La vengeance est d’habitude un plat qui se mange froid. Celle d’Henri Guaino, l’ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy envers Roselyne Bachelot, qui vient de publier le livre A feu et à sang étrillant les anciens conseillers du président-candidat, dont Guaino, est à l’inverse bouillante.
Henri Guaino, invité de la séquence du Grand Journal la Boite à questions, diffusée mardi soir sur Canal+, a répondu à la question suivante «Vous êtes Roselyne Bachelot pour 24 heures, que faites-vous ?» : «Je me suicide.»
Le conseiller avait déjà déclaré lundi, sur France Info, à l’adresse de Roselyne Bachelot: «Je ne commente pas un livre d’une telle vulgarité de pensée, d’attitude, de comportement. Vous savez, les auteurs ressemblent souvent à leurs livres. C’est d’une profonde vulgarité.»
L’ancien conseiller spécial du président avait ajouté, acide: «Quand on a fait des pieds et des mains pendant cinq ans pour être ministre et pour rester ministre, on a un peu de dignité à la fin, on se sent un peu solidaire de ce qui s’est passé.»
«La situation était très simple à régler. Il suffisait pour les gens qui avaient cette attitude, ces reproches à formuler au président Sarkozy, il leur suffisait de démissionner. Si moi je n’assumais pas la totale responsabilité de ce qui s’est passé, même si je pouvais avoir des sentiments à certains moments différents, eh bien je serais parti. Je suis resté», précise l’ancien conseiller. Avant d’adresser à l’ancienne ministre: «Que les autres qui sont restés (…) assument aussi. Franchement ce n’est pas une question de loyauté, c’est une question de dignité. Tout cela est d'une vulgarité effrayante.»
Vite, qu'on lui file une perruque un tailleur rose et des crocs rose !!!!

Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.