
Sur les touches d’ivoire
Quand vient le soir
J’entends s’égrener
Les douces mélopées
Sa silhouette gracile penchée,
Ses doigts posés sur le clavier
Son regard sur la partition, concentrée
Dans la musique elle se laisse aller.
Alors naissent les images
Plus ou moins sages
Sortie des rythmes classiques
Et des épopées mythiques
Oui j’aime quand elle joue du piano
Mes émotions vont crescendo
Et alors du rêve à la réalité
La musicienne décline sa vérité.
Stef31