifs dans plusieurs camps d'extermination. Gardien au camp de Treblinka en Pologne, il y avait été surnommé "Yvan le terrible". Mais en 1993, Demjanjuk est acquitté au bénéfice du doute. Les Etats-Unis l'ont déchu de sa nationalité américaine depuis et ont entamé une procédure d'extradition.
- Sandor Kepiro, un officier de police hongrois accusé d'avoir tué plus de 1.200 civils en Serbie pendant la guerre. Condamné en 1944 et 1946 par la justice hongroise, il n'a jamais purgé sa peine. Rentré en Hongrie en 1996, après des décennies passées en Argentine, il nie toutes les accusations. La Hongrie a rouvert une enquête.
- Milivoj Asner, ancien chef de la police croate, qui a participé activement à la déportation de centaines de Serbes, de Juifs et de membres des minorités Sinti et Rom. Il vit à Klagenfurt, dans le sud de l'Autriche, mais la justice autrichienne refuse son extradition réclamée par la Croatie sur la base d'expertises médicales attestant qu'il n'est pas en état d'être interrogé ou de comparaître devant un tribunal.
- Soeren Kam, ex-membre des brigades SS, est accusé d'être responsable de la mort d'un journaliste danois en 1943. Réfugié en Allemagne, son extradition réclamée par Copenhague a été refusée par un tribunal de Bavière en 2007 pour manque de preuves. Les autorités danoises veulent rouvrir le dossier pour enquêter sur son rôle dans la déportation de nombreux Juifs danois.
- Heinrich Boere, ex-membre du commando SS "Silbertanne", a été condamné à mort par contumace aux Pays-Bas en 1949 pour avoir tué trois civils néerlandais. L'Allemagne, où il vit réfugié, refuse de l'extrader, jugeant sa peine capitale non valide. Le parquet de Dortmund a déposé une nouvelle plainte contre lui en avril 2008 pour les trois mêmes meurtres.
- Charles Zentai, ancien soldat hongrois, a participé en 1944 à la persécution et l'assassinat de Juifs à Budapest. La Hongrie réclame son extradition à son pays d'accueil actuel, l'Australie.
- Mikhail Gorshkow, ancien interprète de la Gestapo, a participé aux meurtres de Juifs en Bielorussie. Les Etats-Unis, où il s'était réfugié, lui ont retiré sa nationalité américaine et l'Estonie, son pays natal qu'il a réintégré en 2002, a ouvert une enquête contre lui.
- Algimantas Dailide, ex-officier de la police de Vilnius en Lituanie, a participé pendant la guerre à des rafles de Juifs qui ont ensuite été exécutés par des nazis et leurs collaborateurs lituaniens. Extradé par les Américains vers l'Allemagne en 2003, il a été reconnu coupable par un tribunal lituanien en 2006 mais sans avoir à purger sa peine.
- Harry Mannil, ancien officier de la police politique estonienne, a participé à des rafles de Juifs qui ont ensuite été tués par les nazis pendant l'occupation de l'Estonie. Une enquête estonienne contre lui a conclu en 2005 qu'il ne s'était pas rendu coupable de crimes contre l'Humanité, faute de preuves. Il vit au Venezuela.
Ils n'étaient pas essentiellement allemands, ces tortionaires, mais d'un peu toutes les origines de l'est.
Ce qui est étonnant, quand on connait le mépris que les nazis avaient pour les slaves.
c'etait des nazis:
Le nazi Aribert Heim, "Le boucher de Mauthausen", dont la mort en Egypte en 1992 a été annoncée hier, figure en tête de la liste des dix nazis les plus recherchés par le Centre Simon Wiesenthal de Jérusalem. Il en reste donc neuf encore en vie, ou supposés l'être.
Point barre.
Fonck1 a écrit :un de moins,dommage qu'il ait pas payé avant.
C'est pire que ça
Le Monde du 05.02.2009
Criminel nazi le plus recherché au monde, il faisait l'objet d'une traque planétaire depuis près d'un demi-siècle. Le "boucher de Mauthausen", Aribert Heim, est en réalité mort en 1992 en Egypte, selon des informations diffusées mercredi 4 février par la chaîne de télévision allemande ZDF. Il s'était réfugié au Caire au milieu des années 1970. ZDF, qui a mené son enquête avec le New York Times, révèle que le criminel nazi y résidait sous le nom de Tarek Farid Hussein et s'était converti à l'islam. Il a succombé à un cancer de l'intestin, à l'âge de 78 ans. Celui que l'on surnommait "Doktor Tod" ("docteur la mort") est accusé d'avoir torturé et tué des centaines de détenus, notamment au camp autrichien de Mauthausen, en leur injectant du poison dans le coeur ou en les éviscérant sans anesthésie. Arrêté en 1945 par les Américains et détenu pendant deux ans et demi, Aribert Heim fut relâché sans jugement en 1947. Visé par un mandat d'arrêt international, l'ancien membre de la SS s'était volatilisé en 1962. Depuis, sa trace avait été repérée en Espagne, en Egypte ou en Uruguay. A l'été 2008, le Centre Simon Wiesenthal avait émis l'hypothèse qu'il se cachait au Chili ou en Argentine.
Ce qui est hallucinant dans la prose de "Liberté le mal-nommé" c'est que ce qu'il reproche à ces médecins ce n'est pas d'avoir assassiné des gens en leur injectant du poison dans le cœur ou en les eviscérants vivants mais c'est que ces expériences n'aient servi à rien !!!!
Savez-vous que certaines expériences faites sur les déportés ont servi à quelque chose ? En particulier, les expériences sur la mort par hypothermie ont apporté des informations encore utilisées de nos jours.
Mais en quoi cela justifie-t-il moralement ces crimes ?
Quand à Gemmil qui essaye de justifier sa sympathies pour la barbarie nazie par la référence à des textes écrits par des gens ayant les mêmes opinions que lui, ses interventions en direct de la fosse d'aisance ne valent même pas qu'on les discute.
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
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Havre de paix sur le Nil pour les nazis en fuite
La révélation qu'Aribert Heim, le "médecin de la mort" de Mauthausen, a fini sa vie au Caire sans expier ses crimes témoigne que l'Egypte fut un havre de paix pour des nazis en fuite.
C'est dans un hôtel miteux, à l'orée du Caire islamique, que Heim, converti à l'islam, avait élu domicile sous le nom de Tarek Hussein Farid, y décédant d'un cancer, à 77 ans, en août 1992. Longtemps perdue, la piste du tortionnaire, devenu au fil des ans le criminel nazi le plus recherché au monde, a été retrouvée grâce à une enquête de la télévision allemande ZDF et du quotidien américain The New York Times.
"Une sorte de géant, peu causant, mais ne ratant pas une prière à la mosquée", a confié Gamal Abou Ahmad, qui occupe aujourd'hui son ancienne chambre de l'hôtel "Qasr el-Medina". Pour l'ambassadeur d'Allemagne au Caire, Bernd Erbel, "il était inconnu de nous, cela aurait été trop dangereux". "Je pense qu'il n'était plus citoyen allemand mais était devenu égyptien", a-t-il dit.
Dans l'atmosphère troublée de l'après-guerre, des nazis ont afflué par centaines sur les bords du Nil où ils bénéficiaient d'amitiés "hauts placées" dans l'entourage du roi Farouk, selon les historiens. Déjà, pendant la guerre, des réseaux pro-allemands s'étaient activés en Egypte, au sein desquels se serait retrouvé le futur président Anouar al-Sadate, contre la Grande-Bretagne, la puissance occupante. Figure du nationalisme palestinien, le mufti de Jérusalem Hajj Amin al-Husseini, qui avait prêté allégeance à Hitler en 1941 estimant que l'Islam et les nazis avaient pour ennemi commun les juifs, s'était réfugié au Caire après la guerre.
Aussi, l'organisation internationale "Odessa", montée pour exfiltrer les criminels nazis, a disposé de "taupes" sur le sol égyptien, comme en Syrie, en alternative aux filières d'Amérique Latine. Mais c'est au nom de la lutte contre Israël, qualifiée "d'entité sioniste", que Gamal Abdel Nasser, arrivé au pouvoir par un coup d'Etat militaire, va recycler des cohortes de nazis au service d'une virulente propagande anti-juive. Ainsi Johann Von Leers, un proche de l'idéologue nazi Goebbels s'installe en Egypte dans les années cinquante et se convertit à l'islam. Il devient le chef du département étranger du "service de propagande anti-sioniste".
Le ministère de l'Information, mais aussi de la Défense, sont alors truffés d'anciens SS ou SA, également convertis, comme Louis Heiden, Walter Bollmann, Wilhelm Bocker, note un historien allemand du nazisme, Kurt Tauber. Rencontré au Caire, où il était directeur financier, le fils d'un ancien nazi a confié sous un strict anonymat, comment sa famille avait gagné l'Egypte, après s'être d'abord enfuie en Suisse. "Mon père était un espion nazi dans les Balkans, agent de liaison auprès des nationalistes serbes. Nous sommes venus ici grâce à des relations à la cour de Farouk. Puis il a travaillé dans l'industrie militaire sous Nasser", a-t-il dit.
Combien sont ces nazis à avoir été accueillis sur les bords du Nil, et que sont-ils devenus ? Si les listes dressées par les "chasseurs de nazis" sont longues, les autorités égyptiennes restent toujours muettes. Une chose est sûre, elles n'ont rien fait pour interdire la littérature nazie. "Mein Kampf" d'Adolf Hitler ou le libelle antisémite les "Protocoles des sages de Sion" sont en vente sur les étals de livres dans les rues du Caire.
Tiens tiens ! Comme d'habitude tisi est là pour faire déraper tout sujet vers "les meuchants musulmans"...
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin