et vous? l'avez-vous goûté, comment est-il cette année?




le beaujolais village ?Fonck1 a écrit : J'aime le beaujolais.pas le beaujolais nouveau.

et encore tu es gentil. même un mauvais vin qu'on trouve dans les relais routier passe mieux que cette infâme piquette. pourtant la barre n'est pas haute.Johan a écrit : Je participe pas à cette hystérie collective entretenue par le marketing, qui plus est au profit d'un produit plutôt médiocre

Tu parles pour toi làSteph a écrit : Tu n'y connait rien en pinard.
Le Beaujolais, n'est ni bon, ni mauvais, il n'est pas comparable à d'autres vins. C'est du Beaujolais.
C'est plus une fête traditionnelle (qui date)qui entretien un rassemblement entre potes ou avec la famille.
t'es sûr de t'y connaitre en vin?Steph a écrit : Tu n'y connait rien en pinard.
Le Beaujolais, n'est ni bon, ni mauvais, il n'est pas comparable à d'autres vins. C'est du Beaujolais.
C'est plus une fête traditionnelle (qui date)qui entretien un rassemblement entre potes ou avec la famille.
Mes préférés : Brouilly et Juliénas ...Tous produits au nord de Belleville-sur-Saône avec des expositions, des terroirs et des microclimats différents, chacun a sa personnalité. Du nord au sud :
Le Saint Amour (320 ha) : Le plus septentrional de tous, son terroir est argilo-silicieux et très caillouteux. Il a une robe légèrement violacée, des arômes de kirsch ou de réséda, un corps tendre et harmonieux.
Le Juliénas (580 ha) : Voisin du Saint Amour, sa robe est rubis violacé, aux arômes fruités ou floraux (fraise, senteurs des bois), au corps nerveux, qui s'arrondit avec le temps.
Le Chénas (270 ha) : C'est le plus rare des crus du Beaujolais. Sa robe est rubis teintée de grenat, ses arômes floraux à boisés, d'où son nom, son corps charnu et enveloppé.Copyrights_Michel_Joly_Inter_Beaujolais
Le Moulin-à-vent (660 ha) : Sa robe rubis, aux reflets violets, est profonde. Ses arômes de fruits rouges donnent avec l'âge un bouquet à la rose fanée et aux épices. Son corps est charpenté : c'est un vin à attendre.
Le Fleurie (870 ha) : Ce cru grandit sur les collines de la chapelle de la Madone. Sa robe est carminée, ses arômes floraux (iris, rose, violette) : c'est l'élégance.
Le Chiroubles (360 ha) : C'est le plus « élevé » des crus du Beaujolais, en terme d'altitude, d'où ses qualités « aériennes » d'arômes de fleurs (violette, muguet, pivoine), de velouté délicat.
Le Morgon (1 100 ha) : Sa robe est intense, carminée. Ses arômes sont ceux de fruits mûrs à noyaux (cerise, pêche) ; c'est un vin au corps viril, qui se bonifie en cave.
Le Régnié (400 ha) : D'une belle couleur rubis, aux arômes de petits fruits rouges (mûres, groseilles), c'est un vin dominé par la finesse.
Le Côte de Brouilly (310 ha) : Situé sur la colline du même nom, au cœur du vignoble, c'est un vin racé, habillé d'un beau pourpre, aux arômes de raisins frais, au corps équilibré.
Le Brouilly (1 300 ha) : C'est le plus méridional des vins du beaujolais. C'est un vin à la robe rubis profond, aux arômes de fruits rouges, de prune, au corps vineux.
