pitiéSteph a écrit :
Fonck : à l'enseignement supérieur
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pitiéSteph a écrit :
Fonck : à l'enseignement supérieur
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personne ne trouve grâce à vos yeux,Crapulax a écrit :![]()
J'oubliais ma "grande copine",Amara
qui du reste est presque au niveau de Morano,une buse quoi,elle capte rien,elle ne sait meme pas ce qu'elle dit,inutile,à la limite de la paralysie mentale.
Frédéric Mitterrand a exprimé, mardi, son souhait de rester à son poste de ministre de la Culture et de la Communication après le remaniement prévu à l'automne, estimant qu'il serait "dommage d'arrêter". "J'espère rester ministre (...) mais la décision ne m'appartient pas", a-t-il déclaré sur France Inter. "Il y a une conscience de ce que j'ai fait. Ce serait dommage d'arrêter", a souligné le ministre.
Frédéric Mitterrand s'est présenté comme un ministre de la Culture "qui écoute et qui réfléchit, qui prend le temps nécessaire". "Je ne suis pas partisan effréné des effets d'annonce. J'essaie d'obtenir dans tout ce que je fais un consensus, j'essaie de convaincre, plutôt que de commander", a-t-il ajouté.
tisiphoné a écrit : on parle de plus en plus d'un remaniement au sein du gouvernement, qui voyez-vous rester?
à qui va-t-on dire bye bye ?
alors qui et à quel poste ?
devrait nous quitter à mon avis
Kouchner, également
Bachelot
arrêté j'ai glisséVERNON a écrit :
tisiphoné a écrit : Copé ne voudrait pas de Matignon, il préfère servir le parti.
je crois qu'à long terme, il vise 2017
Remaniement ou pas, de toute façon cela ne changera rien sarko continuera à faire ses réformes.tisiphoné a écrit : on parle de plus en plus d'un remaniement au sein du gouvernement, qui voyez-vous rester?
à qui va-t-on dire bye bye ?
alors qui et à quel poste ?
Woreth devrait nous quitter à mon avis
Kouchner, également
Bachelot
patriote51 a écrit : Remaniement ou pas, de toute façon cela ne changera rien sarko continuera à faire ses réformes.
ou de le perdre.Agatha a écrit :
Évidemment qu'il va faire le maximum de réformes durant les deux ans qu'il lui reste !
C'est sa seule chance de pouvoir renouveler son mandat.
il devrait prendre exemple sur l'immobilisme de ChichiFonck1 a écrit : ou de le perdre.
Ben s'il continue sa politique comme ça, à mon avis il va droit dans le mur pour 2012, mais bon les Français critiquent et ils seraient capables de le réélire.Agatha a écrit :
Évidemment qu'il va faire le maximum de réformes durant les deux ans qu'il lui reste !
C'est sa seule chance de pouvoir renouveler son mandat.
Hier jeudi soir, c'était le bal des ambitieux à Biarritz, pour les journées parlementaires de l'UMP. Députés et sénateurs étaient plutôt discrets sur la mobilisation contre la reforme des retraites. Mais certains ont tout fait pour briller.
Qui est jeune, la quarantaine ? Qui est un ministre qui n'a jamais caché ses ambitions, et qui pour cela a quitté Villepin pour suivre Sarkozy ? Qui s'annonce comme premier ministrable - il s'est montré très bavard avec ses convives hier soir, jeudi ? Réponse : Bruno Le Maire, l'actuel ministre de l'Agriculture. Certes, il souffre d'un déficit de notoriété. Mais il saura combler son retard. Il n'a que 41 ans. Plusieurs parlementaires nous ont donné son nom. Certains, invités à sa table, racontent qu'il leur a donné la liste de son futur gouvernement. Et qu'il voulait « surprendre » avec son casting.
Convenons-en, cette information à elle seule ne tient pas la route. En effet, Nicolas Sarkozy teste probablement la « méthode Chirac »: il demande à tous les « premiers ministrables » une liste, avec la composition de leur gouvernement. Et, on le sait, après avoir ramassé les copies, Chirac n'a jamais choisi celui qui apparaissait comme le meilleur des élèves. Donc prudence, oui.
Mais ce qui plaide pour Bruno Le Maire, с'est par exemple cette confidence de Xavier Bertrand, hier, à quelques parlementaires. Le patron de l'UMP explique que Nicolas Sarkozy va choisir un premier ministre d'une quarantaine d'années. Ainsi, la stature du président de la République en sortira renforcée. Et le "bébé-premier ministre" ne fera pas d'ombre au Chef de l'Etat, qui se donnera un droit ďaînesse.
Alors nous avons demandé, sur le ton de l'humour, à Bruno Le Maire lui-même s'il fallait bientôt l'appeler « monsieur le Premier ministre ». Réponse de l'intéressé, sur le même ton: « с'est probable...».