la France n'a pas d'intérêt à aller en Syrie, Hollande oui qui se voit en grand chef et qui veut redorer son blason comme au Mali, il se sent plus :roll:Johan a écrit : La France n'a pas d'intérêt particulier à aller en Syrie. Et c'est en cela qu'il serait légitime d'y aller : il ne s'agit pas de mettre la main sur les ressources naturelles du pays pour en faire profiter les grandes entreprises françaises au détriment du peuple syrien.
Il s'agit d'une opération désintéressée, pour signifier à Bashar et au reste du Monde que la France (et d'autres états) ne laisseront pas des dictateurs fouler aux pied les règlements internationaux au détriment de leur propres peuples.
la France doit-elle aller en Syrie?
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
c'est comme faire un tour au stand de tir à la fête foraine, ça impressionne c'est sure ...tisiphoné a écrit : la France n'a pas d'intérêt à aller en Syrie, Hollande oui qui se voit en grand chef et qui veut redorer son blason comme au Mali, il se sent plus :roll:
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Vous pensez vraiment qu'un président déclare une guerre pour "redorer son blason" ? J'ai pas une très haute opinion de Hollande, encore moins en ce qui concerne Sarkozy, mais je n'irai pas jusqu'à proférer des énormités semblables.
Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Tout est bon pour casser du sucre sur le dos de Hollande...Kelenner a écrit : Vous pensez vraiment qu'un président déclare une guerre pour "redorer son blason" ? J'ai pas une très haute opinion de Hollande, encore moins en ce qui concerne Sarkozy, mais je n'irai pas jusqu'à proférer des énormités semblables.
Et franchement, vous croyez vraiment que Hollande veut redorer son blason avec une intervention militaire que les français ne veulent pas ? S'il voulait redorer son blason, Hollande se poserait en adversaire N°1 de Obama et de cette intervention, comme l'avait fait Chirac en 2003 avec Bush...
Modifié en dernier par le parisien le 04 septembre 2013 13:27, modifié 1 fois.
Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Ce n'est certainement pas le critère exclusif, mais ces gens étant obsédé par la conquête du pouvoir et sa conservation, ça peut rentrer en jeu.Kelenner a écrit : Vous pensez vraiment qu'un président déclare une guerre pour "redorer son blason" ? J'ai pas une très haute opinion de Hollande, encore moins en ce qui concerne Sarkozy, mais je n'irai pas jusqu'à proférer des énormités semblables.
Quand les ricains attaquent l'Afghanistan, ils savent très bien que même en cas de victoire totale, cela ne mettra pas fin au terrorisme islamique. Mais l'opinion n'aurait pas compris qu'aucun châtiment ne soit mis en œuvre. Donc...
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Il est certain que le débat au parlement éclaircira les choses.Kelenner a écrit : Vous pensez vraiment qu'un président déclare une guerre pour "redorer son blason" ? J'ai pas une très haute opinion de Hollande, encore moins en ce qui concerne Sarkozy, mais je n'irai pas jusqu'à proférer des énormités semblables.
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Hier, j'ai parlé des cibles potentielles de frappes et des conséquences de ces frappes sur le capacité d'utilisation par Damas des armes chimiques.
http://www.forum-actualite.com/debats/l ... ml#p915654
A présent, un petit topo sur les forces Syrienne et leur capacité à se défendre face à de telles frappes.
Reste à savoir si cette source russe dit la vérité où si elle nous fait le même coup de que les USA en 91 qui nous présentaient l'Armée d'Irak comme la 4ème armée au Monde...
http://www.forum-actualite.com/debats/l ... ml#p915654
A présent, un petit topo sur les forces Syrienne et leur capacité à se défendre face à de telles frappes.
http://www.metronews.fr/info/en-cas-d-a ... SWCkM3GhM/Quels sont les moyens de l'armée syrienne?
MOYEN-ORIENT : Suite aux menaces d'interventions de plus en plus insistantes qui émanent de l'Occident, Damas et ses alliés bombent le torse et se déclarent totalement prêts à riposter. Qu'en est-il réellement ? Focus sur les capacités militaires et les possibles stratégies du régime syrien en cas d'attaque.
Une source militaro-diplomatique russe citée par l'agence Interfax annonce la couleur : "Si l'armée américaine avec l'Otan lance une opération contre la Syrie, ce ne sera pas une victoire facile". La Syrie, contrairement à la Libye, disposerait notamment d'un puissant système de défense antiaérienne pour repousser des attaques.
Le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem s'est lui aussi voulu menaçant ce mardi : en cas de frappe militaire, son pays non seulement se défendra, mais utilisera pour ce faire "des moyens surprenants". Qu'en est-il réellement ?
"Les capacités de l'armée probablement divisées par deux"
Même si elle reste sur le papier l'une des plus importantes du monde arabe, l'armée syrienne a vu ses capacités divisées par deux depuis le début de la guerre civile selon l'International Institute for Strategic Studies (IISS, Londres). L'édition 2013 de son "Military Balance", dresse un état des forces armées restées loyales au gouvernement de Damas :
L'armée de métier : 178 000 soldats, dont 110 000 dans les forces terrestres, 5 000 dans la marine, 27 000 dans l'armée de l'air et 36 000 dans la défense aérienne. Elles montaient à 325 000 hommes en 2009. "Les capacités nominales d'avant guerre de l'armée ont probablement été divisées par deux en raison des défections, des désertions et des pertes", écrit l'IISS.
Les réservistes : 314 000 hommes dans l'armée de terre, 4 000 dans la marine, 10 000 dans l'armée de l'air, et 20 000 dans la défense anti aérienne .
Structure détaillée de l'armée de terre : sept divisions blindées, trois divisions d'infanterie mécanisée, deux divisions de forces spéciales (unités d'élites essentiellement constituées d'alaouites, communauté dont est issu le président Bachar al-Assad) et une division de la Garde Républicaine, l'unité la plus redoutable et la plus dévouée au régime.
Equipement : essentiellement d'origine russe voire soviétique, notamment les missiles, les 365 avions de combat, et les 4.950 chars. Damas dispose aussi d'[b]un important arsenal de missiles[/b], dont le commandement se trouve à Alep (Nord).
Une défense aérienne et anti-aérienne potentiellement efficace
Les forces de défense aérienne ont été les moins affaiblies par les combats et disposent de plusieurs milliers de missiles sol-air de fabrication russe, dont certains récents et potentiellement efficaces.
"Les systèmes de missile multifonctionnels sol-air Buk-M2E (un système antiaérien polyvalent mobile russe de moyenne portée) et d'autres moyens de défense antiaérienne que possède l'armée syrienne vont assurer une réponse appropriée aux agresseurs", a indiqué la source russe d'Interfax, qui a tenu aussi à préciser que la Syrie possédait actuellement jusqu'à 10 batteries de tels systèmes multifonctionnels, destiné à la défense de forces terrestres et de points vitaux (ponts, centre de communication, centrale électrique, etc).
Les éléments non-quantifiables : milices paramilitaires et alliés étrangers
A cause de la désorganisation due à la guerre civile, l'IISS ne s'estime pas en mesure de décompter les forces paramilitaires, qui jouent un grand rôle dans les affrontements contre l'insurrection. En 2009 elles étaient estimée à 108.000.
Le régime syrien argue que la Russie, le plus puissant allié de Damas, ainsi que l'Iran, ne les lâcheront jamais. Le Hezbollah, autre soutien de poids de Damas, est également susceptible d'agir en cas d'attaque. Le parti chiite libanais a déjà envoyé en Syrie un nombre indéterminé de ses miliciens soutenir le régime dans la guerre civile. L'Iran de même, y déployant notamment un certain nombre de ses pasdarans (unité d'élite du régime iranien).
Reste à savoir si cette source russe dit la vérité où si elle nous fait le même coup de que les USA en 91 qui nous présentaient l'Armée d'Irak comme la 4ème armée au Monde...
Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Oui, on se souvient des chars gonflables de Saddam. 
Mais l'idée n'est-elle pas de missiler de loin, donc hors de portée de la défense syrienne ? Ce sont peut-être plus les représailles qui sont à craindre (Liban, Israël) ???? Enfin, je ne suis pas général.
Mais l'idée n'est-elle pas de missiler de loin, donc hors de portée de la défense syrienne ? Ce sont peut-être plus les représailles qui sont à craindre (Liban, Israël) ???? Enfin, je ne suis pas général.
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
C'est effectivement le souci. D'autre part, il est illusoire de croire que la Syrie est seule.Jarod1 a écrit : Oui, on se souvient des chars gonflables de Saddam.
Mais l'idée n'est-elle pas de missiler de loin, donc hors de portée de la défense syrienne ? Ce sont peut-être plus les représailles qui sont à craindre (Liban, Israël) ???? Enfin, je ne suis pas général.
Poutine a certes mis un peu d'eau dans son vin mais il exige toujours des preuves convaincante.
Le ministre de la défense russe déclare que 10000 russes travaillent et habitent en Syrie et que bombarder la Syrie équivaudrait a attaquer ses ressortissants.
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
C'était pas des chars en carton ?Jarod1 a écrit : Oui, on se souvient des chars gonflables de Saddam.
Plus sérieusement, à vérifier mais il me semble que les missiles de croisières sont moins "fiables", moins "précis" que les missiles air-sols et qu'il sont davantage suceptibles d'être détruits par des systèmes anti-missiles.
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Quand on voit la lenteur d'escargot de l'occident empêtré dans les procédures machin-chouettes et en énième réunions blablateuses, on se demande si Bachar n'aura pas le temps de gazer touts les rebelles jusqu'au dernier, d'ici qu'un porte avion pointe son nez au abords de la Syrie.. 
Lion a écrit :
Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Hollande face à Bachar


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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
[imagezoom]http://www.courrierinternational.com/fi ... llande.jpg[/imagezoom]
Déterminé à intervenir en Syrie pour punir le régime de Bachar El-Assad, et faute d'avoir le feu vert du Conseil de sécurité des Nations unies, François Hollande a toujours affiché son souhait de former une véritable coalition internationale.
Mais avec le vote négatif du Parlement britannique et la surprenante décision de Barack Obama de demander l'accord du Congrès avant d'agir, les cartes ont changé, commente le quotidien espagnol La Vanguardia. François Hollande se retrouve désormais "seul, très seul dans la crise syrienne", ajoute le journal, qui explique que son seul allié, les Etats-Unis, se trouve de l'autre côté de l'Atlantique dans une position délicate. La France, selon La Vanguardia, serait d'ailleurs incapable de conduire seule cette intervention.
De plus, précise le quotidien, François Hollande ne peut même plus compter sur les Français, "hostiles pour 64 % d'entre eux à une intervention française en Syrie", et doit faire face à une opposition qui réclame un vote au Parlement.
http://www.lavanguardia.com/index.html
Ainsi, le dirigeant politique occidental qui avait proposé avec le plus de conviction d'intervenir en Syrie se retrouve finalement seul, abandonné par ses principaux alliés et par une opinion publique peu convaincue.
Déterminé à intervenir en Syrie pour punir le régime de Bachar El-Assad, et faute d'avoir le feu vert du Conseil de sécurité des Nations unies, François Hollande a toujours affiché son souhait de former une véritable coalition internationale.
Mais avec le vote négatif du Parlement britannique et la surprenante décision de Barack Obama de demander l'accord du Congrès avant d'agir, les cartes ont changé, commente le quotidien espagnol La Vanguardia. François Hollande se retrouve désormais "seul, très seul dans la crise syrienne", ajoute le journal, qui explique que son seul allié, les Etats-Unis, se trouve de l'autre côté de l'Atlantique dans une position délicate. La France, selon La Vanguardia, serait d'ailleurs incapable de conduire seule cette intervention.
De plus, précise le quotidien, François Hollande ne peut même plus compter sur les Français, "hostiles pour 64 % d'entre eux à une intervention française en Syrie", et doit faire face à une opposition qui réclame un vote au Parlement.
http://www.lavanguardia.com/index.html
Ainsi, le dirigeant politique occidental qui avait proposé avec le plus de conviction d'intervenir en Syrie se retrouve finalement seul, abandonné par ses principaux alliés et par une opinion publique peu convaincue.
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Re: la France doit-elle aller en Syrie?
C'est tellement vrai qu'on peut compter sur eux pour libérer la Lybie,l' Irak,l'Afghanistan, la Syrie.. 
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Lion a écrit :
Re: la France doit-elle aller en Syrie?
Ce sont aussi, 5 des septs plus puissantes économies au monde (les 2 autres étant l'Allemagne et la Japon) et les importations d'armes et de matériels militaires génèrent d'important revenus pour les entreprises de ces pays.
Si la France ne vendait pas d'armes à l'étranger, ça dégraisserait fort chez Dassault, GIAT, Nexter, Panhard, EADS, Eurocopter, etc...
Ceux qui souhaitaient un réel débat citoyen en sont pour leurs frais, on a eu droit, une fois de plus, à de la politique politicienne...
Si la France ne vendait pas d'armes à l'étranger, ça dégraisserait fort chez Dassault, GIAT, Nexter, Panhard, EADS, Eurocopter, etc...
Ceux qui souhaitaient un réel débat citoyen en sont pour leurs frais, on a eu droit, une fois de plus, à de la politique politicienne...
http://www.huffingtonpost.fr/2013/09/04 ... 67433.htmlLe débat sur la Syrie confirme les clivages partisans
Sans vote, le débat au Parlement sur la situation en Syrie aura également été sans surprise. Pendant plus de deux heures ce mercredi, aussi bien à l'Assemblée nationale qu'au Sénat, chaque groupe parlementaire (mais pas les députés non-inscrits) a pu exposer quelle est sa position sur les deux questions qui concentrent aujourd'hui les discussions : faut-il intervenir militairement contre Bachar el-Assad et le Parlement doit-il voter avant que François Hollande n'engage les troupes françaises?
Pour le gouvernement qui s'exprimait par la voix de Jean-Marc Ayrault à l'Assemblée et de Laurent Fabius au Sénat, il ne fait plus de doute que le régime de Damas est à l'origine du massacre chimique du 21 août. "Ne pas réagir, ce serait tolérer que demeure impuni un recours massif à l’arme chimique. Ne pas réagir ce serait mettre en danger la paix et la sécurité de la région toute entière", a lancé le Premier ministre. Pour lui, c'est justement cette action militaire "qui permettra une solution politique". Celle-ci devra déboucher sur le départ de Bachar el-Assad.
Et s'il a promis de tenir les parlementaires informés de l'évolution de la situation, le chef du gouvernement ne s'est pas attardé sur la question d'un vote préalable des députés et sénateurs. "Il faut garder au Président de la République la libre appréciation de décider", a lancé Jean-Marc Ayrault avant de conclure par un appel au rassemblement et à l'unité nationale.
Mais à entendre les élus de l'opposition réagir à son discours, il y a fort à parier que les lignes auront peu bougé après cette journée. Et seul le Parti socialiste est déterminé à signer un blanc-seing à François Hollande, bien que quelques députés de la majorité aient fait part de leur envie d'être consulté avant toute décision militaire.
EELV divisé mais majoritairement pour une action
Les autres composantes de la majorité sont moins prêtes à suivre le pouvoir les yeux fermés. Reconnaissant que son groupe n'était pas unanime, François de Rugy a cependant affirmé que la majorité des élus écologistes sont favorable au principe d'une intervention. "Ne rien faire conduirait à la radicalisation des parties prenantes", juge le co-président du groupe EELV. Il souhaite cependant que l'action soit précisée mais surtout qu'elle fasse l'objet d'un vote au Parlement. Sur ce point, tous les élus écolos sont bien d'accord.
Les radicaux de gauche sont sur la même longueur d'onde. Pour Paul Giacobbi, qui s'est exprimé à la tribune, "si nos frappes ont lieu, cela dissuadera la Syrie d'utiliser à nouveau des armes chimiques". Mais l'élu corse d'estimer qu'il n'y a désormais plus d'urgence à agir ; en conséquence il se prononce pour "un véritable débat qui devra se conclure par un vote".
Modifié en dernier par le parisien le 04 septembre 2013 21:56, modifié 1 fois.