un criminel de guerre démasqué a maubeuge

[Alogos]

allez faut pas pleurer : depuis hier 2 fichiers ont droit de cité.
avant l'erreur , l'imperfection étaient humaines - maintenant, nan ! Garé en double file, t'es fiché, vidéosurveillé et tu perds des points . Zzzzut alors!
Mais 2 fichiers, 2 beaux fichiers pour le prix d'1, l'occase était trop tentante, l'Ass. réunie hier dimanche en heures sup. et en conclave n'a pas pu résister.
Avisss aux futurs criminels de guerre !

ceux qui circulent en Allemagne, doivent ètre bien décrépis, ça court pas vite un vieux même ex-criminel. Quand on voit les images de R. Hess ! quoique y'a les fans de momies......

[Fonck1]

Elle est trop conne que pour aller faire ses recherches elle-même? Et puis c'est quand même une drôle de réaction.

tout le monde n'a pas votre aisance informatique

[capitaine]

Il avait une fiche rouge. Le degré de recherche le plus élevé dans le code couleur d'Interpol. Et pourtant, Eugène Rwamucyo vivait en Belgique et pratiquait la médecine dans le Nord depuis plusieurs années. A l'annonce de sa suspension, le maire (PS) de Maubeuge, Rémi Pauvros, a réclamé une clarification de l'Etat. « Je m'interroge sur le fait qu'une telle personne puisse disposer d'une carte de séjour. »

En fait, il a bénéficié de l'aide de Thierry Lazaro, secrétaire départemental de l'UMP dans le Nord.«J'ai saisi plusieurs ministres en sa faveur. On ne peut infirmer ou confirmer son implication dans le génocide. J'ai la conviction qu'il n'y est pour rien. A l'époque, j'ai cru de bonne foi qu'il était vulnérable.» Il n'est pas le seul. En 2002, le médecin avait été invité au Sénat pour une conférence. « Je l'ai rencontré pour la première fois à cette occasion, se souvient Alain Gauthier. Notre échange avait déjà été vif... »

Pourtant, l'avis de recherche pour « génocide et crimes de guerre » est sans équivoque. Mais avant la semaine dernière, personne ne s'y était intéressé. Pour remédier à ce problème, le Quai d'Orsay réclame depuis deux ans et demi la création d'une cellule « droit pénal international ». « Cela nous permettrait de suivre systématiquement les avis de recherche de ce type, nous a confié l'un de ses porte-parole. Mais le ministère de la Justice [injoignable hier] n'a jamais répondu à notre demande. » W

V. V.