clint a écrit : Je me rends compte à quel point ma lamentable existence est vide, et maintenant, je sais pourquoi.
C'est effrayant, même si s'ouvrent d'un coup devant moi, de nouveaux horizons remplis de poils, de queues, de moustache, de pâté, de griffes, de rongeurs torturés...
Il te manque une jolie minette, qui te ronronne sur les genoux. :content2
tisiphoné a écrit : tu as déjà pensé à te produire Clint ? un genre de reconversion ? un peu comme Arthur
Jamais Tisi, tu ne m'as ainsi rabaissé, et pourtant Dieu sait que tu m'as rarement ménagé !
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
clint a écrit :
Jamais Tisi, tu ne m'as ainsi rabaissé, et pourtant Dieu sait que tu m'as rarement ménagé !
mais je rends hommage à ton style , ton écriture , je crois que tu pourrais faire un one man show , je plaisante pas , tu veux que je m'occupe de la mise en scène , qu'on te produise ? on lance le projet sur Inter
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
Le chat a une dimension philosophique qui t'échappe Clint.
L’apparition du chat dans la littérature fut d’abord discrète. Peu aimé au Moyen Âge, où on ne lui confère guère que l’utilité de chasser les souris, les écrits le concernant reflètent les idées de l’époque. Au IXe siècle, Hildegarde de Bingen, dans son Livre des subtilités des créatures divines lui consacre un paragraphe bref et peu élogieux : « Au plus fort des mois d’été, […] le chat demeure sec et froid. Le chat ne reste pas volontiers avec l’homme, excepté celui qui le nourrit. » Le célèbre Roman de Renart a laissé l’image de Tibert le chat, tout aussi rusé et hypocrite que Renart, mais aimé par Noble, le lion[86].
Le chat est peu à peu « réhabilité » durant la Renaissance et de nombreux écrivains et poètes tels Pétrarque, mort la tête posée sur son chat, ou encore Joachim du Bellay améliorent la réputation du chasseur de souris. Au XIXe siècle, les auteurs romantiques portent une grande affection au félin : en 1869 paraît Les Chats de Jules Champfleury réunissant la somme des connaissances de l’époque sur le chat, et qui révéle la place privilégiée du chat dans les milieux intellectuels. Depuis le début du XXe siècle, les œuvres littéraires ayant pour héros principal ou secondaire le chat se sont multipliées. De nombreux auteurs, notamment Colette, ont mis en exergue leur(s) chat(s).
"Il n'y a pas de bon et de méchant sur terre, seulement des riches et des pauvres" JP2
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."