Un habitant de la province du Shaanxi, en Chine, a usé d'un stratagème original pour parvenir à manger gratuitement au salon VIP de l'aéroport. Il a arnaqué la compagnie China Eastern Airlines en modifiant près de 300 fois la date de son billet d'avion 1ère classe...
C'ets ce qu'on appelle un petit malin. Etonné de voir le même voyageur déjeuner tous les jours au lounge réservé aux première classe, un employé décide de mener l'enquête. C'est ainsi qu'il découvre la supercherie : l'homme avait acheté un billet 1ère classe et modifiait constamment la date de départ pour pouvoir profiter gratuitement et éternellement du lounge! Il aurait usé de cette astuce près de 300 fois, pendant presque un an.
Un véritable fan-club
Le plus beau dans cette histoire? Avant que le billet n'arrive à expiration, l'homme a pris soin de se le faire rembourser. Il aura donc vécu aux crochets de la China Eastern Airlines en toute légalité. Un fan-club a vu le jour sur internet, admiratif de l'ingéniosité du "voyageur immobile".
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
Ah?! Si les vaches pouvaient témoigner… Elles auraient pu expliquer au tribunal correctionnel de Limoges ce qui s’est réellement passé ce 17 juillet 2013 dans leur pré de Saint-Sornin-Leulac.
Ce jour-là, trois employés d’une société sous-traitante d’ErDF ont pénétré dans le champ de monsieur G. pour élaguer les arbres proches des lignes électriques.
« Avant de passer chez les gens, nous prévenons la municipalité qui doit afficher l’information en mairie, explique le gérant de la société. Si le propriétaire est présent on le prévient, sinon on laisse un avis de passage ».
Version contre version
Mais cette fois-là, l’information ne serait pas passée. Alors quand Monsieur G. arrive sur son tracteur avec son fils et voit un 4x4 noir dans son champ, il voit rouge. Jusque-là, tout le monde est d’accord. Mais monsieur G., qui ne nie pas avoir copieusement insulté les élagueurs, les accuse d’avoir détruit une barrière condamnée pour pénétrer sur sa propriété, d’avoir écrasé son herbe, traumatisé ses vaches et finalement de lui avoir roulé dessus.
Les employés, eux, avancent une tout autre version. « On est entré en défaisant le nœud de la ficelle qui retenait la barrière, comme on le fait à chaque fois, puis on a refermé derrière nous, raconte un des élagueurs venu témoigner. On commençait à travailler quand on a vu deux personnes arriver en criant. Je suis allé les voir et le plus vieux a essayé de m’agripper par-dessus la barrière en me disant “dégagez bande de fainéants”. Ensuite il s’est mis à taper sur la voiture, nous a dit d’appeler notre chef pour qu’il vienne avec son chéquier. Quand mon collègue a voulu lui passer le patron, il a jeté le téléphone, a poussé mon collègue dans les ronces, lui a mis un premier coup-de-poing, puis un deuxième quand il est monté dans le 4x4. Ensuite il s’est mis derrière la voiture qui reculait, il a fait semblant qu’on lui avait roulé dessus, je suis formel?! Il a demandé à son fils de prendre des photos et a dit à mon collègue qu’il irait en prison. » Même version pour le second témoin. Hier, le conducteur du 4x4 comme monsieur G. étaient donc poursuivis devant le tribunal, le premier pour violence, le second pour dégradation.
Sans détour, le vice-procureur Georges Borg, toisant l’agriculteur a déclaré : « Ma conviction est que monsieur est un personnage acariâtre qui pense avoir subi une atteinte intolérable à son droit inaliénable de propriétaire ». Et de requérir la relaxe pour le conducteur… et 500 € d’amende pour monsieur G.
Pour Me Solange Dancie qui défendait les intérêts de l’agriculteur, la version des employés a été préparée. « Les témoins sont tous de la même société?! Tout cela n’est qu’affabulation?! »
Le tribunal rendra sa décision le 20 février. Quant aux vaches, « elles étaient tranquillement dans un coin du champ. Elles n’avaient pas du tout l’air traumatisées », attestent les trois agents.
Source:Le Populaire.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Un enfant de dix ans a été retrouvé au volant de la voiture familiale en Norvège. Il a emmené sa sœur de 18 mois en balade, pendant une bonne dizaine de kilomètres
Un garçonnet de 10 ans a été retrouvé dans un fossé au volant de la voiture familiale ce mercredi 12 février en Norvège. Il avait voulu emmener en balade sa sœur d'un an et demi. Les deux enfants avaient parcouru une bonne dizaine de kilomètres lorsqu'un chauffeur de déneigeuse a repéré leur véhicule bloqué sur le bas côté.
Pour rester dans les voitures qui tombent dans des trous...
Un impressionnant effondrement s’est déroulé mercredi au beau milieu d’un musée aux Etats-Unis, entraînant la chute de huit véhicules de collection, rapporte LCI.
Le trou béant, d’une dizaine de mètres de large et de profondeur, est apparu soudainement vers 5h30 au sein du National Corvette Museum, à Bowling Green, dans l’Etat du Kentucky. Par chance, il n’y avait aucun visiteur ni personnel à cet horaire matinal.
Les véhicules tombés dans le trou sont des Corvette datant de 1962 à 2009. Le musée doit rouvrir normalement ce jeudi, à l’exception du hall d’exposition où s’est produit l’effondrement.
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
L’art contemporain est un objet difficilement identifiable. A la galerie Sala Murat, à Bari (dans le sud de l’Italie), une femme de ménage a jeté à la poubelle des papiers, du carton et des miettes de biscuit… Qui se révélaient être en fait une œuvre d’art, de l’artiste new-yorkais Paul Branca, une œuvre estimée à 10.000 euros, selon la BBC.
Mercredi matin, à l’ouverture de la galerie, la sécurité s’était aperçue qu’il manquait des objets. Après enquête, il est apparu que c’était une erreur commise par la femme de ménage, qui «faisait juste son travail», a déclaré la société Chiarissima, dont elle est salariée. Elle pensait qu’il s’agissait de détritus abandonnés par les personnes chargées de monter l’exposition.
Je suis prêt à accorder des circonstance atténuantes à cette femme de ménage...
Il n'y absolument aucun mérite à exciter les gens. Le vrai héros c'est celui qui apaise.
La laïcité n'est pas une conviction mais le principe qui les autorise toutes, sous réserve du respect de l'ordre public.
Ça m'est arrivée quand j'étais petite, on a tout détruit à coups de lattes l’œuvre contemporaine d'un sculpteur (heureusement ami des parents), ça ressemblait à un tas de merde en terre cuite au raku étalée sur la pelouse.
Trop jeune pour comprendre ce que souhaitait véhiculer l'artiste... souvenir marquant!
En 1921, l'homme, âgé de 60 ans, souffre d'une crise d'appendicite. C'est son frère Thomas, lui aussi chirurgien, qui doit tenir le bistouri. Mais, dans la salle d'opération, Evan change d'idée et, à la stupéfaction générale, décide de prendre lui-même les commandes. Il n'est pas sans une certaine expérience en la matière puisque, deux ans plus tôt, il s'est amputé d'un doigt qui s'était infecté...
A man killed himself accidentally in a gun safety demonstration to his girlfriend on Monday in Michigan, according to a Feb. 25 Huffington Post report. The Independence Township resident died after firing a single shot into his head while proving to his companion that his three firearms were safe. They were not.
Sources say the man, 36; presented three guns to his live-in girlfriend in an effort to show prove they were unloaded and safe. As a show of confidence on gun safety, he put each guns to his head in succession and pulled the trigger. The first and second weapons did not discharge a round, but when the trigger of the third gun was pulled, it live-fired.
Pour les non anglophones :
Le mec voulait montrer à sa petite amie que ses armes sont sans dangers puisqu'elles ne sont pas chargées.
Confiant en la sûreté de ses armes, il les a mises une à une sur sa tempe avant de presser la détente. Le 2 premieres n'ont pas tirées. Le 3ème était chargé, il a tire une balle qui a tuée le type.
Désolé mais quand même, un type qui se tue en voulant montrer que ses flingues sont pas dangereux