C'est beaucoup plus vicieux que cela puisque l'interpellé ne disposera même pas de la preuve l'accusant, étant induit dans les nouveaux textes que son ordinateur est censé être piraté à son insu, et que lui incombe la charge de se protéger : on lui recommandera d'ailleurs l'abonnement à une protection payante- une société affiliée à ceux là même chargé de détecter le téléchargement. Cherchez l'erreur
Autant dire que les petits copains des géniteurs d'hadopi (appel d'offres truqués) vont s'en foutre plein les poches
Après les radars sur les routes, la traque s'étend à l'internaute.
PS : la seule solution étant dans les mains des petits fournisseurs d'antivirus, si possible français et gratuit, mais que pourront -ils n'ayant pas accès eux mêmes à la véracité de la soit disant infection de l'ordinateur.