Non, c'est pas du concret.gemmill a écrit :instaurer une vraie démocratie ce n'est pas du concret ?? :roll:
c'est vrai que c'est plus facile de se réclamer du peuple tout en l'accusant de tous les maux...
ATTENTION aux communauté de communes.VERNON a écrit : La Gauche a inventé le quinquennat , faisant passer l'élection présidentielle juste avant les législatives ; c'était une fausse bonne idée , puisque cela lui est tombé 2 fois sur le nez.
Personnellement , je propose:
- 1 seul mandat pour le Président
- 1 premier ministre , véritable économiste , qui n'aurait pas comme premier souci sa réélection
- 1 député pour 250.000 habitants ; ou un seul par département quand celui-ci est peu peuplé ( Ariège , Lozère ....)
- Création de communauté de communes , en regroupant plusieurs .
- Comme aux présidentielles : 2 qualifiés au second tour.
Inutile de parler d'une partie de proportionnelle , c'est le serpent de mer de chaque élection.
Nice Côte d'Azur, qui est une communauté de commune, cependant, lorsque Estrosi et sa clique ont décidé de créer ce "conglomérat bureaucratique" (qui était pourtant une bonne idée au départ), ils n'ont pas supprimé les postes doublons ! Je vous laisse imaginer la catastrophe.
on vire les professionels de la politique et ce sont les gens comme toi , comme moi et comme n'importe quel quidam qui prenons les décisions.Johan a écrit : Non, c'est pas du concret.
C'est des grands mots qui veulent rien dire, des mots à qui ont fait dire n'importe quoi.
Ce que je te demanderai, c'est des propositions précises. C'est quoi une "vraie" démocratie ? Ca prendrait quelle forme ? A quoi ressemblerait un tel système politique ?
1) l'histoire nous prouve qu'un chef d'état ne peut pas forcément éviter les guerres ou les crises économiques.Johan a écrit : Complètement absurde :
1) Le non-recours à un chef d'état exclut toute vision d'ensemble, les décisions ont prise les unes indépendamment des autres, sans la moindre cohérence.
2) C'est la généralisation du consensus mou, lequel n'est jamais bon.
3) la majoritée n'as pas toujours raison . Si en 1981 Mitterrand avait suivi la majoritée, la peine de mort n'aurait pas été abrogé. Hors, aujourd'hui, à l'exception d'une faible minorité, tout le monde est d'accord pour dire que ce fut une bonne décision.
4) Il est des situation où il faut réagir vite. Aujourd'hui, l'action et la réactivité de Sarkozy pour sauver les banques en 2008 est tres majoritairement perçue comme une très bonne chose, y compris de la part des gouvernement étranger, la plupart estiment qu'il nous a évité un cataclysme bancaire. Sans un chef d'état, celà aurait été impossible.
5) Pour la politique étrangère et la diplomatie, on fait comment ? On envoie un jour un maçon discuter avec Obama, le lendemain un ouvrier négocier avec Merkel, un autre jour une infirmière parler à l'ONU ?
Une certaine cohérence dans les décisions est indispensable à toute politique.gemmill a écrit :1) l'histoire nous prouve qu'un chef d'état ne peut pas forcément éviter les guerres ou les crises économiques.
J'vois pas vraiment le lien entre les 22)le consensus , mou ou pas mou , reste une meilleure garantie de la liberté d'opinion.
Certes. Mais une discussion prise à l'encontre de la vox populi et aujourd'hui perçue comme une avancée majeure.3)la barbz avec l'abolition de la peine de mort. c'etait une opération purement politique.
Il a juste éviter la faillite de certaines banques, qui auraient entrainée la perte des économies de leurs clients et une réaction en chaine sur l'ensemble de l'économie mondiale et particulièrement l'économie française4) et il y a quoi avant le "réagir vite" ??
Si à la places des "spécialistes" documentés, renseignés et avertis des méthodes américaines, tu met des citoyens français lambda à l'ONU quand les USA décident d'attaquer l'Irak, les français se font berner par la propagande US et la France participe à la catastrophique campagne irakienne...5) on échange des politesses et on fait comprendre que notre intérét passe avant celui des autres.
Johan a écrit : Sous la 5ème République, on a commencé à parler d'un passage au quinquennat en 1973, durant le mandat de Pompidou.
Mitterrand s'était dit pour le quinquennat mais n'a rien fait pour le mettre en place.
C'est en 2000 durant le mandat de Chirac que le quinquennat a été adoptée par referendum.
A moins que Chirac et Pompidou n'ait été secrètement de Gauche, je vois pas d'où te vient cette idée comme quoi le quinquennat serait une invention de la Gauche...
J'vois pas en quoi : Le referendum fut à l'initiative de Chirac et le quinquennat fut appliqué en 1er lors du second mandat de Chirac...VERNON a écrit :
Disons que c'est la Gauche qui l'a mis en pratique ; c'est dans ce sens là que je le pensais
Remettre la guillotine au goût du jour ?mordred a écrit : Nous sommes dans une vraie démocratie. Le Monde entier se réfugie chez nous; la Presse écrit ce qu'elle veut quand elle le veut vraiment. Nous avons oublié que nous sommes plus libres que les autres.
La Vème République est à abolir. Il faut restaurer le système politique tel qu'il existait durant les années 1792-1795 : une assemblée, des comités issus de l'Assemblée, des ministres qui font exécuter les lois, un Président de l'Assemblée élu pour quinze jours. Le Pouvoir appartient en majorité aux électeurs. Personne ne peut se l'attribuer durablement.
tu parles, on en porte encore la culpabilité d'avoir guillotiné un roiVERNON a écrit : Remettre la guillotine au goût du jour ?
C'est un détail de l'histoire !tisiphoné a écrit : tu parles, on en porte encore la culpabilité d'avoir guillotiné un roi
Lepeniste ?????oO-Maverick-Oo a écrit : C'est un détail de l'histoire !
17.000 guillotinésmordred a écrit : Nous sommes dans une vraie démocratie. Le Monde entier se réfugie chez nous; la Presse écrit ce qu'elle veut quand elle le veut vraiment. Nous avons oublié que nous sommes plus libres que les autres.
La Vème République est à abolir. Il faut restaurer le système politique tel qu'il existait durant les années 1792-1795 : une assemblée, des comités issus de l'Assemblée, des ministres qui font exécuter les lois, un Président de l'Assemblée élu pour quinze jours. Le Pouvoir appartient en majorité aux électeurs. Personne ne peut se l'attribuer durablement.