La présidence de la République a subi deux cyber-attaques majeures, qui n'ont pas été rendues publiques. La dernière s'est produite entre le second tour de l'élection présidentielle [le 6 mai, NDLR] et la prise de fonction de François Hollande [le 15 mai, NDLR]. Passée sous silence, elle était d'une ampleur telle que les services gouvernementaux ont passé trois jours à reconstruire de fond en comble les systèmes d'information du palais. Au personnel de la présidence, on a simplement expliqué qu'il s'agissait de 'préparer la transition à une nouvelle équipe'."