Fonck1 a écrit :encore une certaine relativité qui t'appartient : l'éducation et la culture de chaque ethnie lui appartient,qui sommes nous pour juger de ce que font les autres?
la nature veut qu'une femme émancipée soit enfantée pour faire perdurer la vie.la base morale après de l'age,c'est l'être humain qui la met.
je ne dis pas que c'est bien ou mal,je dis qu'au niveau de l'échelle de l'humanité,les occidentaux ne sont pas "le bien" et les autres "le mal".
le sociétal s'inscrit dans l'histoire d'une culture,c'est ainsi.
aujourd'hui,des zones tribales pratiquent encore des façons de faire qui pour nous sont aberrantes,et pour eux normales.
le meurtre pour vous est aberrant,pour d'autre,c'est une façon de faire parler la force et se protéger,mais aussi de protéger sa famille d'éléments extérieurs tels l'occident.
qui sommes nous donc pour juger ce qui est bien ou mal? c'est quoi la base, la bible?

le coran?

la justice?

Les occidentaux ne sont peut être pas le "bien" et les autres "le mal" mais en tout cas je préfère vivre dans une société où les libertés fondamentales (sociales, politiques, cultes, expression etc.) sont respectées, où il y a une justice équitable, une éducation non biaisée et ouverte à tous etc.
Aujourd'hui en tant qu'occidental, ayant reçu une éducation tant sur le plan familial que scolaire je pense qu'on ne peut pas dire "il faut respecter les gens qui tuent ou qui violent, c'est dans leur culture".
Même si bien sûr, Il y a des choses subjectives qui ne nous permettent pas de dire que quelque chose est seulement bien ou mal.
Le problème dans les pays qui ont notamment connu une "révolution" (Tunisie, Libye, Égypte) est le manque d'éducation pour les jeunes ou alors le fait qu'elle soit faussée. Sans éducation ces pays n'évolueront jamais positivement malgré ces évènements politiques....
“Ce n’est pas de la bienveillance du boucher ou du boulanger que nous attendons notre dîner, mais plutôt du soin qu’ils apportent à la recherche de leur propre intérêt. Nous ne nous en remettons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme.” Adam Smith