Ah désolé, vu le comportement que tu décris, je croyais ...Fonck1 a écrit : ai-je parlé de politique?




Ah désolé, vu le comportement que tu décris, je croyais ...Fonck1 a écrit : ai-je parlé de politique?
si tu commences a tout mélanger,on va pas s'en sortir,déjà qu'il faut trierdinosaure a écrit :
Ah désolé, vu le comportement que tu décris, je croyais ...![]()
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Ce ne sont pas eux qui ont obtenu une prime de 50.000 € chacun ?dinosaure a écrit : Salauds d'ouvrier ! Ils ne pouvaient pas crever sans faire de vagues ?
Plus un maintien du salaire jusque fin 2011... :roll:clint a écrit : Ce ne sont pas eux qui ont obtenu une prime de 50.000 € chacun ?
De l'« indulgence » mais pas de relaxe pour les ex-salariésde Continental, rejugés en appel. Arrêt de la cour le 5 février.
Leur combat aura symbolisé les batailles sociales de l'année 2009. Un combat dur, qui avait conduit à l'obtention, en juillet, d'une prime de départ extra-légale de 50 000 € pour chaque « Conti » de l'usine de pneus qui fermait ses portes. Mais qui avaient aussi conduit des salariés, en avril, au saccage de la sous-préfecture de Compiègne, dans l'Oise.
Hier, six ouvriers, dont le délégué CGT Xavier Mathieu, figure de cette lutte, étaient jugés en appel. À la barre, des responsables politiques sont venus apporter leur soutien aux salariés. Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, Marie-Georges Buffet du PCF, Cécile Duflot, des Verts ou encore Benoît Hamon, du Parti socialiste ont pris la parole en tant que « témoins de moralité ». L'action des salariés prévenus était « non préméditée, non volontaire » a souligné de son côté leur avocate, Me Dufresne-Castets, qui a plaidé la relaxe.
« Je vous demande un verdict d'indulgence », de « compréhension » a dit l'avocat général Pierre Avignon, tout en soulignant qu'une relaxe serait « la porte ouverte à l'impunité ». Il a requis des peines de 2 à 5 mois de prison avec sursis, quasi-équivalente à celles prononcées en première instance, le 1er septembre. La cour rendra son arrêt le 5 février.
Quelques heures plus tôt, ils étaient plusieurs centaines à manifester dans les rues d'Amiens. 800 selon la police, 1 500 selon la CGT, accompagnés des responsables politiques venus les soutenir. Criant en choeur : « Les voyous, c'est pas nous ».
Je suis tout à fait d'accord, détériorer le matériel et les biens des autres doit être sanctionné sans quoi cela créé un précédent et engendrerait des "juris-prudences".paris16 a écrit : ces syndicalistes se sont comportés comme des casseurs, et ils doivent tout simplement répondre de ces actes. Tenter de s'y dérober, celà serait un signe de lacheté de la part de gens
qui se sont comportés comme des voyous. Même si du coté des "patrons" il y a des tort, ce n'est pas une raison pour agir ainsi. La justice doit passer, sinon nous ouvrons la porte à tous les abus
et cautionnons les actes de violence
Mais ils ne sont pas morts, si? Et cela ne justifie en rien les dégradations d'une préfecture, sinon, pourquoi s'arrêter à la préfecture? Pourquoi ne pas casser la maison du voisin?véra a écrit : je persiste, il faut tout casser, il faut une vraie révolte des travailleurs, les conti ont obtenu 50 00 et alors ? Ce n'est que des miettes, 50 000? C'est pas grand chose pour toute une vie de travail dans cette entreprise...;!
Ah d'accord, vous plaisantiez Véra, ça me rassure.véra a écrit : je persiste, il faut tout casser, il faut une vraie révolte des travailleurs, les conti ont obtenu 50 00 et alors ? Ce n'est que des miettes, 50 000? C'est pas grand chose pour toute une vie de travail dans cette entreprise...;!
Greg a écrit : Mais ils ne sont pas morts, si? Et cela ne justifie en rien les dégradations d'une préfecture, sinon, pourquoi s'arrêter à la préfecture? Pourquoi ne pas casser la maison du voisin?
Expliquez nous donc en quoi mon argument est davantage une connerie que le votre? En quoi le mobilier de bureau d'une établissement est-il "un ras-le-bol, une injustice, une indifférence"?véra a écrit :Cette dégradation, c'était le ras-le-bol, l'injustice, l'indifférence, et votre argument : casser la maison du voisin est une connerie, à force de tirer sur la corde, la corde se casse et les gens se révoltent, je suis même étonnée qu'il n'y a pas plus de violences, de casses et autres sur tous les ouvriers de France qui ont été licenciés, jetés comme des moins que rien, mais cela viendra un jour où les travailleurs ne courberont plus l'échine et agirons et là, on aura des surprises encore plus terribles peut-être.....!