Du fantasme à la réalité, il n'y parfois qu'un pas. Voire un iPad, pour certains élèves de l'école Highland à Anderson dans l'Indiana, aux États-Unis. Ceux-ci ont en effet eu la (désagréable?) surprise de tomber sur des photos de la poitrine dénudée de leur professeure, rapporte la presse locale.
Lors d'un cours consacré à l'utilisation de la célèbre tablette numérique, la professeure aurait accidentellement synchronisé son iPhone avec les iPad de ses élèves.
Ces derniers, voyant apparaître un nouveau dossier sur leurs écrans, ont alors tout naturellement cliqué. Et là, le contenu affiché s'est révélé plutôt explicite. «La photo montrait l'enseignante seins nus», a en effet déclaré Joshua Troutt, 13 ans.
Mal à l'aise, la professeur se serait alors énervée, allant jusqu'à menacer les quatre élèves qui se trouvaient devant l'écran tactile au moment où les clichés sont apparus.
Les quatre jeunes ont ainsi été suspendus et menacés d'être exclus de l'établissement scolaire. Une décision choquante, selon la mère de Joshua Troutt, qui estime que c'est l'enseignante qui aurait dû être sanctionnée.
Sauf que la direction de l’école a confirmé que les sanctions envers les élèves ne seraient pas changées, même si d’éventuelles mesures visant l’enseignante maladroite seraient à l’étude au sein de l’établissement.
Quant aux photos, elles n’ont pas été jugées pornographiques par la police, qui n’a donc pas engagé de poursuites contre la professeur.
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
Prendre des photos osées de soi-même n'est pas sans risque, même si vous les gardez dans votre téléphone. Une cliente de Verizon en Floride, l'un des plus importants opérateurs mobiles américains, en a fait la désagréable expérience, selon le site The Smoking gun.
Spécialisé dans la publication de documents judiciaires, le site a mis en ligne un procès-verbal racontant les faits allégués. D'après la plainte, Joshua Stuart, 24 ans, a aidé une femme à transférer ses données de son ancien portable à son nouveau téléphone. Mais sans l'en informer, l'employé de Verizon copie certaines photos pour son usage personnel, et les transfère à un de ses collègues, Gregory Lampert, 26 ans. Au total, les deux employés auraient téléchargé 22 photos.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. La cliente n'est pour le moment au courant de rien, mais Joshua Stuart aurait alors proposé à un autre client venu mettre à jour son téléphone... de lui montrer les photos en question. Ne les trouvant plus sur son ordinateur, il appelle donc Gregory Lampert, qui les a lui conservées sur son téléphone. Problème pour les deux employés: le client en question est un ami de la femme en photo. Celui-ci l'a donc prévenu directement, et la cliente a porté plainte.
D'après le rapport de la police, la cliente a décrit ces photos comme "très privées et, pour certaines, montrant ses seins nus et son vagin".
La police a retrouvé les photos sur un ordinateur portable et deux téléphones appartenant à Gregory Lambert. Celui-ci a avoué aux policiers avoir reçu ces photos. Il a par ailleurs rajouté avoir déjà copié illégalement d'autres photos de clients. Il a été arrêté par la police alors que Joshua Stuart n'était pas en Floride. Il devrait lui aussi être inculpé à son retour.
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
Vous êtes «une femme dynamique et motivée, ouverte à la nouveauté, aimant le plaisir intime et possédant une bonne condition physique»? Cette offre est peut-être pour vous. L’entreprise belge Soft Love propose en effet une offre d’emploi, pour devenir testeuse de sex toys, rapporte le site Essentielle.be.
Il s’agit d’un contrat à temps plein, pour une durée déterminée d’un an, «renouvelable en contrat à durée indéterminée par la suite», précise l’annonce. Le poste est à pourvoir en Belgique à partir du 1er janvier.
Reste à voir à quoi pourrait ressembler une journée de boulot. Car si aucun «diplôme ou spécialisation» n’est exigée, la «testeuse» devra faire preuve de «professionnalisme» dans sa tâche. Concrètement, «elle recevra une dizaine à une quinzaine de godemichés à tester par mois», explique Nicolas Bustin, le cofondateur du site Soft Love.
A elle, ensuite, de faire une «évaluation sensorielle des produits destinés à la consommation intime. Et rédiger ensuite «des rapports détaillés et comparer les produits testés à ceux qui existent sur le marché», précise l’offre.
Mais pas question pour autant de passer ses journées à «s’introduire» divers objets. Car outre les godemichés, la candidate retenue devra également «tester des produits érotiques en tout genre: bougies, lingerie, huiles de massage, lubrifiants, anneaux péniens, etc.».
Un compagnon pourrait donc être ponctuellement mis à contribution. «Le travail en couple est autorisé», précise d’ailleurs l’annonce. Quant à la lauréate, en plus d’un salaire de 1.350 euros net par mois avec un treizième mois, elle disposera également d’un ordinateur, d’un smartphone, et travaillera au sein de locaux de l’entreprise, à Wépion. Comme quoi, travail et plaisir peuvent faire bon ménage.
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
Un Thaïlandais de 50 ans s'étant injecté de l'huile d'olive dans les organes génitaux en espérant en augmenter la taille a dû subir une ablation de ces organes, a annoncé un hôpital de Bangkok, mettant en garde contre une pratique dangereuse se développant de plus en plus dans le pays.
L'homme avait reçu plusieurs injections il y a cinq ans, mais ce n''est qu'il y a trois semaines qu'il a été contraint de consulter, suite à une infection. Les médecins ont alors décelé un cancer.
La pratique d'injection d'huile d'olive, de cire d'abeille ou de silicone dans le pénis semble relativement répandue en Thaïlande -30 à 40 patients par mois viennent consulter cet hôpital suite à de telles injections - bien qu'elle ne donne "que de mauvais résultats", a expliqué la lieutenant-colonel Sirikul Jiaranaikhajorn, porte-parole adjointe de l'hôpital général de la police. Elle a mis en cause l'ignorance et les mauvaises influences comme responsables de ces pratiques.
Selon elle, et contrairement à ce que relevait Atlantico il y a quelques semaines, "une femme n'aime pas un homme en raison de la taille".
Eve a écrit : de l'huile de l'olive ! Mais où vont-ils chercher ça ?
Il y a une méthode qui peut marcher,et elle est tout à fait naturelle souffler dedans mais pas trop sinon, il y a un risque d'explosion
Bah, faut souffler dessus alors ?
"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."