La définition je m'en fou. Pour moi ça reste de l'esclavage volontaire dans les faits. Esclave de la valeur capitaliste qu'est le travail si tu préfères. Cantonnes toi à tes définitions, je m'occuperais de penser pour toi.Johan a écrit : http://www.larousse.fr/dictionnaires/fr ... vage/30976
Par définition, l'esclavage suppose une contrainte. L'esclavage accepté n'existe pas.
dit elle au chaud,avec son ordi fonctionnant au nucléaire,comme 95% de ce qui nous entoure et favorise notre confort.avrilou a écrit : Merci Mordred de revenir à l'essentiel, à la triste réalité!
c'est la même chose,ils ont personne pour faire le boulot.Samir a écrit : Super la comparaison, les kamikazes existaient car le Japon n'avait plus assez de bombes pour les larguer en grand nombre, ainsi ils visaient mieux en s’écrasant ! Or ici où est le rapport, on peut très bien payer un personne pour un boulot, faut arrêter de dire n'importe quoi !
Johan a écrit : Il ne peut y avoir esclavage que s'il y a contrainte. Ici, les mecs acceptent de leur plein gré de faire ce qu'ils font. La culture japonaise met l'honneur a une place prépondérante. Un homme qui perd son honneur n'y est plus vraiment un homme. Et refuser de faire son travail, cela conduit au déshonneur.
Arrêtes de te masturber et de comparer les nippons a tes idéaux complètement abscons,s'il te plait.CrazyMan a écrit : Ba écoutes, ça devient de l'esclavage accepté alors. Le travail n'a rien avoir avec l'honneur, les japonais ont un culte de l'honneur bien particulier, mais ce culte existe depuis des milliers d'années le savez vous? Simplement que le travail, étant la valeur emblématique de notre monde actuel, a investi les valeurs japonaise. Personnellement, je vois la domination du système capitaliste qui s'étend même jusqu'aux traditions les plus vieilles, c'est triste.
Ca s'appelle la sociologie de la culture, l'investissement des valeurs, des traditions par le capitalisme est un phénomène réel. Historiquement il faut savoir que le hashich a quand même était prohibé par peur de voir la productivité des hommes diminuer.
mets toi y au boulot,tu verras,c'est pas si grave que ça,je dirais même que ça élève l'homme.CrazyMan a écrit : La définition je m'en fou. Pour moi ça reste de l'esclavage volontaire dans les faits. Esclave de la valeur capitaliste qu'est le travail si tu préfères. Cantonnes toi à tes définitions, je m'occuperais de penser pour toi.
C'est la meme chose ??? Je viens de te monter que non ! Ins ont personne pour faire le boulot ???? J'ai pas compris ! Où est le rapport avec le fait qu'ils doivent etre payés ?Fonck1 a écrit : c'est la même chose,ils ont personne pour faire le boulot.
La vision du travail actuelle et l'investissement du capitalisme dans la sphère culturelle a une importance, commences par dire moins de conneries et après tu pourras me faire des leçons.Fonck1 a écrit :Arrêtes de te masturber et de comparer les nippons a tes idéaux complètement abscons,s'il te plait.
"l'esclavage accepté",j'ai jamais rien lu de si rigolo
ne compare pas le capitalisme a tout cela,ça n'a rien a voir.ni le hashich qui rends débile mental,je ne vois pas ce que ça vient foutre dans ce débat.
Ca dépend de la nature du travail effectué. De toute manière je ne vois pas pourquoi je parle avec toi puisque tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez, on te dit il faut travailler donc tu dis que le travail est la seule manière de relancer l'économie. Peut être bien que c'est la seule manière de relancer notre économie actuelle, mais je ne suis pas sur que nous ne devrions pas passer à une économie différente.Fonck1 a écrit : mets toi y au boulot,tu verras,c'est pas si grave que ça,je dirais même que ça élève l'homme.
vas y,éclaires nous de ton génie économique....CrazyMan a écrit : Ca dépend de la nature du travail effectué. De toute manière je ne vois pas pourquoi je parle avec toi puisque tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez, on te dit il faut travailler donc tu dis que le travail est la seule manière de relancer l'économie. Peut être bien que c'est la seule manière de relancer notre économie actuelle, mais je ne suis pas sur que nous ne devrions pas passer à une économie différente.
ce que je sais,c'est que les branleurs ne produisent pas de travail,et que les branleurs comme toi coutent a la société.ceux qui produisent et travaillent au contraire,non seulement ils ont assez peu de problème a la fin du mois,mais en plus,ils s'emmerdent pas toute la journée à ressasser des conneries,ou dépenser de l'argent qu'ils n'ont pas en faisant des emprunts avec de l'argent qu'ils n'ont pas et qu'ils ne rembourseront jamais, à cofinoga.Nous avons besoin de personnes qui pensent à des choses nouvelles, nous n'avons pas besoins de gens qui ne font que ressasser la doctrine capitaliste et libéral, pour ça on a des tonnes de bouquins.
Restes dans les sciences dur, les sciences sociales (économie, sociologie, psychologie sociale, ...) semblent peu compréhensibles pour toi.
si c'est comme la raclure (25 ans !) qu'on vient de virer parce qu'il en foutait pas une (il faut le faire dans l'administration quand même),c'est même pas dit qu'il trouve un jour du travailSteph a écrit : Ben si, il va bien falloir qu'il bosse un jour
Je suis étudiant, et je ne coûte rien à l'état puisque je ne touche aucune bourse et que je dois travailler à côté de mes études gros malin.Fonck1 a écrit : ce que je sais,c'est que les branleurs ne produisent pas de travail,et que les branleurs comme toi coutent a la société.ceux qui produisent et travaillent au contraire,non seulement ils ont assez peu de problème a la fin du mois,mais en plus,ils s'emmerdent pas toute la journée à ressasser des conneries,ou dépenser de l'argent qu'ils n'ont pas en faisant des emprunts avec de l'argent qu'ils n'ont pas et qu'ils ne rembourseront jamais, à cofinoga.
Le reste,c'est des bouquins pour ceux qui s'emmerdent.
c'est dur,mais c'est la réalité.
Comme pour ces japonais qui vont bosser dans des conditions difficiles,dès fois a la limite,où une notion supérieure à celle du travail,entre en considération.
une distinction que tu ne connaitras probablement jamais.
