1-Petit retour en arrière 1972 à Chicago un loi internationale est pondue par une bande de banquiers d'escrots qui interdit aux états occidentaux d'emprunter de l'argent auprès de leurs banques nationales respectives.Jarod1 a écrit :
1-Ce sont les Etats eux-mêmes qui ont confié l'émission de monnaie à la BCE "indépendante", décision dont on peut éternellement discuter le bienfondé.
2-Et ce sont les Etats eux-mêmes qui se sont endettés plus que de raison sur les marchés.
3-A tout point de vue, la responsabilité des Etats est totale.
4-Après, il faut assumer un rapport de force.
Mai 1974 élection de VGE par qui tout va commencer, il fera votre par sa majorité au parlement cette loi qui interdira à la BF de prêter à l'état.
Les crétins de technocrates européens n'ont fait qu'appliquer lors de la création de l'euro le même principe stupide, créer la BCE sur le même principe et ainsi affaiblir l'économie de la zone euro, la BCE et non aux banques privées à ce taux pour qu'ensuite ces mêmes bandits prêtent aux états à 6 ou 7%.
2-La dette est créée par les intérêts que tu rembourses aux voleurs cela s'appelle du raquet.
3-La responsabilité des états réside dans le fait qu'ils font voter des lois qui protègent les bandits en col blanc.
4-Le rapport de force est simple, un état peu et a le devoir de nationaliser les banques que nous avons renflouées pour qu'elles continuent à voler les peuples en imposant l'austérité partout et en réduisant les acquis que nos anciens ont obtenu.
Ce n'est pas en détruisant ce qui a ét conçu que le pays se relèvera, c'est en l'améliorant.
Seul problème c'est que les avnacées ne font que faire reculer le niveau de vie des citoyens.
Ne rêvez pas la lutte des classes existe bien, c'est même un millardaire qui l'a dit Warren Buffet.
Et pour l'instant se sont les très riches qui sont en train de l'emporter.
SI vous voules que vos enfants et petits enfants aient une vie encore plus misérable que celle que vous vivez il faut surtout continuer à croire aux ânneries racontées par les politicards, rapportées dans la presse et martellées sur les ondes.
