on ne comprend pas toujours tous ce qui est écrit:
Ingrédient : Elsholtziae de herba, Scutellari, Rhizoma Coptidis, bupleuri de base,
Echinacea Purpurea, etc.
Indication : Empêche et commande l'effort chaud
Utilisation et dosage : Boire mélangé--Par eau 1L mélangée à 0.1g ce produit...
mais après, comme ça, les petits caneton, il sont tout jaunes.. attention.. s'ils virent au rouge avec des point blanc, là ça y est c'est foutu il sont plus bon pour la consommation
mais il faut bien suivre ce qui est marqué un ?..
devrait prendre plus ou obéir le vétérinaire, employez 3-5 jours sans interruption
Emballage : 100g X 40bottles/ctn
Belles paroles comme d'habitude.
Savez vous au moins que 67% des génériques sont aujourd'hui plus chers que les médicaments normaux ??
Rendez-vous dans une pharmacie et lorsque vous aurez une ordonance demandez au pharmacien de vous les montrer.
vous toumberez sur le cul.
Vous cesserez alors de raconter des conneries comme d'habitude.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."
GEORGES a écrit : Belles paroles comme d'habitude.
Savez vous au moins que 67% des génériques sont aujourd'hui plus chers que les médicaments normaux ??
Rendez-vous dans une pharmacie et lorsque vous aurez une ordonance demandez au pharmacien de vous les montrer.
vous toumberez sur le cul.
Vous cesserez alors de raconter des conneries comme d'habitude.
tisiphoné a écrit :
quand on avance quelque chose, on le démontre.
Tu pourras faire la démonstration toi même en allant toi même à la pharmacie le jour ou tu en auras besoin.
Jamais si bien servit que par soit même. Je ne serts pas la soupe toute faite, démerdez vous pour trouver.
Manque très notoire de curiosité nuit gravement à la santé et fait gober toutes les conneries diffusées par l'AFP.
Etre sur le terrain s'est excellent pour vérifier que 80% de ce qui est raconté s'est de la propagande.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."
Tu pourras faire la démonstration toi même en allant toi même à la pharmacie le jour ou tu en auras besoin.
Jamais si bien servit que par soit même. Je ne serts pas la soupe toute faite, démerdez vous pour trouver.
Manque très notoire de curiosité nuit gravement à la santé et fait gober toutes les conneries diffusées par l'AFP. Etre sur le terrain s'est excellent pour vérifier que 80% de ce qui est raconté s'est de la propagande.
GEORGES a écrit :
Tu pourras faire la démonstration toi même en allant toi même à la pharmacie le jour ou tu en auras besoin.
Jamais si bien servit que par soit même. Je ne serts pas la soupe toute faite, démerdez vous pour trouver.
Manque très notoire de curiosité nuit gravement à la santé et fait gober toutes les conneries diffusées par l'AFP.
Etre sur le terrain s'est excellent pour vérifier que 80% de ce qui est raconté s'est de la propagande.
c'est faut, je prend 3 génériques pour mon diabète et c'est moins cher, je suis sur le terrain moi !!!
Mardi 3 novembre 2009
Parfois plus chers que les originaux ; sources d’erreurs, aux conséquences parfois graves, chez les patients. Les pharmaciens font ce qu’ils veulent.
Qu’est-ce qu’un médicament générique ? Un générique est la copie d’un médicament de marque, mais avec un conditionnement différent, une boîte, une taille des comprimés différentes, des couleurs différentes. La molécule, autrement dit, le principe actif, est la même, mais les excipients (ce qu’il y a autour du principe actif) sont différents.
Lorsqu’un laboratoire découvre un médicament, il en garde l’exclusivité pendant plusieurs années. Passé ce délai, tous les laboratoires ont le droit de le reproduire et de le commercialiser. Le pharmacien propose systématiquement des génériques provenant de laboratoires divers et variés (pour des raisons sûrement commerciales).
Certes, un générique coûte d’ordinaire moins cher que l’original, en moyenne 30 % d’après un prospectus rédigé par l’assurance maladie et délivré en pharmacie. Mais cette économie peut se révéler être un faux calcul. Selon des statistiques officielles, le recours aux génériques aurait permis d’économiser plus de 1,2 millions d’euros, en 2008, en Seine-Saint-Denis. Or, des problèmes sérieux, voire graves, peuvent survenir suite à l’achat d’un médicament générique, ce dont on ne parle malheureusement pas du tout.
1. Les personnes qui se repèrent aux couleurs et aux boîtes, en particulier les personnes âgées ou encore illettrées ou qui manquent dirons-nous d’agilité cérébrale, peuvent faire des erreurs parfois fatales. Il serait utile et intéressant de réaliser des enquêtes sur cette manie qu’ont désormais les pharmaciens de changer systématiquement la prescription donnée par le médecin à son patient.
2. La relation médecin-patient, c’est-à-dire le climat de confiance qui s’instaure entre les « deux parties », peut être entamé par ce remplacement inopiné d’un médicament par un autre chez le pharmacien, la chose se faisant sans grand dialogue.
Il serait judicieux de vérifier le nombre d’accidents liés à la prise de médicaments génériques. En effet, les emballages sont tellement dissemblables que cela porte à confusion. Des personnes m’ont raconté qu’il leur est arrivé de prendre double ou triple dose ; les boîtes étant toutes différentes, elles croyaient absorber trois traitements différents alors qu’il s’est avéré qu’il s’agissait du même. Ainsi des médicaments pour traiter des problèmes cardiaques dont le surdosage est dangereux.
3. De plus, le prix d’achat varie d’un laboratoire à l’autre. On peut considérer qu’un nouveau commerce, lucratif, s’est installé autour des génériques.
Au vu de ces éléments, il serait bienvenu de vérifier si cela engendre une réelle économie, et si oui, pour qui ? Il serait raisonnable que pour un médicament de marque, il n’y ait qu’un générique et non deux ou dix, et parfois au-delà, comme c’est aujourd’hui le cas pour l’Amarel, par exemple, un médicament contre le diabète. Depuis le 2 juillet 2007, le pharmacien ne peut plus pratiquer le tiers payant en cas de refus de génériques par le patient. Donc, si vous préférez choisir le médicament de marque, vous devez avancer les frais, c’est-à-dire payer au pharmacien la part correspondant au montant dû par l’assurance maladie.
Comment peut-on imposer une mesure aussi autoritaire au vu des problèmes qui se posent ? On constate une perte d’humanité dans la relation du patient au système de santé, et tout ça pour privilégier le profit. Profit qui se fait au nom de l’équilibre du budget de la Sécurité sociale… La Sécu est endettée mais il y a sûrement d’autres moyens pour faire des économies.
Faisons maintenant un calcul. Le Spasfon, médicament indiqué en cas de maux de ventre : une boîte de 30 comprimés dragées coûte 2,82 euros. Le pharmacien peut proposer, par erreur ou dans un but lucratif, le générique Phloroglucinol Orodispersible (en fait Spasfon Lyoc) : 10 comprimés par boîte au prix de 2,12 euros, soit 6,36 euros les 30 comprimés. Le générique vous coûtera donc 3,54 euros de plus que l’original pour le même traitement. Où est l’économie ? Ce cas se répète de nombreuses fois pour d’autres médicaments.
Alors, dans cette histoire, qui est le gagnant ? Sûrement pas le malade. Une chose est sûre : les génériques, c’est automatique.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."
GEORGES a écrit : L’arnaque des médicaments génériques
Mardi 3 novembre 2009 Parfois plus chers que les originaux ; sources d’erreurs, aux conséquences parfois graves, chez les patients. Les pharmaciens font ce qu’ils veulent.
Qu’est-ce qu’un médicament générique ? Un générique est la copie d’un médicament de marque, mais avec un conditionnement différent, une boîte, une taille des comprimés différentes, des couleurs différentes. La molécule, autrement dit, le principe actif, est la même, mais les excipients (ce qu’il y a autour du principe actif) sont différents.
Lorsqu’un laboratoire découvre un médicament, il en garde l’exclusivité pendant plusieurs années. Passé ce délai, tous les laboratoires ont le droit de le reproduire et de le commercialiser. Le pharmacien propose systématiquement des génériques provenant de laboratoires divers et variés (pour des raisons sûrement commerciales).
Certes, un générique coûte d’ordinaire moins cher que l’original, en moyenne 30 % d’après un prospectus rédigé par l’assurance maladie et délivré en pharmacie. Mais cette économie peut se révéler être un faux calcul. Selon des statistiques officielles, le recours aux génériques aurait permis d’économiser plus de 1,2 millions d’euros, en 2008, en Seine-Saint-Denis. Or, des problèmes sérieux, voire graves, peuvent survenir suite à l’achat d’un médicament générique, ce dont on ne parle malheureusement pas du tout.
1. Les personnes qui se repèrent aux couleurs et aux boîtes, en particulier les personnes âgées ou encore illettrées ou qui manquent dirons-nous d’agilité cérébrale, peuvent faire des erreurs parfois fatales. Il serait utile et intéressant de réaliser des enquêtes sur cette manie qu’ont désormais les pharmaciens de changer systématiquement la prescription donnée par le médecin à son patient.
2. La relation médecin-patient, c’est-à-dire le climat de confiance qui s’instaure entre les « deux parties », peut être entamé par ce remplacement inopiné d’un médicament par un autre chez le pharmacien, la chose se faisant sans grand dialogue.
Il serait judicieux de vérifier le nombre d’accidents liés à la prise de médicaments génériques. En effet, les emballages sont tellement dissemblables que cela porte à confusion. Des personnes m’ont raconté qu’il leur est arrivé de prendre double ou triple dose ; les boîtes étant toutes différentes, elles croyaient absorber trois traitements différents alors qu’il s’est avéré qu’il s’agissait du même. Ainsi des médicaments pour traiter des problèmes cardiaques dont le surdosage est dangereux.
3. De plus, le prix d’achat varie d’un laboratoire à l’autre. On peut considérer qu’un nouveau commerce, lucratif, s’est installé autour des génériques.
Au vu de ces éléments, il serait bienvenu de vérifier si cela engendre une réelle économie, et si oui, pour qui ? Il serait raisonnable que pour un médicament de marque, il n’y ait qu’un générique et non deux ou dix, et parfois au-delà, comme c’est aujourd’hui le cas pour l’Amarel, par exemple, un médicament contre le diabète. Depuis le 2 juillet 2007, le pharmacien ne peut plus pratiquer le tiers payant en cas de refus de génériques par le patient. Donc, si vous préférez choisir le médicament de marque, vous devez avancer les frais, c’est-à-dire payer au pharmacien la part correspondant au montant dû par l’assurance maladie.
Comment peut-on imposer une mesure aussi autoritaire au vu des problèmes qui se posent ? On constate une perte d’humanité dans la relation du patient au système de santé, et tout ça pour privilégier le profit. Profit qui se fait au nom de l’équilibre du budget de la Sécurité sociale… La Sécu est endettée mais il y a sûrement d’autres moyens pour faire des économies.
Faisons maintenant un calcul. Le Spasfon, médicament indiqué en cas de maux de ventre : une boîte de 30 comprimés dragées coûte 2,82 euros. Le pharmacien peut proposer, par erreur ou dans un but lucratif, le générique Phloroglucinol Orodispersible (en fait Spasfon Lyoc) : 10 comprimés par boîte au prix de 2,12 euros, soit 6,36 euros les 30 comprimés. Le générique vous coûtera donc 3,54 euros de plus que l’original pour le même traitement. Où est l’économie ? Ce cas se répète de nombreuses fois pour d’autres médicaments.
Alors, dans cette histoire, qui est le gagnant ? Sûrement pas le malade. Une chose est sûre : les génériques, c’est automatique.
quand on commence comme ça,c'est difficile de faire des généralités.....
GEORGES a écrit :
Savez vous au moins que 67% des génériques sont aujourd'hui plus chers que les médicaments normaux ??
Où est la généralité ??????
Oui enfin, il y a aussi 84% des pharmaciens qui sont aussi boucher-charcutier, et les entreprises pharmaceutiques sont à 95% financées par le Quatar grâces aux recettes de la boutique du PSG.
Il faut aussi tenir compte des patients qui à 80% ont mangé des frites au moins une fois dans la semaine écoulée, et qui ont 1 chance sur 2 pour que ce qui est soit, et inversement...
Tu vois, moi aussi je peux les aligner les chiffres, et te traiter de menteur si tu envisages de les contester... :roll: :roll:
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
Je suis patient. Rien de mortel pour le moment.
J'ai environ 7 médicaments pour des maux différents.
Je ne veux pas de certains génériques. Je sens la différence.
"Les mécontents, ce sont des pauvres qui réfléchissent".
Talleyrand.
mordred a écrit : Je suis patient. Rien de mortel pour le moment.
J'ai environ 7 médicaments pour des maux différents. Je ne veux pas de certains génériques. Je sens la différence.
ne penses-tu pas que c'est parce que tu les vois comme des substituts ? si tu avais commencé ton traitement avec eux, tu ne pourrais pas dire ça.?
tisiphoné a écrit :
ne penses-tu pas que c'est parce que tu les vois comme des substituts ? si tu avais commencé ton traitement avec eux, tu ne pourrais pas dire ça.?
T'es professeur en Médecine ou chimie moléculaire pour avancer des sotises pareilles.
Qu'en sais-tu ?
Affirmation totalement gratuite.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."
GEORGES a écrit :
T'es professeur en Médecine ou chimie moléculaire pour avancer des sotises pareilles.
Qu'en sais-tu ?
Affirmation totalement gratuite.
tu t'adresses à qui avec toute l'élégance qui te caractérise, c'est pas très clair ?