:roll:......Karima, elle, a grandi aux Courtilles, une cité de Saint-Denis. Après une adolescence banale, jean moulant, boucles d'oreille et flirts, elle rate son BEP, commence des ménages, sent sa vie faner dans la cité, l'horizon se rétrécir. Amoureuse d'un voisin retourné vers l'islam, elle accepte de le suivre dans son fondamentalisme. Du foulard à la tenue intégrale, en quelques années. À cette époque, elle ne sort plus qu'avec lui, uniquement pour promener les enfants. Qui ne fréquentent pas l'école maternelle publique, jugée koufar (mécréante), mais une crèche salafiste semi-clandestine. À la maison, les poupées des petits ont le visage brûlé, car on ne doit rien représenter… Deux ans plus tard, partie vivre en Algérie, Karima ne cache pas sa souffrance car son mari va prendre une deuxième épouse.........
Burqa, niqab......fallait-il légiférer ? part 2
- tisiphoné
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
- Fonck1
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
vouys me faites marrer,quelle démagogie....vous lisez vos articles?
Les religieux essaient d'éteindre le feu. «D'habitude, on en voit une trentaine», raconte Corinne, qui vend des légumes. Au total, dans cette banlieue de 60 000 habitants mitoyenne de Lyon, elles seraient «plus d'une centaine», selon le maire communiste André Gérin. Une des concentrations les plus importantes de France.
statistiquement parlant,c'est quoi 30 burqas ou hidjab sur un marché d'une ville de 60000 habitants? :roll: faut arrêter les conneries la.....elles seraient 100....
même au pire,ca ferait que 0.16% de la population de vénissieux.....

Les religieux essaient d'éteindre le feu. «D'habitude, on en voit une trentaine», raconte Corinne, qui vend des légumes. Au total, dans cette banlieue de 60 000 habitants mitoyenne de Lyon, elles seraient «plus d'une centaine», selon le maire communiste André Gérin. Une des concentrations les plus importantes de France.
statistiquement parlant,c'est quoi 30 burqas ou hidjab sur un marché d'une ville de 60000 habitants? :roll: faut arrêter les conneries la.....elles seraient 100....

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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
elle a qu'a divorcer et se barrer! quand on a des couilles,on va jusqu'au bout!on est dans un pays libre!trinity a écrit : :roll:
je rajouterais que l'état pèche en la matière.quand ils développeront une vraie politique d'aide aux femme battues,les voiles tomberont,et les coups aussi....
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
Fonck1 a écrit : elle a qu'a divorcer et se barrer! quand on a des couilles,on va jusqu'au bout!on est dans un pays libre!
je rajouterais que l'état pèche en la matière.quand ils développeront une vraie politique d'aide aux femme battues,les voiles tomberont,et les coups aussi....
ah! tu es trop naïf, les femmes sont dans l'emprise islamiste et pour s'en dégager c'est pas facile et puis elle n'a pas de couilles toi oui peut-être....!


- MICHEL31
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
La burqa n'est pas une exigence coranique, par Jean-François Copé.
Le port de la burqa ouvre un nouveau rapport de forces avec des extrémistes qui veulent tester la République, en instrumentalisant la religion. Ce n'est pas un problème de laïcité ou de liberté religieuse. C'est un problème politique. D'ailleurs, les premières victimes de cette instrumentalisation par les extrémistes sont nos concitoyens de confession musulmane qui sont nombreux à se plaindre de cette manipulation.
Pour se convaincre de la nature politique du problème, il suffit de voir l'instrumentalisation de ce débat par des Islamistes radicaux qui profèrent des menaces contre la France à cause du discours du Président de la République à Versailles, dans lequel il disait «La burqa n'est pas la bienvenue en France.»
La manipulation est d'autant plus grossière quand on sait qu'il y a de nombreux pays musulmans, notamment au Maghreb, où le port de la burqa est malvenu. D'ailleurs, et même si cela importe peu du point de vue du législateur qui n'a pas à se fonder sur des références religieuses pour justifier les normes de la République, le port de la burqa n'est pas une exigence coranique.
C'est en tout cas ce qu'explique un grand nombre de responsables musulmans, pour qui «le port de la burqa n'est pas une prescription coranique, mais une coutume imposée arbitrairement par une tendance islamiste extrême». Le refus de la burqa n'est en rien le rejet de l'Islam. La vérité est que le port de la burqa dans l'espace public est une pratique profondément choquante et inacceptable. Elle est blessante pour la dignité de la femme. Même si ce phénomène est ultra-minoritaire, on ne peut pas faire comme s'il n'existait pas.
A nous, responsables politiques, de trouver, au nom de la République, la manière intelligente, moderne et courageuse de répondre à ce problème. Voilà pourquoi, plutôt que de légiférer dans la précipitation sous la pression médiatique, nous avons fait le choix d'une mission d'information à l'Assemblée nationale.
Soyons clairs, cette pratique pose problème: avoir le visage découvert dans l'espace public, c'est une question de sécurité! Hors circonstances climatiques ou manifestations exceptionnelles — type carnaval —, il est normal que l'on ne soit pas masqué dans la rue. Alors qu'on développe des systèmes de vidéosurveillance, qu'on interdit le port de cagoules dans les manifestations, il serait étonnant qu'une partie de la population ne soit jamais reconnaissable. Prenons l'exemple des sorties d'école. Un responsable éducatif peut-il confier un élève dont il a la charge à une personne qu'il ne reconnaît pas?
Ce qui est en jeu, c'est la question de la place des femmes dans notre société.
Ce «vivre ensemble» des hommes et des femmes est un héritage de l'histoire, un trait de notre identité. Il ne s'agit pas de s'en enorgueillir. Il ne s'agit pas de donner des leçons de morale aux autres. Mais nous sommes légitimes à le promouvoir et à le défendre quand d'autres conceptions prônent la séparation des sexes. Ma conviction est inébranlable: la France doit rester un pays où les femmes et les hommes sont égaux et peuvent vivre ensemble dans l'espace public. Dans le respect. Sans murs de tissus ou de briques. Sans frontières dans les rues ou dans les têtes! D'ailleurs, le combat pour l'égalité reste toujours d'actualité...
Quelles réponses apporter concrètement? Pour lancer la réflexion, je propose une piste que je soumets au débat. Il s'agirait d'une réponse en deux temps: une loi d'interdiction précédée d'une phase de dialogue, d'explication, d'avertissement.
Est-ce qu'il suffit de voter une loi qui interdit de masquer le visage dans l'espace public pour régler tous les problèmes? Je ne le crois pas. Une norme qui ne serait pas comprise et qui serait perçue comme une brimade n'est pas suffisante. Oui, il faut de la fermeté. Mais il faut aussi aller à la rencontre des femmes qui portent la burqa et de leurs maris. scepticisme à ces propositions.
Je ne suis pas naïf. Ce n'est pas une solution miracle. Mais cette démarche de dialogue peut avoir un intérêt auprès de certaines femmes qui ont soif d'intégration. L'unité nationale, l'identité, ce n'est pas qu'une incantation.
Au-delà de la question de la burqa, pratique ultra minoritaire, ce débat nous invite à réfléchir à une question fondamentale pour notre Nation, une question qui concerne chaque Français, quelles que soit son origine et ses convictions: qu'est-ce qui nous rassemble, entre Français, outre le fait d'habiter sur un même territoire?
A travers ce débat, l'enjeu essentiel est celui de l'identité. Celui de l'unité dans la diversité. la solidarité nationale. Contrairement peut-être à d'autres démocraties libérales, le projet français, ce n'est pas que la liberté, par exemple, celle de s'habiller comme on l'entend. C'est aussi l'égalité et la fraternité! Or il n'y a pas d'égalité quand un homme impose à une femme de vivre recluse et coupée de toute vie sociale. Il n'y a pas de fraternité possible quand certains revendiquent ostensiblement dans la rue leur rejet du moindre contact avec leur semblable.
Est-ce que nous accordons encore un sens à ces valeurs ou doivent-elles rester gravées sur les frontons de nos édifices publics comme de simples vestiges du passé? Cela vaut la peine d'un débat de fond. Avec tous les Français!
Le port de la burqa ouvre un nouveau rapport de forces avec des extrémistes qui veulent tester la République, en instrumentalisant la religion. Ce n'est pas un problème de laïcité ou de liberté religieuse. C'est un problème politique. D'ailleurs, les premières victimes de cette instrumentalisation par les extrémistes sont nos concitoyens de confession musulmane qui sont nombreux à se plaindre de cette manipulation.
Pour se convaincre de la nature politique du problème, il suffit de voir l'instrumentalisation de ce débat par des Islamistes radicaux qui profèrent des menaces contre la France à cause du discours du Président de la République à Versailles, dans lequel il disait «La burqa n'est pas la bienvenue en France.»
La manipulation est d'autant plus grossière quand on sait qu'il y a de nombreux pays musulmans, notamment au Maghreb, où le port de la burqa est malvenu. D'ailleurs, et même si cela importe peu du point de vue du législateur qui n'a pas à se fonder sur des références religieuses pour justifier les normes de la République, le port de la burqa n'est pas une exigence coranique.
C'est en tout cas ce qu'explique un grand nombre de responsables musulmans, pour qui «le port de la burqa n'est pas une prescription coranique, mais une coutume imposée arbitrairement par une tendance islamiste extrême». Le refus de la burqa n'est en rien le rejet de l'Islam. La vérité est que le port de la burqa dans l'espace public est une pratique profondément choquante et inacceptable. Elle est blessante pour la dignité de la femme. Même si ce phénomène est ultra-minoritaire, on ne peut pas faire comme s'il n'existait pas.
A nous, responsables politiques, de trouver, au nom de la République, la manière intelligente, moderne et courageuse de répondre à ce problème. Voilà pourquoi, plutôt que de légiférer dans la précipitation sous la pression médiatique, nous avons fait le choix d'une mission d'information à l'Assemblée nationale.
Soyons clairs, cette pratique pose problème: avoir le visage découvert dans l'espace public, c'est une question de sécurité! Hors circonstances climatiques ou manifestations exceptionnelles — type carnaval —, il est normal que l'on ne soit pas masqué dans la rue. Alors qu'on développe des systèmes de vidéosurveillance, qu'on interdit le port de cagoules dans les manifestations, il serait étonnant qu'une partie de la population ne soit jamais reconnaissable. Prenons l'exemple des sorties d'école. Un responsable éducatif peut-il confier un élève dont il a la charge à une personne qu'il ne reconnaît pas?
Ce qui est en jeu, c'est la question de la place des femmes dans notre société.
Ce «vivre ensemble» des hommes et des femmes est un héritage de l'histoire, un trait de notre identité. Il ne s'agit pas de s'en enorgueillir. Il ne s'agit pas de donner des leçons de morale aux autres. Mais nous sommes légitimes à le promouvoir et à le défendre quand d'autres conceptions prônent la séparation des sexes. Ma conviction est inébranlable: la France doit rester un pays où les femmes et les hommes sont égaux et peuvent vivre ensemble dans l'espace public. Dans le respect. Sans murs de tissus ou de briques. Sans frontières dans les rues ou dans les têtes! D'ailleurs, le combat pour l'égalité reste toujours d'actualité...
Quelles réponses apporter concrètement? Pour lancer la réflexion, je propose une piste que je soumets au débat. Il s'agirait d'une réponse en deux temps: une loi d'interdiction précédée d'une phase de dialogue, d'explication, d'avertissement.
Est-ce qu'il suffit de voter une loi qui interdit de masquer le visage dans l'espace public pour régler tous les problèmes? Je ne le crois pas. Une norme qui ne serait pas comprise et qui serait perçue comme une brimade n'est pas suffisante. Oui, il faut de la fermeté. Mais il faut aussi aller à la rencontre des femmes qui portent la burqa et de leurs maris. scepticisme à ces propositions.
Je ne suis pas naïf. Ce n'est pas une solution miracle. Mais cette démarche de dialogue peut avoir un intérêt auprès de certaines femmes qui ont soif d'intégration. L'unité nationale, l'identité, ce n'est pas qu'une incantation.
Au-delà de la question de la burqa, pratique ultra minoritaire, ce débat nous invite à réfléchir à une question fondamentale pour notre Nation, une question qui concerne chaque Français, quelles que soit son origine et ses convictions: qu'est-ce qui nous rassemble, entre Français, outre le fait d'habiter sur un même territoire?
A travers ce débat, l'enjeu essentiel est celui de l'identité. Celui de l'unité dans la diversité. la solidarité nationale. Contrairement peut-être à d'autres démocraties libérales, le projet français, ce n'est pas que la liberté, par exemple, celle de s'habiller comme on l'entend. C'est aussi l'égalité et la fraternité! Or il n'y a pas d'égalité quand un homme impose à une femme de vivre recluse et coupée de toute vie sociale. Il n'y a pas de fraternité possible quand certains revendiquent ostensiblement dans la rue leur rejet du moindre contact avec leur semblable.
Est-ce que nous accordons encore un sens à ces valeurs ou doivent-elles rester gravées sur les frontons de nos édifices publics comme de simples vestiges du passé? Cela vaut la peine d'un débat de fond. Avec tous les Français!
Il est mieux de savoir que de croire
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
elles ont cas en sortir et choisir! il y a des lois dans ce pays!véra a écrit : ah! tu es trop naïf, les femmes sont dans l'emprise islamiste et pour s'en dégager c'est pas facile et puis elle n'a pas de couilles toi oui peut-être....!![]()
je rajouterais que l'état abandonne tout cela,probablement en vue de faire monter la nationalisme,élément électoral évident.
cet article est intéressant quand même,on y trouve:
on y voit donc un manque de respect de la loi de cette mairie communiste, qui n'impose pas les règles de la république aux citoyens,d'ou qu'ils viennent.Dans la rue, les femmes portant le niqab - voile noir intégral - circulent presque sans choquer. Beaucoup les connaissent. Elles ont grandi dans le quartier. Elles ne se heurtent aux règles de la République qu'aux guichets de la mairie. «Les incidents sont quotidiens», se lamente Hélène Mexis. Responsable de toutes les formalités administratives à Vénissieux, elle est en première ligne. Pour le renouvellement de la carte d'identité ou du passeport, la photo tête nue entraîne de violentes protestations : «Ils nous accusent de racisme, nous menacent de représailles.» Certaines femmes refusent finalement de se découvrir. Elles restent sans pièce d'identité. Mais c'est à l'occasion du dépôt des dossiers de mariage que les agents sont confrontés «à des hommes qui, bien souvent, monopolisent la parole et refusent que leur future compagne ne se découvre». Or les textes sont clairs : les fonctionnaires doivent vérifier l'identité des futurs conjoints et mener l'entretien à visage découvert pour mieux cerner si l'union n'est ni contrainte ni feinte.
il y a aussi:
Même si ces salafistes ne sont pas djihadistes, ils haïssent l'Occident, ils crachent sur les koufars, les infidèles, mais profitent de tous les avantages sociaux de la France. Sans s'installer sur une terre musulmane comme le veut pourtant leur doctrine. Leur duplicité nuit aux Français de confession musulmane.» Une position que partage Mustapha Ghouila, président de l'Association nationale des élus de banlieue, qui a grandi à Vénissieux : «On ne peut pas tourner le dos à la France, à ses traditions, en provoquant ainsi en burqa.»
Parmi la jeunesse, toutefois, subsiste une relative indifférence devant ces voiles qui ont recouvert tant de têtes. Un «chacun fait ce qui lui plaît», version islamique, que résume Nizar : «Si la femme veut burquer, elle burque. Si elle ne veut pas, elle ne burque pas !» Des mots et un ton légers en décalage avec l'inquiétude grandissante que manifestent des élus devant un phénomène difficile à maîtriser.
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
on ne eut pas faire le bonheur des gens malgré eux .véra a écrit :
ah! tu es trop naïf, les femmes sont dans l'emprise islamiste et pour s'en dégager c'est pas facile et puis elle n'a pas de couilles toi oui peut-être....!![]()
si elle c est laissez entrainer dans cette dérive c est pas choix , a tout moment elle pouvait arrêtez . en France la loi ne donne pas de droit au mari de coercition au mari , donc elle la juste laissez faire .
- cyrus
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
Il y a des lois en France dont elles peuvent aisément se servir pour "s'en dégager" et les couilles ne sont pas un "facteur" de liberté. De plus, rien n'indique que toutes sont sous une quelconque emprise :roll:véra a écrit :
ah! tu es trop naïf, les femmes sont dans l'emprise islamiste et pour s'en dégager c'est pas facile et puis elle n'a pas de couilles toi oui peut-être....!![]()
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
cyrus a écrit : Il y a des lois en France dont elles peuvent aisément se servir pour "s'en dégager" et les couilles ne sont pas un "facteur" de liberté. De plus, rien n'indique que toutes sont sous une quelconque emprise :roll:
Mais si elles sont sous l'emprise, les intégristes ont lavé leurs cerveaux et quand rananen dit que c'est leur choix, là je me marre, c'est surtout le choix des fondamentalistes islamiques.....!


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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
et considère tu que les sœur catholique qui s enferme dans un monastère ne sont pas libre de leur choix et sont sous l influence est fondamentaliste catholique ?véra a écrit :
Mais si elles sont sous l'emprise, les intégristes ont lavé leurs cerveaux et quand rananen dit que c'est leur choix, là je me marre, c'est surtout le choix des fondamentalistes islamiques.....!![]()
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
Personne ne les force a le devenir.certaines femmes voilées si,l'article le décrit très bien,elle n'ont même plus le droit par leur mari de faire des photos d'identités....Rananen a écrit :
et considère tu que les sœur catholique qui s enferme dans un monastère ne sont pas libre de leur choix et sont sous l influence est fondamentaliste catholique ?

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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
Allez un truc marrant, on ne pourra jamais chanter : Frou-frou, frou-frou, par son jupon la femme, frou-frou, frou-frou de l'homme trouble l'âme....etc.... Ben on ne le voit pas le jupon....




- cyrus
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
ben là je veux des preuves, car il suffit de lire n'importe quel torchon pour se rendre compte que bon nombre de celles qui portent le voile et le reste le font par CHOIX effectivement...véra a écrit :
Mais si elles sont sous l'emprise, les intégristes ont lavé leurs cerveaux et quand rananen dit que c'est leur choix, là je me marre, c'est surtout le choix des fondamentalistes islamiques.....!![]()
Je suis contre le port, mais avec du recul votre discours est semblable a celui d'une femme portant le voile, mais avec un endoctrinement différent :roll:
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
son discours me fait penser aux ceux de certaines féministes qui à force d'obscurantisme desservent la cause des femmes
- Fonck1
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Re: Des députés relancent le débat sur la "burqa"
il y a quand même cette histoire de ces salafistes qui dénoncent et haïssent tout ce qui est occidental,mais en use et profitent.doit t-on garder ces gens sur le territoire?
cela ne sont pas des angéliques,leur but est clair.
attention,ils sont très minoritaires...
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