Je constate que certain(e)s, en ces lieux, sont prêts à se faire aussi cruel(le)s que ce qu'ils dénoncent!. Ces parents sont, sans aucun doutes possibles, des déficients mentaux atteint d'une carence émotive plus que flagrante. D'où leur absence d'humanisme, leurs actes et leurs pensées gerbogenes pour le commun des mortels dont je fais parti. Cependant, je suis contre la peine de mort même en l'absence de remords. Ôter la vie à celles et ceux qui ôtes la vie relève d'un non sens-moral et psychologique voir d'une vindicte populaire tout aussi absurde. Finalement, cela revient à se rabaisser aux mêmes pulsions meurtrières. Certes, on a d'un côté une pulsion sadique et de l'autre une pulsion vindicative...mais le résultat est le même. La peine de mort ne ramène pas la défunt ni ne soulage une perte aussi cruelle. Sans cautionner la peine de mort on peut tout de même admettre la pénitence à perpétuité en centre de détention adapté. Il est peut-être temps de revisionner notre système pénale et surtout carcérale. Quid des prisons psychiatriques?...
"Dans mon parti y a qu'moi et c'est déjà l'merdier!" H.Tachan
En ce qui concerne le supplice des enfants OUI, même pire, bien que le pire ne puisse pas y être, puisqu'elle est morte.
Les parents n'ont aucune excuse, trop facile de dire qu'ils sont fous.
Eve a écrit : En ce qui concerne le supplice des enfants OUI, même pire, bien que le pire ne puisse pas y être, puisqu'elle est morte.
Les parents n'ont aucune excuse, trop facile de dire qu'ils sont fous.
Qui te parle de "pardon" ou d'"excuse"?
Expliquer ou comprendre un meurtre, aussi abominable soit-il, ce n'est pas le pardonner!. Voila une notion judéo-chrétienne qui n'a rien a faire ici!. Il s'agit juste de ne pas se laisser submerger par la même haine que l'on condamne à travers une vindicte tout aussi cruel!...
"Dans mon parti y a qu'moi et c'est déjà l'merdier!" H.Tachan
La folie au sens ou nous l'entendons est trop mise en avant par les psy. Ce qui m'oblige à dire que nous assistons à une justice médicale, tout aussi contestable d'ailleurs. Ce mot est trop vague et s'applique trop systématiquement. Peut on être fou une minute et redevenir normal la minute d'après ? Il faut admettre que certains humains ne sont que des monstres réfléchis, bien loin du cliché de la folie qui abolirait ses agissements.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
il n'est nullement question de folie ici, c'est le résultat certainement de la part de ces deux bourreaux de maltraitances quand eux même devaient être enfants, c'est aussi le produit d'une non éducation, sans garde fou, sans morale, ce couple est désocialisé, en perte de repaires; je ne sais pas si la prison peut quelque chose pour eux.
tisiphoné a écrit : il n'est nullement question de folie ici, c'est le résultat certainement de la part de ces deux bourreaux de maltraitances quand eux même devaient être enfants, c'est aussi le produit d'une non éducation, sans garde fou, sans morale, ce couple est désocialisé, en perte de repaires; je ne sais pas si la prison peut quelque chose pour eux.
On peut avoir eu une enfance désastreuse et être des parents exemplaires. Ne cherchons pas toujours dans les méandres du passé pour expliquer un comportement. Les circonstances atténuantes peuvent être ressenties comme une faiblesse. Trop simpliste à mon sens de pointer du doigt une enfance malheureuse qui se reproduirait sur ses propres descendants. Auquel cas, il faut refuser d'être parent si d'aventure on ressent que cela risque de déraper.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
scorpion3917 a écrit :
On peut avoir eu une enfance désastreuse et être des parents exemplaires. Ne cherchons pas toujours dans les méandres du passé pour expliquer un comportement. Les circonstances atténuantes peuvent être ressenties comme une faiblesse. Trop simpliste à mon sens de pointer du doigt une enfance malheureuse qui se reproduirait sur ses propres descendants. Auquel cas, il faut refuser d'être parent si d'aventure on ressent que cela risque de déraper.
scorpion3917 a écrit :
On peut avoir eu une enfance désastreuse et être des parents exemplaires. Ne cherchons pas toujours dans les méandres du passé pour expliquer un comportement. Les circonstances atténuantes peuvent être ressenties comme une faiblesse. Trop simpliste à mon sens de pointer du doigt une enfance malheureuse qui se reproduirait sur ses propres descendants. Auquel cas, il faut refuser d'être parent si d'aventure on ressent que cela risque de déraper.
ça n'excuse en rien, bien évidemment et des enfants martyrs ne reproduisent pas systématiquement le même schéma familial, fort heureusement sinon ce serait sans fin.
mais force est de constater que certains facteurs liés les uns aux autres, participent à ce genre de dérives.
parents absents ou pires
déscolarisation
manque de repaires
désocialisation, manque de tissu social
La violence physique, psychologique, la soumission sadique etc.... C'est dans tous les milieux sociaux il y a un livre paru actuellement ! le titre c'est : La Démesure de Céline Raphaël où elle raconte que son père était sadique, tyrannique, il voulait qu'elle soit une pianiste parfaite et elle a enduré les pires sévices et comment dénoncer ce père d'une situation très élevée, et Céline dit si j'avais dit mon calvaire personne ne m'aurait cru.....Maintenant Céline est médecin et pendant des mois elle n'avait pas toucher au piano, traumatisée qu'elle était.....