Fonck1 a écrit :
n'est dépends qui veut.
quand a l'apprentissage,certaines sociétés de respect ont réussit.
mais notre latinisme n'est pas en corrélation avec cela,nous préférons vivre comme des enfants gâtés et détruire.
les gens ne sont plus heureux parce qu'ils ne savent pas se satisfaire de ce qu'ils ont.
encore une fois,on confond besoin et besoins.
il faut aussi arrêter de dire que c'est toujours de la faute de l'autre...
Finalement, c'est la grande question...selon notre mode de pensée, chacun détient un libre arbitre et, donc, demeure responsable de ses actes. Ce qui, a bien y réfléchir, est un non sens total: difficile de rendre responsable un individu confiné dans l'assistanat et l'excitation perpétuelle de ses désirs. Politique sociale et politique économique sont deux amants incompatibles, la première est basée sur la fraternité, la seconde, sur la rivalité. Alors, réellement, est-ce que "n'est indépendant qui -
veut-?". Je doutes que cela ne soit qu'une question de volonté comme tu le sous-entend. Je dirais plutôt qui "-
peut- ?". De quelle facteur dépend la résistance au grand appel de l’hyper-consommation? . Dans le contexte actuel, l'éducation suffit-elle?, Quel est le facteur qui permettra à l'individu de dire "je refuse, je résiste" plutôt que "j'obéis inconsciemment, j'achète plus que je ne peux, plus que je n'ai besoin". L'économie est une jolie sirène qui sait nous chanter moultes merveilles dans le seul but de nous dévorer. Elle se nourrit de notre vénalité. A travers tes affirmations, tu poses de bonnes questions!...: pourquoi "les gens ne savent-ils pas se satisfaire de ce qu'ils ont"?. Pourquoi ce "On" confond-il besoin et besoins?.
