Les français aiment pas leur travail !

[VERNON]

De la part de qui ?

De TOUS LES PARTENAIRES SOCIAUX

J'ai un beau-frère communiste : quand il voit un homme rouler en grosse cylindrée , il s'écrie " En 2 chevaux " ; il est partisan du nivelage par le bas

En France , les syndicats n'ont - ils pas l'habitude de faire descendre les gens dans la rue avant d'entamer des "négociations " ?

[Lion blanc]

De TOUS LES PARTENAIRES SOCIAUX

J'ai un beau-frère communiste : quand il voit un homme rouler en grosse cylindrée , il s'écrie " En 2 chevaux " ; il est partisan du nivelage par le bas

En France , les syndicats n'ont - ils pas l'habitude de faire descendre les gens dans la rue avant d'entamer des "négociations " ?

Mais attends, tu parle de quoi là ? Des grands mouvements nationaux, ou des conflits d'entreprise ?

[coincetabulle]

De TOUS LES PARTENAIRES SOCIAUX

J'ai un beau-frère communiste : quand il voit un homme rouler en grosse cylindrée , il s'écrie " En 2 chevaux " ; il est partisan du nivelage par le bas

En France , les syndicats n'ont - ils pas l'habitude de faire descendre les gens dans la rue avant d'entamer des "négociations " ?

tu choisis mal le sujet pour parler de lutte des classes et de syndicat bornés.

d'une, je ne suis pas syndiqué.
de deux, c'est bien la direction qui nous a superbement ignoré pendant plus d'un mois malgré nos 4 demandes d’entretien
de trois, c'est moi, au bout de ce temps qui ai fini par tomber sur le dos du directeur d'agence, qui m'a envoyé chier en déclarant que c'était comme ça et pas autrement et qu'il n'y avait pas lieu de discuter
de quatre, à aucun moment nous n'avons envisagé de mouvements de gréve
de cinq, il a fallut qu'on les menace de se barrer pour les faire réagir et commencer le dialogue.

alors le fantasme du patron vertueux face aux méchants travailleurs ça me fait bien marrer et surtout ça te fait perdre toute crédibilité. moi je te parle de la vrai vie, pas celle relaté dans le figaro.
un jour il faudra retirer tes œillères. l’extrémisme syndical démarre bien souvent avec les fins de non recevoir qu'on nous balance à la gueule à longueur de temps.

[Kelenner]

La vie ne fonctionne qu'en fonction de rapports de force, c'est peut-être triste, mais c'est comme ça. Si un syndicat ou un travailleur veut se faire entendre, il n'a aucune autre possibilité que de rechercher le conflit et de montrer son potentiel de "nuisance" au patron, sinon il n'obtient rien. Qu'on adhère ou pas aux théories de Marx, le concept de "lutte des classes" ne fait que décrire une réalité qui existe depuis la nuit des temps.

[coincetabulle]

il suffit pourtant de dialoguer.

[NSC]

tu choisis mal le sujet pour parler de lutte des classes et de syndicat bornés.

d'une, je ne suis pas syndiqué.
de deux, c'est bien la direction qui nous a superbement ignoré pendant plus d'un mois malgré nos 4 demandes d’entretien
de trois, c'est moi, au bout de ce temps qui ai fini par tomber sur le dos du directeur d'agence, qui m'a envoyé chier en déclarant que c'était comme ça et pas autrement et qu'il n'y avait pas lieu de discuter
de quatre, à aucun moment nous n'avons envisagé de mouvements de gréve
de cinq, il a fallut qu'on les menace de se barrer pour les faire réagir et commencer le dialogue.

alors le fantasme du patron vertueux face aux méchants travailleurs ça me fait bien marrer et surtout ça te fait perdre toute crédibilité. moi je te parle de la vrai vie, pas celle relaté dans le figaro.
un jour il faudra retirer tes œillères. l’extrémisme syndical démarre bien souvent avec les fins de non recevoir qu'on nous balance à la gueule à longueur de temps.

Le fantasme du mechant patron face aux vertueux salaries, cela me fait pas mal rogoler parfois.

[coincetabulle]

en attendant je pense avoir fait la démonstration du contraire.

il ya des cons partout, chez les patrons, chez les syndicalistes, et chez ceux qui considèrent que c'est ou tout blanc, ou tout noir ...

[Kelenner]

Ca n'a rien à voir avec une histoire de "gentil" ou de "méchant", c'est une question de pouvoir, c'est tout. Basiquement, un patron va chercher à payer ses employés le moins cher possible, alors que les salariés cherchent eux à avoir la rémunération la plus élevée possible. Leurs intérêts sont donc contradictoires, il s'agit donc bien d'une lutte. En fonction du moment, les salariés et les patrons peuvent être à tour de rôle en position de force, et obtenir ainsi des avantages divers. Le Code du Travail est là pour mettre un peu d'ordre dans ce qui serait sans cela une véritable jungle, et à assurer un minimum de protection au salarié qui se trouve quand même le plus souvent en position de faiblesse.

[NSC]

il ya des cons partout, chez les patrons, chez les syndicalistes, et chez ceux qui considèrent que c'est ou tout blanc, ou tout noir ...

Ca c'est certains

[Fonck1]

ça peut être bien aussi de planter son patron.
comme le dis la bulle,quand on sait qu'on fait bien son travail,que les patrons jouent aux flingueurs,on est pas obligé de rester bosser là.
on sait ce que l'on a,on ne sait pas ce que l'on perds.....

[NSC]

ça peut être bien aussi de planter son patron.
comme le dis la bulle,quand on sait qu'on fait bien son travail,que les patrons jouent aux flingueurs,on est pas obligé de rester bosser là.
on sait ce que l'on a,on ne sait pas ce que l'on perds.....

Excuse moi de corriger ta phrase que je connait bien pour l'employer souvent :
On sait ce que l'on peu perdre, mais on ne sait jamais ce que l'on pourrait recevoir en remplacement.

[Fonck1]

Excuse moi de corriger ta phrase que je connait bien pour l'employer souvent :
On sait ce que l'on peu perdre, mais on ne sait jamais ce que l'on pourrait recevoir en remplacement.

ouais,c'est la fin de la journée,mais preuve est que tu as très bien compris

[NSC]

ouais,c'est la fin de la journée,mais preuve est que tu as très bien compris

Ya aussi ca : Mieux vaut UN tu le tiens que DEUX tu l'aura.

[coincetabulle]

on peut rouler mille fois une personne euuuuuu non, on peut rouler une personne mille fois euuuu non pas ça non plus ...

[VERNON]

Mais attends, tu parle de quoi là ? Des grands mouvements nationaux, ou des conflits d'entreprise ?

L'un ne va pas sans l'autre