Lyonmagasine
Ils étaient incarcérés pour avoir attaqué un bureau de change suisse à l'explosif.
Les faits remontent à novembre 2010. Les trois malfaiteurs, originaires de la banlieue lyonnaise avaient été identifiés grâce à leurs ADN qui avaient été retrouvés dans des voitures ayant servi au braquage.
L'enquête, confiée à la police lyonnaise avait permis de les arrêter et ils étaient incarcérés depuis un an. Selon le Progrès, la cour d'appel de Lyon a autorisé leur remise en liberté la semaine dernière, mais ils restent sous strict contrôle judiciaire avec obligation de pointer trois fois par semaine au commissariat. Leur procès devrait se tenir dans les prochains mois.
La justice est dure quand même : pointer 3 jours par semaine ! Et la vie privée alors ?? Pas moyen d'organiser un autre braquage....



