Ca j'en doute. Comme dirait ce pourri de Kissinger "Les grandes puissances n'ont pas de principes, seulement des intérêts"Johan a écrit : Un pays de la honte sans qui on parlerait tous allemand à l'heure qu'il est...
C'est quoi le rapport ?CrazyMan a écrit : Ca j'en doute. Comme dirait ce pourri de Kissinger "Les grandes puissances n'ont pas de principes, seulement des intérêts"
Comme l'est la puissance dominante de chaque période : La Macédoine de Alexandre au IVème siècle avant notre ère, les Achémides au Vème, l'Empire Romain, les Omeyyades au VIIIème Siècle après JC, Les Espagnols (voire les Portugais) aux XVIème, Les Français sous Napoléon, etc...Les Etats-Unis est le pays de la guerre que tu le veuilles ou non.
1-Les Russes ont livré des batailles en Europe de l'est que les américains n'auraient jamais gagné. (Regarde le Vietnam, Irak, Afghanistan) qui envahit qui et qui s'en va la queue basse les USA.Johan a écrit :
1-Sans les USA, les russes n'auraient pas put finir le boulot tout seul. La déroute du Reich provient essentiellement du fait qu'il a été attaqué sur 2 fronts. S'il n' y avaient eu qu'un font que ce soient le russes ou les alliés, ils auraient été repoussés.
2-Les USA prêt à pactiser avec Hitler. Sauf que celà ne s'est jamais fait.
L'histoire retient les faits qui se sont produits, pa les trucs qui auraient put se produire.
Pour le Portugal ils ont été jusqu'en 1972 dans leurs colonies en Afrique auxquelles ils ont rendu l'indépendance.Johan a écrit :
Comme l'est la puissance dominante de chaque période : La Macédoine de Alexandre au IVème siècle avant notre ère, les Achémides au Vème, l'Empire Romain, les Omeyyades au VIIIème Siècle après JC, Les Espagnols (voire les Portugais) aux XVIème, Les Français sous Napoléon, etc...
Mais parler russe, ce n'est pas meilleur. Objectivement, je préfère, parler allemand que russe à voir le développement de ces deux pays... À l'époque, cependant, il est vrai qu'une grande partie rêvait de parler le russe, et par conséquent, ils se mirent à haïr les américains. Pourtant, Staline ou Hitler, c'était kif kif. On constate simplement qu'un grand pourcentage de français ont choisi le nazisme et un autre grande pourcentage le stalinisme. En regard de ces fautes, je ne vous trouve pas en si bonne position pour donner des leçons aux ricains.Johan a écrit : Un pays de la honte sans qui on parlerait tous allemand à l'heure qu'il est...
mais ça, c'est avant ou après que t'aies fait le vietnam ?GEORGES a écrit : Pour le Portugal ils ont été jusqu'en 1972 dans leurs colonies en Afrique auxquelles ils ont rendu l'indépendance.
Contraints à leur abandon non pas comme on nous l'a présenté à cause des communistes, mais bien à cause des USA.
Les conflits en Angola et Mozambique surtout de part les richesses en sous-sol (pétrole, uranium, diamants, or, gaz, le tout juste en se baissant sans quasiment avoir à creuser) ont fait l'objet de manipulations habituelles.
Les soldats de l'Unita angolaise étaient dirigés par des soldats noirs US, (j'ai des plaques US marines que les cousins à ma mère ont ramené des embusacdes qu'ils dressaient aux soldats portugais envoyés par le trou du cul néo -nazi Salazar).
Voilà des faits. pas des racontards de journalmerdeux.
Avant d'arriver en France à l'âge de 11 ans j'ai vécu de 1961 à 1965 à Luanda, capitale de l'Angola. Mon père travaillait dans l'extraction du minerai d'uranium pour une compagnie nationale portugaise qui a été une des premières à être confisquée par les USA en 1970.
Quand je vous dit que j'ai beaucoup bourlingué, je n'y peux rien.tisiphoné a écrit :
mais ça, c'est avant ou après que t'aies fait le vietnam ?
La Gaule n'était pas un pays, et les Francs n'avaient pas de pays...Johan a écrit :
Peu de pays qui ne se ssont pas délivrés d'une occupation étrangère ? A ma connaissance, les Gaulois ne se sont pas délvrés des Romains? Et les Gallo-romains ne se sont pas délivré des Francs.
Selon deux sondages nationaux publiés lundi, Barack Obama a perdu son avance sur Mitt Romney après le premier débat qui a opposé les deux hommes mercredi dernier. L'une des deux enquêtes donne même le président américain devancé de quatre points par son rival républicain. Des résultats toutefois à relativiser, en raison du mode du scrutin présidentiel américain.
Le débat de mercredi a-t-il changé la donne? Selon deux sondages nationaux publiés lundi, Barack Obama - dont la prestation a été critiquée - a en tout cas perdu l'avance dans les intentions de vote dont il disposait sur son adversaire républicain Mitt Romney. Des enquêtes qui, si elles marquent une nette tendance, ne préjugent en rien du futur résultat du scrutin, puisqu'elles se réalisent à l'échelle de l'ensemble du pays.
Selon une enquête Pew diffusée lundi après-midi, le président américain est dépassé de quatre points (49% contre 45%) chez les électeurs dits "probables", ceux qui sont le plus susceptibles de voter. Les courbes se sont donc inversées, puisque les électeurs disaient préférer Barack Obama à Mitt Romney (51% contre 43%) lors de la dernière enquête, mi-septembre. A noter toutefois que l'écart entre les deux prétendants à la Maison-Blanche reste dans la marge d'erreur.
Obama toujours en tête dans les États clés
Toujours selon cette étude, les deux candidats se retrouvent à 46% des voix chacun chez les électeurs inscrits. Barack Obama perd ainsi cinq points dans les intentions de vote depuis la mi-septembre, et son adversaire en gagne quatre. Une tendance confirmée par l'enquête Gallup publiée lundi, qui donne Mitt Romney et Barack Obama à égalité dans les intentions de vote, à 47%, alors que jusqu'ici, le sortant avait maintenu un écart de quatre à six points sur son adversaire avant le débat. Des chiffres qui laissent penser que le débat de mercredi soir à Denver a réduit l'écart entre les deux rivaux. Selon un sondage Gallup, le face à face entre les deux hommes a été remporté par le candidat républicain pour 72% des personnes interrogées.
Reste que les sondages sur les intentions de vote à l'échelle nationale ne préjugent pas du résultat de l'élection du 6 novembre, dont le scrutin est spécifique puisqu'il est organisé État par État. Seul le vote des grands électeurs (répartis en fonction de la population) dans huit à dix États clés sera décisif.
Selon les dernières enquêtes locales, Barack Obama garde une avance, parfois très courte, sur Mitt Romney, malgré un resserrement des intentions de vote. Le républicain est passé en tête en Floride, Virginie et Caroline du Nord, à en croire la dernière livraison de Rasmussen Reports. Cela reste toutefois encore insuffisant pour obtenir plus de 270 grands électeurs, le seuil à franchir pour remporter l'élection.
Sans blague! Tu crois vraiment à ce que tu dis? Non, je sais, tu taquines les forumeurs...NSC a écrit : Mais qu'est ce qu'on en a a faire de ces elections a l'etranger, ce n'est pas un changement de president des etats unis qui peut changer ou pas la vie des francais.
