Delahousse : fantasme n° 1 des Françaises

[tisiphoné]

Un sondage de "Paris Match" place le présentateur en tête des séducteurs de l'Hexagone. Une nouvelle qui risque pourtant de ne pas lui faire très plaisir...

Pour 36 % des Françaises, le présentateur du 20 heures de France 2 incarne à merveille le plus beau mâle séducteur de l'Hexagone, selon un sondage publié cette semaine dans Paris Match - un chiffre qui grimpe à 42 % pour les femmes de 35 ans et plus*. À une large majorité, elles seraient prêtes à se damner pour lui : non seulement le journaliste est l'objet de leurs fantasmes, mais elles le choisissent en priorité pour passer une nuit à son côté, et toute la vie si affinité... Une première place que Delahousse ravit au sportif Bixente Lizarazu, à son confrère Antoine de Caunes, à l'acteur Romain Duris ou encore à Arnaud Montebourg et Nicolas Bedos, qui séduisent - pour ces deux derniers - environ 10 % des Françaises.

Sourire enjôleur, mèche blonde, charme british et voix chaude, il faut dire que la gueule d'ange du week-end de France 2 a tout pour plaire. "Look de star hollywoodienne et sourire cool, c'est le secret de son succès", explique Paris Match, en oubliant un peu vite les qualités professionnelles d'un journaliste qui se distingue aussi par sa réelle curiosité mêlée d'une grande courtoisie. C'est d'ailleurs ce qui l'agace le plus : être réduit à un personnage, une image, un fantasme, avec le risque de tomber dans une peopolisation extrême, autant de pièges qui font oublier qu'il reste avant tout un professionnel de l'information.

Starisation maximum

"Mon physique, je vis avec, ça a été aussi un moyen d'accéder où je suis", déclarait un Laurent Delahousse lucide au magazine GQ, qui lui consacrait déjà sa une en 2010. Ses détracteurs ne se gênent d'ailleurs pas pour appuyer là où ça fait mal, l'accusant d'en faire un peu trop dans le registre de la sexy attitude ou de l'interview intime, comme en septembre dernier, lorsque le journal Libération le descendait en flèche dans un article au vitriol intitulé "Delahousse, le neuneu de la question". Une attaque qu'il avait très mal prise. "Aujourd'hui, on peut vite se retrouver otage d'un fantasme, d'un microsystème qui s'autoalimente et croit créer quelque chose. Il fonctionne sur une nébuleuse", déclarait-il au supplément Médias du Monde en novembre dernier. "Tout cela n'est que du vide. Et ce vide, en l'occurrence, est un portrait sur moi qui s'intéresse uniquement à mon physique."

Toujours prudent sur la question, Laurent Delahousse n'a pas donné d'interview à Paris Match, qui lui consacre pourtant sa une. Pas sûr que son statut de sex symbol tricolore lui fasse réellement plaisir, même si ce genre de nouvelle flatte toujours l'ego. Le voilà une nouvelle fois catalogué dans un registre qu'il veut éviter, tout en y participant avec ambivalence en jouant sur la séduction à l'antenne. Une chose est sûre : on voit mal le quadragénaire échapper à une starisation maximum. Voici et Closer commencent d'ailleurs à s'intéresser sérieusement à sa vie privée. À en croire la presse people, et l'allusion à peine voilée de Paris Match cette semaine, le présentateur du JT serait très intime avec l'actrice Alice Taglioni... Désolé, mesdames, il faudra s'y faire.

[Lion blanc]

Ah ça, c'est bien les femmes..

[Jarod1]

Le François Valéry de l'Info.

[mordred]

Ca se voit que je ne suis pas connu !

[tisiphoné]

franchement, ya pire, perso je le trouve pas dégueulasse, surtout, ceux énoncés, à part Romain Duris bien sur

[le parisien]

Le style bad-boy ne fait plus recette, les nanas veulent des types qu'on des gueules de premier de la classe.

Nous les mcs, on se pose moins de question : un bon cul de poney et une bonne paire de seins (avec ou sans silicône), ça nous suffit

[Fonck1]

faut dire que le bad boy a pas trop évolué