A cheval donné, les associations regardent les dents
A cheval donné, les associations regardent les dents
Viande de cheval : le recours aux plats litigieux divise les associations
Le Secours Catholique refuse catégoriquement de distribuer les plats cuisinés frauduleux.
Certaines associations caritatives, dont le Secours Catholique, refusent de distribuer aux pauvres frappant à sa porte les plats cuisinés retirés de la vente pour étiquetage mensonger. Pourtant, une réglementation initiée par Christine Boutin en 2009, prévoit le don des denrées alimentaires présentant un défaut d'étiquetage.
Très catégorique, Bernard Schricke, directeur du Secours Catholique en France, estime que « c'est une question de dignité humaine. Pourquoi les plus pauvres accepteraient-ils des produits qui n'ont pas été jugés dignes d'être vendus aux autres consommateurs ? » Moins actif sur la distribution de repas que les autres associations caritatives, le Secours Catholique explique qu'il « préfère les bons d'achat permettant aux personnes en difficulté de choisir elles-mêmes leur alimentation ». Depuis des années l'association milite en faveur d'aides financières plutôt que d'aide alimentaire. « Les gens ont besoin d'argent, pas de produits dont les autres ne veulent pas. » En outre, rappelle Bernard Schricke : « Les plus démunis ne disposant pas de micro-ondes, les plats surgelés ne sont leur sont d'aucune utilité. »
De leurs côté, Les Restos du coeur ne feront « rien sans un décret du ministère de l'Agriculture garantissant la qualité sanitaire des produits ». La Croix Rouge a les mêmes exigences en termes de sécurité des produits et demande que la nature de la viande soit spécifiée.
La découverte de nouvelles fraudes ne peut être exclue
En revanche, le Secours Populaire se dit prêt à organiser la distribution des quelques 4,5 millions de plats retirés des rayons pour étiquetage frauduleux. A condition, précise son directeur, Julien Auprêtre, que les services habilités apportent « toutes les garanties quant à la sécurité des produits » et qu'ils soient « correctement étiquetés ». Julien Auprêtre précise en outre que compte tenu de la logistique à déployer pour récupérer et distribuer la marchandise, « une aide financière sera nécessaire ». Cela étant, la priorité du Secours Populaire est d'éviter que de « la marchandise jugée saine ne soit détruite ». L'organisation a distribué 186,6 millions de repas en 2012.
Interrogé sur RMC, le ministre délégué à la Consommation, Benoit Hamon, a précisé qu'il appartient « aux associations de décider si oui ou non elles acceptent ces dons ». Celles qui « bénéficieront de ces produits » devront être informées de leur contenu.Le ministre a reconnu qu'un tel don peut être coûteux pour ces associations, notamment dans le cas des produits surgelés qui requièrent un transport frigorifique.
Dans la foulée du PDG de Picard, Philippe Pauze, qui a déclaré hier aux « Echos » que « d'autres fraudes sont à prévoir », Benoit Hamon a reconnu que, dans la mesure où les contrôles étaient très étendus, la découverte de nouvelles fraudes ne pouvait être exclue. Il a promis en outre que le montant des sanctions contre les auteurs de tromperie économique dans l'alimentaire serait « multiplié par dix » dans le projet de loi de la Consommation qu'il présentera en avril.
Par ailleurs, la société Spanghero, en première ligne dans le scandale de la viande de cheval, a déposé hier plainte contre X auprès du procureur de la République de Paris, pour tromperie et escroquerie.
Le Secours Catholique refuse catégoriquement de distribuer les plats cuisinés frauduleux.
Certaines associations caritatives, dont le Secours Catholique, refusent de distribuer aux pauvres frappant à sa porte les plats cuisinés retirés de la vente pour étiquetage mensonger. Pourtant, une réglementation initiée par Christine Boutin en 2009, prévoit le don des denrées alimentaires présentant un défaut d'étiquetage.
Très catégorique, Bernard Schricke, directeur du Secours Catholique en France, estime que « c'est une question de dignité humaine. Pourquoi les plus pauvres accepteraient-ils des produits qui n'ont pas été jugés dignes d'être vendus aux autres consommateurs ? » Moins actif sur la distribution de repas que les autres associations caritatives, le Secours Catholique explique qu'il « préfère les bons d'achat permettant aux personnes en difficulté de choisir elles-mêmes leur alimentation ». Depuis des années l'association milite en faveur d'aides financières plutôt que d'aide alimentaire. « Les gens ont besoin d'argent, pas de produits dont les autres ne veulent pas. » En outre, rappelle Bernard Schricke : « Les plus démunis ne disposant pas de micro-ondes, les plats surgelés ne sont leur sont d'aucune utilité. »
De leurs côté, Les Restos du coeur ne feront « rien sans un décret du ministère de l'Agriculture garantissant la qualité sanitaire des produits ». La Croix Rouge a les mêmes exigences en termes de sécurité des produits et demande que la nature de la viande soit spécifiée.
La découverte de nouvelles fraudes ne peut être exclue
En revanche, le Secours Populaire se dit prêt à organiser la distribution des quelques 4,5 millions de plats retirés des rayons pour étiquetage frauduleux. A condition, précise son directeur, Julien Auprêtre, que les services habilités apportent « toutes les garanties quant à la sécurité des produits » et qu'ils soient « correctement étiquetés ». Julien Auprêtre précise en outre que compte tenu de la logistique à déployer pour récupérer et distribuer la marchandise, « une aide financière sera nécessaire ». Cela étant, la priorité du Secours Populaire est d'éviter que de « la marchandise jugée saine ne soit détruite ». L'organisation a distribué 186,6 millions de repas en 2012.
Interrogé sur RMC, le ministre délégué à la Consommation, Benoit Hamon, a précisé qu'il appartient « aux associations de décider si oui ou non elles acceptent ces dons ». Celles qui « bénéficieront de ces produits » devront être informées de leur contenu.Le ministre a reconnu qu'un tel don peut être coûteux pour ces associations, notamment dans le cas des produits surgelés qui requièrent un transport frigorifique.
Dans la foulée du PDG de Picard, Philippe Pauze, qui a déclaré hier aux « Echos » que « d'autres fraudes sont à prévoir », Benoit Hamon a reconnu que, dans la mesure où les contrôles étaient très étendus, la découverte de nouvelles fraudes ne pouvait être exclue. Il a promis en outre que le montant des sanctions contre les auteurs de tromperie économique dans l'alimentaire serait « multiplié par dix » dans le projet de loi de la Consommation qu'il présentera en avril.
Par ailleurs, la société Spanghero, en première ligne dans le scandale de la viande de cheval, a déposé hier plainte contre X auprès du procureur de la République de Paris, pour tromperie et escroquerie.
Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
Rappelons que dans cette histoire la qualité des plats surgelés n'ont ,a aucun moment, mise en doute . Il n'y a eu que "tromperie" sur l'origine de la viande...Alors pourquoi faire la moue.....,,
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
Une fraude pouvant en cacher une autre, je comprends la méfiance. On nous dit que Il n'y a eu que "tromperie" sur l'origine de la viande mais on a seulement testé cela.LOFOTEN a écrit : Rappelons que dans cette histoire la qualité des plats surgelés n'ont ,a aucun moment, mise en doute . Il n'y a eu que "tromperie" sur l'origine de la viande...Alors pourquoi faire la moue.....,,
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
c'est bon pour les pauvres de manger du cheval bourré d'antibiotiques, vraiment ils sont difficiles 
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
D'un autre côté, leur refiler des trucs que les "non pauvres" ne veulent plus, c'est moyennement cool, donc ils veulent des sous.
Sauf qu'on est moins généreux à filer un plat mal étiquetté que des euros.
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"disons que la chine est un pays particulier,c'est sur,tout le monde a du travail,et ceux qui ne savent rien faire au lieu d'attendre que ça passe balayent les autoroutes.
on ne sait pas trop à quoi ca sert,mais au moins,ils travaillent."
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
C'est grave, s'il n'y a aucun problème pour la santé, pourquoi priver les gens pauvres ?
C'est du gâchis.
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
les pauvres ne doivent pas savoir qu'ils sont pauvres sinon il serait moins exigeant,
qu'ont ne leur donne plus rien et il Verront s'il veut toujours jouer les difficiles il ne doive pas avoir si faim que ça leur pauvre.
on en arrive pratiquement à préférer jeter la nourriture sous pretesque plutôt qu'à le refile à des personnes dans le besoin.
Ça devient pitoyable
qu'ont ne leur donne plus rien et il Verront s'il veut toujours jouer les difficiles il ne doive pas avoir si faim que ça leur pauvre.
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
les pauvres ne doivent pas savoir qu'ils sont pauvres ?? Il faut ne pas l'être pour dire une telle énormité.Hyroka a écrit : les pauvres ne doivent pas savoir qu'ils sont pauvres sinon il serait moins exigeant,
qu'ont ne leur donne plus rien et il Verront s'il veut toujours jouer les difficiles il ne doive pas avoir si faim que ça leur pauvre.
on en arrive pratiquement à préférer jeter la nourriture sous pretesque plutôt qu'à le refile à des personnes dans le besoin.
Ça devient pitoyable
Entre ne pas jouer les difficiles et accepter de se faire empoisonner, il y a une nuance.Manger du cheval bourré d'antibiotiques
serait bon pour la santé? Goûtez les premiers messieurs qui n'ont pas de problèmes.
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
alors c'est poubelle
de plus je crois pas qu'il est question d'empoisonnement mais de problème d'étiquetage.
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
C'est vrai mais compte tenu des fraudes en cours, il est normal d'être méfiant.Hyroka a écrit : alors c'est poubele
de plus je crois pas qu'il et question d'empoisonnement.
Les associations accepteront les dons si un décret ministériel garantit que la viande est consommable. Sage précaution qui conduira sûrement a des tests. J'imagine mal le ministère prendre le risque de garantir sans investigations. On ne peut plus croire les fabriquants sur parole et ce, que l'on soit pauvres ou non.
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
Je rappelle que le scandale était sur la nature de la viande, pas sur sa qualité qui serait nuisible.
S'il y a avait eu de la viande toxique, on en aurait entendu parler, non ?
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Phénylbutazone dans la viande de cheval : quels sont les ris
Manumax a écrit : Je rappelle que le scandale était sur la nature de la viande, pas sur sa qualité qui serait nuisible.
S'il y a avait eu de la viande toxique, on en aurait entendu parler, non ?
"Phénylbutazone" : ce terme au nom barbare préoccupe les autorités sanitaires britanniques qui, depuis la mi-janvier, en recherchent des traces dans des lots de viande de cheval. Mais à quoi sert ce produit ? Pourquoi en donne-t-on aux chevaux ? Quels sont les risques pour l'homme ?
Avant de dériver sur des préoccupations d'ordre sanitaire, le scandale des plats préparés contenant de la viande de cheval était simplement un problème de tromperie sur la marchandise. Il avait démarré au Royaume-Uni avec la découverte, mi-janvier par les autorités irlandaises, que des hamburgers vendus dans des supermarchés au Royaume-Uni et en Irlande contenaient de la viande de cheval. Et c'est seulement après cette révélation que le scandale avait pris une dimension européenne, avec la révélation que des lasagnes Findus vendues sur le marché britannique, étiquetées comme lasagnes au boeuf, contenaient de la viande de cheval. Elles avaient été fabriquées par un sous-traitant français, Comigel.
Or les chevaux sont couramment traités au phénylbutazone - un antidouleur qui sert notamment à soulager leurs souffrances squeletto-musculaires, par exemple en cas de boitement. Auquel cas la viande des animaux ainsi traités devient officiellement impropre à la consommation humaine.
Un avis défavorable de la Haute Autorité de Santé
Le phénylbutazone est un anti-inflammatoire non-stéroïdien. Il n'est pas seulement réservé à un usage vétérinaire : il est également présent dans des médicaments destinés à des patients humains. On le trouve ainsi vendu sous le nom de Butazolidine ou de Dextrarine phénylbutazone. Dans ce dernier cas, il s'agit d'une pommade destinée au traitement local d'appoint des tendinites. Dans le cas de la Butazolidine, il s'agit de comprimés destinés à traiter les poussées aiguës de rhumatismes abarticulaires (péri-arthrite scapulohumérale, tendinites, bursites), d'arthrites microcristallines (goutte notamment), ou de radiculalgies sévères. En traitement de fond, ce médicament est aussi indiqué dans certains cas de rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment de la spondylarthrite ankylosante ou de syndromes apparentés tel que le syndrome de Fiessinger Leroy-Reiter ou le rhumatisme psoriasique.
Mais le phénylbutazone est aussi toxique pour les reins et les cellules sanguines. Il peut provoquer de graves réactions, troubles digestifs et hépatiques, voire des cas d'anémie asplasique, une diminution de la production de globules rouges, blancs et de plaquettes. La Haute Autorité de Santé a d'ailleurs rendu, en 2006 et en 2011, des avis défavorables au remboursement de la Butazolidine pour toutes ses applications, en soulignant "sa mauvaise tolérance, en particulier son risque hématologique grave". Au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, ce produit est interdit par principe de précaution, les autorités sanitaires ignorant à partir de quelle concentration il provoque un risque certain pour l'homme.
Des risques très limités
Faut-il donc s'inquiéter de la présence de phénylbutazone dans la viande de cheval retrouvée dans les produits Findus, et à l'origine d'un scandale qui éclabousse désormais plusieurs pays, dont la France ? Dès la mi-janvier, l'Agence britannique de sécurité alimentaire (la Food Standards Agency, ou FSA) s'est posé la question. Et elle a lancé une vaste série de contrôles. Incluant non seulement des vérifications sur les produits, mais aussi un vaste audit sur tous les abattoirs produisant de la viande de cheval au Royaume-Uni. Bilan de ces contrôles : si aucune trace de phénylbutazone n'a été retrouvée dans les produits Findus, sa présence a été détectée en revanche dans plusieurs carcasses de cheval provenant d'abattoirs du Royaume-Uni. Au moins six de ces carcasses auraient abouti sur le marché français.
La FSA a annoncé qu'elle allait "travailler avec les autorités françaises pour retrouver la trace" de ces carcasses. Mais le ministère britannique de la Santé se veut rassurant, et souligne que la viande contenant de ce produit "présente un très faible risque pour la santé humaine". Il ajoute : "aux niveaux auxquels il a été trouvé, une personne devrait manger 500 à 600 hamburgers par jour, composés à 100% de viande de cheval, pour se rapprocher de la dose quotidienne limite pour l'homme". La responsable des questions médicales au ministère de la Santé précise cependant que "chez les patients qui ont pris la phénylbutazone comme un médicament, il peut y avoir de graves effets secondaires, mais ils sont rares". Elle estime toutefois "extrêmement improbable que quelqu'un qui a mangé de la viande de cheval" contenant du phénylbutazone "soit victime de l'un de ces effets secondaires".
- sacamalix
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Re: A cheval donné, les associations regardent les dents
Imagine que dans un lot de produits au boeuf donné à une famille musulmane on retrouve du porc... L'antenne de l'association brûlera dans la semaine !!!LOFOTEN a écrit : Rappelons que dans cette histoire la qualité des plats surgelés n'ont ,a aucun moment, mise en doute . Il n'y a eu que "tromperie" sur l'origine de la viande...Alors pourquoi faire la moue.....,,
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
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