Une action inverse ?NSC a écrit : L'action de Sarkozy avait permis de limiter l'impact de la crise, difficile de chiffrer le role du bouclier fiscale.
Ce qui est sur c'est q'une action inverse au bouclier fait fuire les investisseurs.
La pression fiscale maximale avant le bouclier était de 80% ! Il était inutile d'en changer, dans les deux sens d'ailleurs.
De quels privilèges parles-tu ? Celui de rouler en Ferrari ? Celui d'avoir un yacht ? Celui d'avoir un villa à St Jean Cap Ferrat comme résidence secondaire ?NSC a écrit :Ce que tu es insultant envers ceux qui ont finances vos si beaux privilege.
quand les riches seront tous parti de France, il n'y aura plus personne pour investir ert c'est l'ensemble de votre societe qui s'ecroulera, alors uoi vous 'aurez plus de riche a traiter de cafard, mais surtout bvous n'aurez plus de pognons du tout.
Et comme je le répète souvent, nous n'avons pas forcément besoin d'investisseurs individuels pour financer notre économie (les banques d'ailleurs, elles servent à quoi ?), il suffit de mettre en avant l'investissement collectif. Nous pouvons tous être des investisseurs en puissance, nul besoin d'être aisé.
D'ailleurs si on basait notre économie plus sur le développement (autofinancement renforcé via une consommation renforcée) que sur l'endettement (soutenir l'investissement plutôt que la consommation), on en aurait encore moins besoin.
Non, nous n'avons pas le besoin vital que les personnes aisées restent en France. Elles peuvent être en revanche utile de temps en temps, bien qu'elles soient cher (l'investissement est en quelque sorte un prêt).