Bof, je ne m'en rapelle plus, mon cerveau à disjoncté depuisBarbapoutre a écrit :
Mais dis donc Dinosaure
Il l'a la solution Bister. Il n'y a plus qu'à lui demander son secret en MP.
Le père de Julien Coupat dénonce un procès politique
Re: Le père de Julien Coupat dénonce un procès politique
Re: Le père de Julien Coupat dénonce un procès politique
T'es dur. Moi qui avait prévu de faire de l'acro-branche ce we dans la gare à 5 minutes de chez moi...bister a écrit : Bof, je ne m'en rapelle plus, mon cerveau à disjoncté depuis![]()
j'ai du vouloir essayer :confus4 donc ça ne marche pas... oubliez ... tout
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Re: Le père de Julien Coupat dénonce un procès politique
C'est pas la bonne période en ce moment, fait pas beau, et ramasser les escargots? c'est pas mal non plus?
Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
Pourquoi les sabotages des lignes TGV avaient-ils une telle importance?
Pourquoi fallait-il un tel déploiement de force? De telles mesures d’exception?
Par Elisabeth Claverie et Luc Boltanski
Parce que cette affaire redonne vie à une figure criminelle que l’on croyait oubliée: le sacrilège. Pour les coauteurs d’Affaires, scandales
et grandes causes*, on retrouve à Tarnac les ingrédients d’un scandale judiciaire historique, celui du chevalier de la Barre, qui avait mobilisé Voltaire.
Dans la nuit du 8 au 9 août1765 des coups de couteau sont portés sur le crucifix du pont d’Abbeville. Le 10 au matin, averti par une rumeur, le procureur du roi se rend sur les lieux et dresse procès verbal. Une enquête est lancée, elle ne donne rien, personne n’a rien vu. Néanmoins les soupçons, toujours guidés par la rumeur, se portent sur un groupe de jeunes gens et particulièrement sur l’un d’entre eux, considéré comme leur chef, François-Jean Lefebvre Chevalier de La Barre, issu d’une bonne famille de la région et neveu de l’abbesse de Willancourt. Des délateurs se présentent affirmant qu’on l’a entendu chanter des chansons libertines et s’être vanté d’être passé devant une procession du Saint Sacrement sans se découvrir. Cinq jeunes gens sont interrogés. Trois parviennent à s’enfuir, mais deux sont arrêtés, Le Chevalier de la Barre et le sieur Moisnel, âgé de 15 ans. Les autorités de la ville font grand bruit autour de l’affaire et organisent, en grande pompe, une cérémonie dite de « l’amende honorable » avec évêque, corps constitués, tocsin, cierges, messe solennelle et procession suivie par une foule dévote. Une perquisition menée au domicile de La Barre amène à la découverte de
livres interdits dont le Dictionnaire philosophique de Voltaire.
L’affaire remonte jusqu’à la Cour et jusqu’au roi lui-même, bien décidé à faire un exemple, d’autant plus frappant que le principal prévenu est issu de la bonne société et qu’il est défendu par des philosophes des Lumières et par l’opinion éclairée, ce qui donne à l’affaire, locale à
l’origine, une dimension nationale. Accusé de sacrilège, le Chevalier est condamné à mort malgré l’absence de preuve. Il est torturé, a le
poing et la langue coupés, est décapité, puis est brûlé avec l’exemplaire du dictionnaire philosophique attaché à son corps. Il a 19 ans.
Cette affaire serait sans doute demeurée dans les archives judiciaires si Voltaire ne lui avait donné un grand retentissement en prenant
publiquement fait et cause pour La Barre et ses coaccusés. Il rédige la Relation sur la mort du chevalier de La Barre et le Cri d’un sang
innocent, pour lesquels il sera condamné, sans que la sentence puisse être exécutée du fait de sa présence en Suisse. C’est à cette occasion
que Voltaire met en place de nouvelles stratégies de défense qui prennent appui sur l’opinion publique et sur les pouvoirs de la raison
éclairée contre le pouvoir de la raison d’Etat. Ces moyens de défense de la liberté seront promis à une longue postérité, notamment, à la fin du XIXe siècle, lors de l’affaire Dreyfus. Ils ont constitué l’un des instruments principaux de la formation de ce que l’on appelle, depuis le grand livre de Jurgen Habermas, l’espace public et, avec lui, de la démocratie.
Et pourtant, deux siècles et demi plus tard, dans notre démocratie française, des événements similaires par leur forme, sinon ? au moins
peut-on l’espérer ? par leurs conséquences, se renouvellent. Le Pouvoir d’Etat, qui ne se réclame plus du droit divin, est privé de la ressource du sacrilège religieux, qui ne fait plus peur à personne. Mais cela ne l’empêche pas de mettre en scène sa puissance et de chercher à susciter une indignation unanime, en invoquant ce que l’on pourrait appeler un sacrilège laïque : la dégradation, temporaire et sans conséquence sur le plan humain, de machines qui ? comme chacun sait ?, font « l’honneur de la France » et qui sont investies par là d’une haute valeur symbolique : les TGV. Suivent d’autres éléments, dont la similitude avec ceux de l’affaire du chevalier de La Barre sont frappantes. Des jeunes gens, dont le principal forfait est leur volonté de vivre autrement et qui, circonstance aggravante, sont des intellectuels ayant renoncé à leurs privilèges pour partager, dans un village, la condition précaire qui est aujourd’hui celle de millions de personnes, sont hâtivement incriminés et embastillés sans preuves, mais à grand bruit. Comme dans l’affaire du chevalier de La Barre, tout ce qui tient lieu de preuve se résume à la possession d’un livre considéré comme subversif. Non plus, cette fois, le Dictionnaire philosophique, pieusement commenté de nos jours dans les écoles de la République, mais L’insurrection qui vient. Il faut noter
pourtant une différence. Tandis que le chevalier et ses compagnons sont accusés d’actes qu’ils sont supposés avoir commis, nos amis de Tarnac sont accusés d’actes qu’ils pourraient commettre, mais dans un avenir indéfini. L’univers totalitaire anticipé par Steven Spielberg dans Minority report, se met ainsi en place, à nos portes, sous nos yeux. Il fait pâlir d’envie les instruments, qui paraissent aujourd’hui bien rudimentaires, dont pouvait user le pouvoir absolutiste de l’Ancien Régime.
Le chevalier de La Barre est devenu une icône de la libre pensée. Des associations, des commémorations, des livres innombrables célèbrent sa mémoire. Son martyr annonce avec éclat l’explosion de la Révolution qui vient, celle de 1789. Les pouvoirs qui se réclament aujourd’hui de cette révolution seraient avisés de renoncer à la stratégie à courte vue consistant à chercher à éloigner l’Insurrection qui vient en faisant de nouveaux martyrs. Même ceux qui ne connaissent d’autre raisons que la raison d’Etat, doivent savoir aussi, parfois, faire marche arrière. Ne serait-ce que pour échapper au ridicule.
Il faut libérer immédiatement Julien et Yildune.
* Elisabeth Claverie est directrice de recherche au CNRS. Luc Boltanski est directeur d’études à l’EHESS. Ils ont publié en 2007 (avec Nicolas Offenstadt et Stephane Van Damme) un ouvrage collectif consacré à l’histoire de la forme affaire : Affaires, scandales et grandes causes (Paris, Stock).
Pourquoi fallait-il un tel déploiement de force? De telles mesures d’exception?
Par Elisabeth Claverie et Luc Boltanski
Parce que cette affaire redonne vie à une figure criminelle que l’on croyait oubliée: le sacrilège. Pour les coauteurs d’Affaires, scandales
et grandes causes*, on retrouve à Tarnac les ingrédients d’un scandale judiciaire historique, celui du chevalier de la Barre, qui avait mobilisé Voltaire.
Dans la nuit du 8 au 9 août1765 des coups de couteau sont portés sur le crucifix du pont d’Abbeville. Le 10 au matin, averti par une rumeur, le procureur du roi se rend sur les lieux et dresse procès verbal. Une enquête est lancée, elle ne donne rien, personne n’a rien vu. Néanmoins les soupçons, toujours guidés par la rumeur, se portent sur un groupe de jeunes gens et particulièrement sur l’un d’entre eux, considéré comme leur chef, François-Jean Lefebvre Chevalier de La Barre, issu d’une bonne famille de la région et neveu de l’abbesse de Willancourt. Des délateurs se présentent affirmant qu’on l’a entendu chanter des chansons libertines et s’être vanté d’être passé devant une procession du Saint Sacrement sans se découvrir. Cinq jeunes gens sont interrogés. Trois parviennent à s’enfuir, mais deux sont arrêtés, Le Chevalier de la Barre et le sieur Moisnel, âgé de 15 ans. Les autorités de la ville font grand bruit autour de l’affaire et organisent, en grande pompe, une cérémonie dite de « l’amende honorable » avec évêque, corps constitués, tocsin, cierges, messe solennelle et procession suivie par une foule dévote. Une perquisition menée au domicile de La Barre amène à la découverte de
livres interdits dont le Dictionnaire philosophique de Voltaire.
L’affaire remonte jusqu’à la Cour et jusqu’au roi lui-même, bien décidé à faire un exemple, d’autant plus frappant que le principal prévenu est issu de la bonne société et qu’il est défendu par des philosophes des Lumières et par l’opinion éclairée, ce qui donne à l’affaire, locale à
l’origine, une dimension nationale. Accusé de sacrilège, le Chevalier est condamné à mort malgré l’absence de preuve. Il est torturé, a le
poing et la langue coupés, est décapité, puis est brûlé avec l’exemplaire du dictionnaire philosophique attaché à son corps. Il a 19 ans.
Cette affaire serait sans doute demeurée dans les archives judiciaires si Voltaire ne lui avait donné un grand retentissement en prenant
publiquement fait et cause pour La Barre et ses coaccusés. Il rédige la Relation sur la mort du chevalier de La Barre et le Cri d’un sang
innocent, pour lesquels il sera condamné, sans que la sentence puisse être exécutée du fait de sa présence en Suisse. C’est à cette occasion
que Voltaire met en place de nouvelles stratégies de défense qui prennent appui sur l’opinion publique et sur les pouvoirs de la raison
éclairée contre le pouvoir de la raison d’Etat. Ces moyens de défense de la liberté seront promis à une longue postérité, notamment, à la fin du XIXe siècle, lors de l’affaire Dreyfus. Ils ont constitué l’un des instruments principaux de la formation de ce que l’on appelle, depuis le grand livre de Jurgen Habermas, l’espace public et, avec lui, de la démocratie.
Et pourtant, deux siècles et demi plus tard, dans notre démocratie française, des événements similaires par leur forme, sinon ? au moins
peut-on l’espérer ? par leurs conséquences, se renouvellent. Le Pouvoir d’Etat, qui ne se réclame plus du droit divin, est privé de la ressource du sacrilège religieux, qui ne fait plus peur à personne. Mais cela ne l’empêche pas de mettre en scène sa puissance et de chercher à susciter une indignation unanime, en invoquant ce que l’on pourrait appeler un sacrilège laïque : la dégradation, temporaire et sans conséquence sur le plan humain, de machines qui ? comme chacun sait ?, font « l’honneur de la France » et qui sont investies par là d’une haute valeur symbolique : les TGV. Suivent d’autres éléments, dont la similitude avec ceux de l’affaire du chevalier de La Barre sont frappantes. Des jeunes gens, dont le principal forfait est leur volonté de vivre autrement et qui, circonstance aggravante, sont des intellectuels ayant renoncé à leurs privilèges pour partager, dans un village, la condition précaire qui est aujourd’hui celle de millions de personnes, sont hâtivement incriminés et embastillés sans preuves, mais à grand bruit. Comme dans l’affaire du chevalier de La Barre, tout ce qui tient lieu de preuve se résume à la possession d’un livre considéré comme subversif. Non plus, cette fois, le Dictionnaire philosophique, pieusement commenté de nos jours dans les écoles de la République, mais L’insurrection qui vient. Il faut noter
pourtant une différence. Tandis que le chevalier et ses compagnons sont accusés d’actes qu’ils sont supposés avoir commis, nos amis de Tarnac sont accusés d’actes qu’ils pourraient commettre, mais dans un avenir indéfini. L’univers totalitaire anticipé par Steven Spielberg dans Minority report, se met ainsi en place, à nos portes, sous nos yeux. Il fait pâlir d’envie les instruments, qui paraissent aujourd’hui bien rudimentaires, dont pouvait user le pouvoir absolutiste de l’Ancien Régime.
Le chevalier de La Barre est devenu une icône de la libre pensée. Des associations, des commémorations, des livres innombrables célèbrent sa mémoire. Son martyr annonce avec éclat l’explosion de la Révolution qui vient, celle de 1789. Les pouvoirs qui se réclament aujourd’hui de cette révolution seraient avisés de renoncer à la stratégie à courte vue consistant à chercher à éloigner l’Insurrection qui vient en faisant de nouveaux martyrs. Même ceux qui ne connaissent d’autre raisons que la raison d’Etat, doivent savoir aussi, parfois, faire marche arrière. Ne serait-ce que pour échapper au ridicule.
Il faut libérer immédiatement Julien et Yildune.
* Elisabeth Claverie est directrice de recherche au CNRS. Luc Boltanski est directeur d’études à l’EHESS. Ils ont publié en 2007 (avec Nicolas Offenstadt et Stephane Van Damme) un ouvrage collectif consacré à l’histoire de la forme affaire : Affaires, scandales et grandes causes (Paris, Stock).
Si tout le monde se donnait la main, personne ne pourrait prendre son pieds.
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
le pauvre,tous innocents en prison!

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- Localisation : Sur le TER TER !
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
Sa pu la magouille et la manipulation politique au moment ou les gens on tendance a ce tourné vers l'éxtreme gauche
cette histoire et bizarement tres bien vennu.....
frenchement sa pu la magouille politique!

cette histoire et bizarement tres bien vennu.....
frenchement sa pu la magouille politique!

c'est l'histoire d'un homme qui tombe d'une tour pendant sa chute,
le mek se dit, jusqu'ici tous va bien, jusqu'ici tous va bien,jusqu'ici tous va bien....
Mais l'important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage.....
le mek se dit, jusqu'ici tous va bien, jusqu'ici tous va bien,jusqu'ici tous va bien....
Mais l'important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage.....
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
Je salue ce magnifique post (zavez penser à l''diter sur AgoraVox, ça mérite )
Bref des références à Voltaire nous changent agréablement des piteux arguments sur deux lignes habituels .....
Bref des références à Voltaire nous changent agréablement des piteux arguments sur deux lignes habituels .....
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
Rappel des FAITS : des actes de malveillance on été commis, un dossier judiciaire est en cours, PERSONNE en dehors des juges et de leurs subordonnés n'a connaissance de son contenu (ce serait illégal), donc ne sachant pas ce que le dossier contient, personne n'est en mesure de dire s'il est normal ou non que J. Coupat soit en détention.
Dire aujourd'hui qu'il est anormal qu'il soit détenu est aussi absurde que de déclarer qu'il est coupable.
La justice travaille, attendez la fin du dossier avant de taper sur qui que ce soit, bon sang.
Ou alors, vous préférez une société sans prisons, sans juges, sans tribunaux, sans lois, quoi. OK, mais allez faire ça ailleurs.
Dire aujourd'hui qu'il est anormal qu'il soit détenu est aussi absurde que de déclarer qu'il est coupable.
La justice travaille, attendez la fin du dossier avant de taper sur qui que ce soit, bon sang.
Ou alors, vous préférez une société sans prisons, sans juges, sans tribunaux, sans lois, quoi. OK, mais allez faire ça ailleurs.
« Qu'on soit de droite ou qu'on soit de gauche, on est toujours hémiplégique. »
Raymond Aron
Raymond Aron
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
C'est vrai qu'une détention aussi longue est inquiétante. La France sera une fois de plus condamnée.
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
ou pas,il y a peut etre des raisons que tu ignores,toi qui dit tout le temps "t'en sais rien,t'es pas aux fraises"dinosaure a écrit :C'est vrai qu'une détention aussi longue est inquiétante. La France sera une fois de plus condamnée.
alors je te le dis : "t'en sais rien" !!
- paris16
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Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
le hasard fait-il bien les choses.....ce Monsieur en prison, les sabotages se sont arrétés, donc je m'interroge !
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
Encore un fils à papa qui veut changer le monde...
Il est bien là où il est.
Il est bien là où il est.
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
- BASTOS95
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- Localisation : Sur le TER TER !
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
Nan le probleme c'est que dans ce pays on préfère enfermé quelqun quand on a pas de preuve....
vous vous rendez pas compte ce que quelques mois de prison peuvent faire dans la tete de quelqun...
jconais un gars les flic son venu le cherché dans son lit a 6h du matt un jours ....
il est résté 6 mois en prison puis il l'on relaché car il etais innocent ...
il l'on pris pour un assassin a tort ce meme gars a sa sortit a du déménagé de région parce que les gens de la ville
le soupsonnais et parlais
imaginé vous enfermé entre 4 murs alors que vous savez pertinament que vous aitent innocent!
julien coupat peut etre coupable comme il peut etre innocent meme si vu la tournure de l'affaire sa ressemble plus a de la magouille qu'autre chose...
en attendant on a aucune preuve donc on n'enferme pas des gens avec la présenption d'inocence entre 4 murs quand on est pas sur a la limite on le garde sous controle judicaire pendant le temps de l'enquette....
vous vous rendez pas compte ce que quelques mois de prison peuvent faire dans la tete de quelqun...
jconais un gars les flic son venu le cherché dans son lit a 6h du matt un jours ....
il est résté 6 mois en prison puis il l'on relaché car il etais innocent ...
il l'on pris pour un assassin a tort ce meme gars a sa sortit a du déménagé de région parce que les gens de la ville
le soupsonnais et parlais
imaginé vous enfermé entre 4 murs alors que vous savez pertinament que vous aitent innocent!
julien coupat peut etre coupable comme il peut etre innocent meme si vu la tournure de l'affaire sa ressemble plus a de la magouille qu'autre chose...
en attendant on a aucune preuve donc on n'enferme pas des gens avec la présenption d'inocence entre 4 murs quand on est pas sur a la limite on le garde sous controle judicaire pendant le temps de l'enquette....
c'est l'histoire d'un homme qui tombe d'une tour pendant sa chute,
le mek se dit, jusqu'ici tous va bien, jusqu'ici tous va bien,jusqu'ici tous va bien....
Mais l'important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage.....
le mek se dit, jusqu'ici tous va bien, jusqu'ici tous va bien,jusqu'ici tous va bien....
Mais l'important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage.....
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
Mais bien sûr... :roll: :roll: :roll:paris16 a écrit :le hasard fait-il bien les choses.....ce Monsieur en prison, les sabotages se sont arrétés, donc je m'interroge !
http://www.interaldys.com/v3/viewtopic. ... at#p243176
Et encore eut-il fallu qu'il y ait eu sabotage.
"L'intransigeance est la vertu des temps difficiles." - Ch. de Gaulle
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
"Ceux qui peuvent renoncer à une liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni la liberté ni la sécurité." - Benjamin Franklin
Re: Julien, Enfermé depuis le 11 Novembre !
ca,t'en sais rien!! 




