

vous appelez cela une presse impartiale....vous me faites de plus en plus rigoler...heureusement que vous êtes la, car sans vous la vie serait bien terne et avec vos ragots de comptoirs vous nous faites marrer un peu plus chaque jour. il y a des choses bien plus importantes . mais sans doute vous aimez vivre dans la merde et vous aimez vous y roulerGEORGES a écrit : .
Seuls Médiapart, Marianne, le Canard Encaîné sortent vraiment du lot.
Tous aux ordres.
C'est vrai que celle qui abreuve ton petit cerveau l'est elle impartiale. Eux seuls détiennent la vérité.paris16 a écrit : vous appelez cela une presse impartiale....vous me faites de plus en plus rigoler...heureusement que vous êtes la, car sans vous la vie serait bien terne et avec vos ragots de comptoirs vous nous faites marrer un peu plus chaque jour. il y a des choses bien plus importantes . mais sans doute vous aimez vivre dans la merde et vous aimez vous y rouler
Tapez « perquisition » sur Google. Surprise avec la première réponse : un lien publicitaire annonce que « l'UMP n'a pas été perquisitionnée ». (Cliquer pour agrandir la capture)
L'UMP s'est en effet empressée d'acheter le mot-clé après avoir reçu la visite de policiers enquêtant sur l'affaire Bettencourt-Woerth.
C'est le site de Paris Match qui avait révélé, jeudi midi, cette visite de « trois policiers de la brigade financière » au siège de l'UMP :
« Les policiers ont réclamé les archives intitulées “correspondance” et ont fouillé pendant près d'une heure les documents de la période du premier trimestre 2007. Les enquêteurs seraient à la recherche d'une éventuelle trace de réception du courrier daté du 12 mars 2007, signé Eric Woerth et adressé à Nicolas Sarkozy.
C'est dans ce courrier, dont Eric Woerth a reconnu l'existence la semaine dernière, qu'il demandait l'attribution de la Légion d'honneur à Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. »
« La police nous avait prévenus 24 heures à l'avance »
Embarrassée, l'UMP ? Pas du tout. Son directeur général, Eric Cesari, explique même au site de Paris Match que cette visite n'était pas du tout une surprise :
« La police judiciaire nous avait prévenus 24 heures à l'avance. Les policiers ont expertisé les documents ayant trait à la campagne présidentielle à en-tête de l'association de la campagne “Ensemble, tout est possible.” »
Juridiquement, donc, ce n'était pas une perquisition. Médiatiquement, c'est différent : le mot est dans tous les esprits. C'est celui qu'ont retenu beaucoup de médias (dont Rue89), et c'est celui que les internautes auront tendance à taper sur Google pour en savoir plus.
L'UMP l'a vite compris. Comme le signale @nicolasvoisin ce vendredi matin sur Twitter, elle a acheté le mot-clé « perquisition » sur Google, pour que sa version de l'histoire apparaisse en tête des résultats.
« Ne pas laisser utiliser à tort le mot “perquisition” »
Son lien explique donc que « l'UMP n'a pas été perquisitionnée » et renvoie vers le communiqué de presse du parti sur cette perquisition… euh, cette « demande de renseignements ».
Une initiative tout à fait normale, m'explique-t-on au service de communication de l'UMP. Le but était tout simplement d'éviter la contagion :
« Hier, pendant quelques heures, le mot de “perquisition” a été employé à tort dans l'ensemble des médias, des agences de presse à la télévision. Nous avons décidé de ne pas laisser utiliser à tort ce mot.
Nous avons contacté tous les journalistes pour leur expliquer de quoi il s'agissait exactement. Et de son côté, notre pôle Internet a fait de même sur les réseaux sociaux.
Ça ne nous arrive pas souvent d'acheter des mots-clés sur Google, mais si ça devait se représenter, on le referait sans problème. »
Çà y est Tisi à retrouvé la terre ferme. Coucou c'est l'heure, le réveil est douloureux. Sans blague.tisiphoné a écrit : je ne savais même pas que c'était possible![]()
qui dit que ça n'a pas été déjà fait auparavant pour d'autre faits d'actualité ?
c'est ahurissant !!!
- Les services de renseignement français ont enquêté sur les "fuites" dans la presse concernant l'enquête portant sur les liens entre le ministre du Travail Eric Woerth et l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt, affirment plusieurs organes de presse.
Selon le site nouvelobs.com, cette procédure menée clandestinement par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) a amené le limogeage du conseiller pénal de la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie, David Sénat, identifié comme la source des médias.
Des écoutes téléphoniques auraient été menées ou les enquêteurs auraient examiné les factures détaillées de téléphone de certaines personnes pour identifier les sources des journalistes, disent les médias.
Le ministère de l'Intérieur ne fait pas de commentaires, ont dit deux porte-parole.
Le cabinet de la ministre de la Justice a confirmé que le magistrat David Sénat, qui était en poste aux cabinets de Michèle Alliot-Marie depuis 2003, à la Défense, à l'Intérieur, puis à la Justice, l'avait quitté au 1er septembre mais a démenti tout lien avec l'affaire Woerth.
David Sénat sera désormais chargé d'une mission de préparation de l'installation d'une cour d'appel à Cayenne en Guyane, a-t-on expliqué à Reuters. "La longévité de M. Sénat comme conseiller est exceptionnelle et quasi-unique et ça faisait plusieurs années qu'il pensait à retourner sur le terrain", a expliqué un porte-parole.
Les développements de l'enquête sur la fortune Bettencourt ont alimenté tout l'été une pression politique sur Eric Woerth, chargé du dossier des retraites.
Il est apparu notamment que la police avait découvert une lettre d'Eric Woerth demandant la Légion d'honneur pour Patrice de Maistre, gestionnaire de la fortune de la milliardaire, qui a embauché la femme du ministre et finançait légalement l'UMP. Les dépositions ont largement été publiées par les médias.
David Sénat est susceptible d'avoir accès à ce dossier conduit par le parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine), puisqu'il fait l'objet de rapports au ministère via sa hiérarchie, le parquet général de Versailles.
La DCRI résulte de la fusion de la DST et des Renseignements généraux et a pour mission notamment le contre-espionnage et la lutte contre le terrorisme.
En début d'année, le même service avait reconnu avoir mené une autre enquête confidentielle sur l'origine des rumeurs d'infidélité de Carla Bruni, épouse du président de la République, évoquant la nécessité de déjouer une éventuelle manoeuvre de déstabilisation.
L'opposition de gauche et le centre avaient alors critiqué cette utilisation de la DCRI, estimant que le président utilisait un service de police dédié à la sécurité du pays pour ses affaires personnelles.