Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-l à
Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
C'était l'automne, un automne où il faisait beau
Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique
danom a écrit :Tu sais, je n'ai jamais été aussi heureux que ce matin-l à
Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci
C'était l'automne, un automne où il faisait beau
Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique
Il m'a dit le berger, il m'a dit
Qu'un olivier avec ses branches
Lui avait fait comme un tapis
Et puis et puis la brebis blanche
Qu'il y avait auprès de lui
Sentait le thym et la lavande
Des montagnes de mon pays
Peut-être n'est-ce qu'une légende
On blague un peu dans le Midi ...
Mais c'est pas pour moi le costard uniforme
J'ai pas l'intégrale
Du gendre idéal
J'aurai toujours l'impression qu'on m'espionne
Pourtant pas contre l'amour
Je s'rais même plutôt pour
Parce que j'en ai les larmes au yeux
Que nos main ne tiennent plus ensemble
Moi aussi je tremple un peu
Parce que je ne vais plus attendre
Et ce qu on va reprendre la route
Es ce que nous sommes proche de la nuit
Es ce que se monde a le vertige
Es ce qu on sera un jour puni
jenny2707 a écrit :Parce que j'en ai les larmes au yeux
Que nos main ne tiennent plus ensemble
Moi aussi je tremple un peu
Parce que je ne vais plus attendre
Et ce qu on va reprendre la route
Es ce que nous sommes proche de la nuit
Es ce que se monde a le vertige
Es ce qu on sera un jour puni
Est-ce que je rampe comme un enfant
Est-ce que je n'ai plus de chemise
C'est le Bon Dieu camarade
C'est le Bon Dieu qui nous brise
S il n'en resté qu'une
Pour jouer son bohneur
Et miser sa fortune
Sur le rouge du coeur
Pour accepter les larm
Accepter nuit et jour
De se livrer sans armes
Les jours passent mais àça ne compte pas
J'ai tant de mal à vivre, ivre
De ce parfum si différent du tien
Pire, j'ai compté chaque minute qui me retient à lui
Comme si j'étais ma propre prisonnière