Ah non,oh,c'est pas les Feux de l'amour dans la cité et pour moi,je l'ai déjà dit,l'amour n'existe pas entre les humains,tout ca n'est qu'affabulation.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
la mer
Ho!la mer
Qui,chante au rytme de ces mouvement
pour t'entendre dans le silence de la nuit
J'ai ouvert toute grande ma fenetre.
ton mouvement calme et serein
m'a envahie d'un plaisir si doux
que je me suis endormie au son de tes vagues
témoin de ta présence!
je reviendrais!
oui je reviendrais!
te voir ho! toi la mer.
Ma lyre délaissée s'est plainte
A une lune nostalgique
Que les cordes oisives de l'aube
Je vois la tristesse émerger
S'emparer des yeux du firmament
Chaque étoile pleure sa solitude éternelle
Et la nuit voyage dans la nuit
Et la nuit sombre dans la nuit
Ma nuit raccourcie vit dans son écrin
Et je n'entends que des sanglots
Qu'attisent les cendres des feux intérieurs
Traverser le toit fébrile de ma demeure
Ô Âme errante redescend sur terre...
Reviens habiter le reste de mon corps... !
Et ma rive lointaine s'oublie
A la lente cadence des jours disparus
Et les rameurs silencieux
Avancent dans le lac de mes yeux
Les avirons frôlent l'onde endormie
Et emportent très loin tous les échos...
Tu vois, j'abandonne mon vieux promontoire
Ecrase une fois de plus ma longue fierté
Nulle force ne peut me retenir à cette hauteur
Et je retourne à notre ancien rivage
Où j'ai quitté une plume rebelle
Une petite sirène sillonne l'univers des océans
Et ne donne plus signe de vie...
Dans ma solitude retrouvée
Nulle femme ne peut prétendre
Me rendre de nouveau heureux...
Et j'essaie au passage d'une étoile filante
De revivre mes derniers revirements
Ta légère main tisse encore des rêves
Où tes mots ne font qu'épouser mes mots
Et bras dessus, bras dessous
Nous survolons nos deux frontières
Les ailes déployées dans l'espace de nos écrits
Pour revivre dans l'intimité de nos... appels
photo gréve pour salaire
désinvolture...,
effusion de couple pour les royals en marne,
...paris
proméne à les rayons de pêcher,...
n'aucun s'arme encore,
tournant à maison londre,
les géographies
de chacun,
clan de manchester pour le non anniversaire,
230 degré... passeport en priére...
dans l'approche tourne de mode
un seule
adjectif démonstratif,
désinvolture...;
arrivant les ¨enfants de gordini¨,
je ve dois reporter(ve),
en agfa
style par amour,
les hommes qui pratiquent la parole timide en boulevard,
sont
les meilleures...
une grille informatique
qui s'installe par résultat
d'evenements à partir d'une chifre
au centre de needle,
hypnose sur cad à relevé
infrarouge pour
la construction
de play cam,
cuisson sur laquelle
faire l'amour
en lis;
¨anarchies¨ bimodal
du systeme qui genre,
potentiel de reflexion
en charnières de pression.
Déclaration des droits de l'Homme de 1793 Art 35 :"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."
J'ai perdu tout sens......................même celui de l'humour................
Par contre.................dans des vapeurs délétères me viennent ces quelques mots.................
Perdure dans le s'mouchon
fermant le but rouge
les petits hommes
agités du bocal
comptent en rond neurones
puisés dans
le cortex bulbeux
grillé.
hors
le carré livide
pris la tangente
vers la glophusée branlante
de celui qui par le nez
agrimment le tourne -broche........
j'ai bon ????????????
J'en ai encore un p'tit.........
par la lorgnette
le courant racle
paf dans le pif détergeant
sauf que le mollusque
vertueux et verturé
rapetissait de bonheur
agfa et bêta en fumée...........
J'en ai encore plein comme ça.................
Si vous aimez................
c'est bizarre...........j'me sens bizarre tout à coup...................