Nouvelle économie.

[sanz]

Comment parler d'une nouvelle économie au service de l'homme sans parler d'une propriété d'état et n'on plus privée?.

[Barbapoutre]

Comment parler d'une nouvelle économie au service de l'homme sans parler d'une propriété d'état et n'on plus privée?.

Là j'ai du mal à comprendre, à moins que ce ne soit la propriété de personne ou de tout le monde? Dans les deux cas on voit où ça nous mène, terrain vague envahi de ronces ou alors il y a quelqu'un qui fait main basse sur le bien ... on le voit dans quelques mutuelles ou associations qui ne sont la propriété de personne, mais où les dirigeants semblent être nommés à vie soit qu'ils fassent bien le travail ou alors que plus personne n'ose les déloger.

Je crois que l'économie doit ressembler à l'homme avec ses qualités et ses défauts. La vie est un combat de tous les jours avec des prises de risques, l'homme est cupide, il a besoin de posséder en oubliant le plus souvent qu'à son dernier jour il n'emportera rien dans le trou sauf peut être un marbre monumental qui rappellera aux vivants que là dort pour l'éternité un puissant qui s'est souvent cru irremplaçable. Je crois que c'est cette cupidité qui le fait avancer. Enfin tout cela est tempéré par de fortes personnalités qui trouvent injustes de telles situations et qui arrivent à avoir un pouvoir moral qui les rend incontournables dans toute négociation, alors il s'organise un partage que le riche et le pauvre trouvent toujours injuste malgré tout.

[sanz]

Une nouvelle économie n'a besoin que de nouvelles règles. Des riches seront toujours opposés à des pauvres, mais ce sont eux qui feront toujours tourné le système quel qu'il soit. Il ne faut pas compter sur la nature de l'homme mais sur sa volonté. Aujourd'hui, les élites ont compris que le capitalisme, dans sa forme actuelle, ne fonctionne plus et qu'il faut inventer de nouvelles règles.

L'option d'une gouvernance mondiale de l'économie semble la plus probable, le cadre des nations et des continents ayant été dépassé. Maintenant il se repose la question de la propriété et bien sûr il ne s'agit pas de recommencer les erreurs d'une économie collectiviste.

Le problème c'est que les élites imaginent et anticipent sur une autre façon de produire, de consommer , de vivre et que tous changement est une " crise " qui demande un effort d'adaptation.

Le constat de l'état actuel des choses est incontestable quand il s'agît de ne plus accepter que les salles de marchés soient devenus des casinos. D'ailleurs, se faire de l'argent avec du vent, économiquement ce n'est pas viable. L'économie réelle, contrairement à la virtuelle, a pour base un écheange et non une escroquerie comme l'est tout un pan de la finance qui fait de l'argent avec du vent.

[coincetabulle]

Une nouvelle économie n'a besoin que de nouvelles règles. Des riches seront toujours opposés à des pauvres, mais ce sont eux qui feront toujours tourné le système quel qu'il soit. Il ne faut pas compter sur la nature de l'homme mais sur sa volonté. Aujourd'hui, les élites ont compris que le capitalisme, dans sa forme actuelle, ne fonctionne plus et qu'il faut inventer de nouvelles règles.

je te trouves bien affirmatif et surtout bien optimiste sur la question. je me demande ce qui te fait penser que nos élites ont compris quoi que ce soit. ce qui ressort du G20 c'est avant tout, un pansement sur une jambe de bois et surtout aucune intention de réformer le modèle économique en profondeur.
ceci dis, si sarko a déclaré que les paradis fiscaux c'était terminé, j'imagine que ce doit être vrai *tousse*

L'option d'une gouvernance mondiale de l'économie semble la plus probable, le cadre des nations et des continents ayant été dépassé. Maintenant il se repose la question de la propriété et bien sûr il ne s'agit pas de recommencer les erreurs d'une économie collectiviste.

le principe de gouvernance mondiale se heurtera très vite aux revendication nationales, il faut être réaliste. je doute que les intérêts du Bangladesh puissent coïncider de quelques manières avec ceux des USA de la chine ou de l'Afrique du sud.

Le problème c'est que les élites imaginent et anticipent sur une autre façon de produire, de consommer , de vivre et que tous changement est une " crise " qui demande un effort d'adaptation.

diable ! nos élites imaginent et anticipent ? première nouvelle, ce scoop mérite quelques exemples

Le constat de l'état actuel des choses est incontestable quand il s'agît de ne plus accepter que les salles de marchés soient devenus des casinos. D'ailleurs, se faire de l'argent avec du vent, économiquement ce n'est pas viable. L'économie réelle, contrairement à la virtuelle, a pour base un écheange et non une escroquerie comme l'est tout un pan de la finance qui fait de l'argent avec du vent.

[sanz]

Plus qu'affirmatif ou optimiste, je crois être réaliste quand j'affirme que de nouvelles règles sont nécéssaires.

Quant aux élite, ne te fait pas de soucis car elles comprènnent aussi bien que toi et moi les choses quand elles déraillent.

Réformer le système en profondeur, les élites, ont comrpis que c'est nécéssaire pour leur propre survie, car il n'y a que des peuples affamés qui renvèrsent l'ordre établi.

Aujourd'hui le poids d'une nation dans une économie mondialisée n'est plus celui des temps ou une nation pouvait économiquement se suffire à elle même.

[Fonck1]

Une nouvelle économie n'a besoin que de nouvelles règles. Des riches seront toujours opposés à des pauvres, mais ce sont eux qui feront toujours tourné le système quel qu'il soit.

rien de nouveau sous le soleil la.c'est pas vraiment une nouvelle économie.

[coincetabulle]

.....

Plus qu'affirmatif ou optimiste, je crois être réaliste quand j'affirme que de nouvelles règles sont nécéssaires.

sauf que ce n'est pas ce que tu as dit avant. qu'est ce qui te fait penser que les politiques ont compris la nécessité de repenser les bases du capitalisme et ses applications au sein de l'entreprise ?

Quant aux élite, ne te fait pas de soucis car elles comprènnent aussi bien que toi et moi les choses quand elles déraillent.

ha mais je ne doute pas que nos élites comprennent les difficultés qui se posent à la société. ce que je remet en doute, c'est leur volonté d'œuvrer dans le sens de l'intérêt commun.

Réformer le système en profondeur, les élites, ont comrpis que c'est nécéssaire pour leur propre survie, car il n'y a que des peuples affamés qui renvèrsent l'ordre établi.

j'attends des actes ....

Aujourd'hui le poids d'une nation dans une économie mondialisée n'est plus celui des temps ou une nation pouvait économiquement se suffire à elle même.

[vieux singe]

Une nouvelle économie n'a besoin que de nouvelles règles. Des riches seront toujours opposés à des pauvres, mais ce sont eux qui feront toujours tourné le système quel qu'il soit. Il ne faut pas compter sur la nature de l'homme mais sur sa volonté. Aujourd'hui, les élites ont compris que le capitalisme, dans sa forme actuelle, ne fonctionne plus et qu'il faut inventer de nouvelles règles.

L'option d'une gouvernance mondiale de l'économie semble la plus probable, le cadre des nations et des continents ayant été dépassé. Maintenant il se repose la question de la propriété et bien sûr il ne s'agit pas de recommencer les erreurs d'une économie collectiviste.

Le problème c'est que les élites imaginent et anticipent sur une autre façon de produire, de consommer , de vivre et que tous changement est une " crise " qui demande un effort d'adaptation.

Le constat de l'état actuel des choses est incontestable quand il s'agît de ne plus accepter que les salles de marchés soient devenus des casinos. D'ailleurs, se faire de l'argent avec du vent, économiquement ce n'est pas viable. L'économie réelle, contrairement à la virtuelle, a pour base un écheange et non une escroquerie comme l'est tout un pan de la finance qui fait de l'argent avec du vent.

J'aime asez ce texte introductif!
J'avais fait un message hier mais il s'est envolé sans atterrir!!!
J'essayais de bien distinguer les aspects nécessairrement politiques ,des aspects purement techniques de lé gestion "suboerdonnées" des problêmes économiques
J'y reviendrai si j'ai un moment, notamment sur le sens du statut de la propriété qui dépend aussi des contextes historiques et des traditions , ce qui ne peut être évacuer d'un trait de plume.... de pan!
A bientôt!